Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Ce saut dans le vide, de ceux qui font les meilleurs cinéastes, les moments de cinéma mémorables et les grands films indomptés, Arnold ne le fait pas seule. Ses acteurs le font aussi, sans ciller, sublimes d’implication. Et le spectateur de suivre, obligé par tant d’évidente beauté, sidéré.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Konbini
par Arthur Cios
Andrea Arnold retrouve la magie de son American Honey en touchant du doigt la jeunesse abandonnée du sud de l'Angleterre avec une telle grâce et beauté. C'était un de nos gros coups de cœur du dernier Festival de Cannes, et il sera à coup sûr dans nos films préférés de 2025.
Le Journal du Dimanche
par Bap. T.
Une fable de haut vol.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Renaud Baronian
Aussi lucide que bienveillante dans sa façon d’emballer son sujet avec une intrigue pleine de suspense, mais sans jamais renoncer à un esprit festif, Arnold signe une petite merveille sociale rock et fantastique, rythmée par une bande-son décapante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Olivier Lamm
Le miracle de Bird, film baigné de musique et d’émotions en sourdine tient tout entier dans sa volonté, branchée sur celle de sa protagoniste, à ne rien lâcher de sa fantaisie, puissant filtre à abjection qui rend tolérable jusqu’aux penchants les plus sordides des êtres et agrandit, jusqu’à lui faire occuper tout l’écran, la plus minuscule expression d’amour et de prévenance.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Cédric Delelée
Une petite merveille de poésie, admirable de justesse et de modestie [...].
Télé 2 semaines
par Camille Brun
Porté par une distribution épatante et une réalisation hyper maîtrisée, un film âpre et original qui [...] s'avère tout à fait bouleversant.
Télé Loisirs
par C.B.
Porté par une distribution épatante et une réalisation hyper maîtrisée, ce film réserve bien des surprises et se révèle profondément bouleversant.
20 Minutes
par Caroline Vié
On vibre d’empathie pour l’héroïne mais aussi pour son père, incarné par Barry Keoghan vu dans Dunkerque de Christopher Nolan. Il est le seul acteur professionnel du film et se fait souvent voler la vedette par les autres membres de la distribution.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Chronique sociale sur l’adolescence, Bird vire au conte sans jamais perdre de vue ses personnages, ni leur humanité.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Empathique avec ses personnages, mais sans jamais tomber dans l'excès ou le lyrisme, avec un œil très observateur et sensible, la cinéaste se renouvelle avec Bird.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Dans ce film aérien sur une réalité plombante (la reproduction sociale des parents précoces), les animaux sont partout, les instincts, bestiaux, mais c’est l’humanité qui déborde.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Adepte d’un cinéma social radical, la cinéaste britannique Andrea Arnorld injecte poésie et fantastique dans ce splendide récit du passage à l’adolescence d’une enfant de 12 ans qui se réfugie dans l’imaginaire pour surmonter la violence du monde.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Tout cela donne une histoire à la fois sensible et touchante. D’autant que Bird, dans sa dernière heure, s’éloigne du film social pour verser dans le conte, avec l’introduction d’une touche de fantastique.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un film âpre et surprenant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Après Cow, Andrea Arnold revient à la fiction avec une fable délicate et poétique. Tout en demeurant enracinée dans le cinéma social qui l’a fait connaître, elle s’autorise ici une étonnante envolée fantaisiste, portée par une distribution inspirée.
Paris Match
par Yannick Vely
Il y a des scènes magnifiques dans « Bird » - toutes les scènes chantées, la rencontre entre Bailey et Bird -, quelques longueurs aussi, toujours transcendées par la mise en scène organique de la cinéaste d’« American Honey ». Barry Keoghan et Franz Rogowski sont immenses.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Jacques Morice
Explosif et euphorisant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Bois
Un très grand et beau moment de cinéma.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Dans une langue cinématographique dont seule Andrea Arnold maîtrise les contours, la réalisatrice parvient à élever un quartier populaire anglais dans une dimension poétique et d’une infinie grâce. Un des coups de cœur de la sélection cannoise 2024.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Abus de Ciné
par Christophe Brangé
Une fable humaniste bouleversante sur un enfant tombé du nid.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Intriguant, à défaut d’être véritablement bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par É. S
Si Bird décolle dans sa dernière partie et parvient à s’extraire d’une peinture naturaliste et convenue des classes populaires, il reste très en dessous du Règne animal. À côté du bestiaire fantastique de Thomas Cailley, le volatile d’Andrea Arnold fait un peu figure d’oiseau déplumé.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par V. Ca.
Le quotidien de Bailey, fait d’errances et d’allers-retours entre ville et campagne, bascule le jour où apparaît, au milieu d’un champ, Bird (Franz Rogowski), jeune homme un brin différent des autres, rêveur et solitaire. Il est en ville pour retrouver la trace de ses parents. Il veille, regarde, accroupi sur les murets, debout sur les toits, tel un oiseau prêt à s’envoler. C’est là que le bât blesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Andrea Arnold revient au décor le plus naturel de son réalisme social (...), quand bien même elle y introduit justement une dose de fantastique allégorique, qui n’est pas sa partie la plus réussie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Nice-Matin
par Cédric Coppola
L’action prend place dans un milieu défavorisé et décolle véritablement lorsque le film s’intéresse à la relation amicale que la jeune Bailey (Nykiya Adams, une belle révélation) va nouer avec Bird, un homme-oiseau incarné par l’intriguant Franz Rogowski. Le comédien allemand apporte ce qu’il faut de folie – mais aussi de douleur – à cet être hybride, sans qui le film n’aurait pas le même impact.
Première
par Thierry Chèze
Ami imaginaire ou réel ? C’est en tout cas précisément grâce à lui… que Bird décolle, qu’Andrea Arnold sort de sa zone de confort pour s’aventurer pour la première fois non sans maestria sur le terrain du fantastique. Et ce voyage intrigant n’aurait pas été le même sans l’interprète de Bird, Franz Rogowski, sa liberté de jeu, la poésie qui entourent chacun de ses gestes ou de ses regards. Une masterclass.
La critique complète est disponible sur le site Première
Version Femina
par Hadrien Machart
Grande habituée du Festival de Cannes, Andrea Arnold y a présenté cette année en compétition ce drame étrange, captivant, violent, mais aussi bouleversant, notamment grâce à l'interprétation sensible de comédiens singuliers.
La critique complète est disponible sur le site Version Femina
Critikat.com
par Marin Gérard
Arnold a beau faire montre d’une certaine stylisation dans son maniement de la caméra à l’épaule, le film croule peu à peu sous les automatismes formels.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Tribune Dimanche
par Alexis Campion
La mise en scène d’André Arnold, élégante, pleine de ressort, paraît séduisante mais parfois artificielle à force de jouer la carte des échappées oniriques et du ghetto plus cool que misérabiliste.
CinemaTeaser
Ce saut dans le vide, de ceux qui font les meilleurs cinéastes, les moments de cinéma mémorables et les grands films indomptés, Arnold ne le fait pas seule. Ses acteurs le font aussi, sans ciller, sublimes d’implication. Et le spectateur de suivre, obligé par tant d’évidente beauté, sidéré.
Konbini
Andrea Arnold retrouve la magie de son American Honey en touchant du doigt la jeunesse abandonnée du sud de l'Angleterre avec une telle grâce et beauté. C'était un de nos gros coups de cœur du dernier Festival de Cannes, et il sera à coup sûr dans nos films préférés de 2025.
Le Journal du Dimanche
Une fable de haut vol.
Le Parisien
Aussi lucide que bienveillante dans sa façon d’emballer son sujet avec une intrigue pleine de suspense, mais sans jamais renoncer à un esprit festif, Arnold signe une petite merveille sociale rock et fantastique, rythmée par une bande-son décapante.
Libération
Le miracle de Bird, film baigné de musique et d’émotions en sourdine tient tout entier dans sa volonté, branchée sur celle de sa protagoniste, à ne rien lâcher de sa fantaisie, puissant filtre à abjection qui rend tolérable jusqu’aux penchants les plus sordides des êtres et agrandit, jusqu’à lui faire occuper tout l’écran, la plus minuscule expression d’amour et de prévenance.
Mad Movies
Une petite merveille de poésie, admirable de justesse et de modestie [...].
Télé 2 semaines
Porté par une distribution épatante et une réalisation hyper maîtrisée, un film âpre et original qui [...] s'avère tout à fait bouleversant.
Télé Loisirs
Porté par une distribution épatante et une réalisation hyper maîtrisée, ce film réserve bien des surprises et se révèle profondément bouleversant.
20 Minutes
On vibre d’empathie pour l’héroïne mais aussi pour son père, incarné par Barry Keoghan vu dans Dunkerque de Christopher Nolan. Il est le seul acteur professionnel du film et se fait souvent voler la vedette par les autres membres de la distribution.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Chronique sociale sur l’adolescence, Bird vire au conte sans jamais perdre de vue ses personnages, ni leur humanité.
Franceinfo Culture
Empathique avec ses personnages, mais sans jamais tomber dans l'excès ou le lyrisme, avec un œil très observateur et sensible, la cinéaste se renouvelle avec Bird.
L'Obs
Dans ce film aérien sur une réalité plombante (la reproduction sociale des parents précoces), les animaux sont partout, les instincts, bestiaux, mais c’est l’humanité qui déborde.
La Croix
Adepte d’un cinéma social radical, la cinéaste britannique Andrea Arnorld injecte poésie et fantastique dans ce splendide récit du passage à l’adolescence d’une enfant de 12 ans qui se réfugie dans l’imaginaire pour surmonter la violence du monde.
Le Dauphiné Libéré
Tout cela donne une histoire à la fois sensible et touchante. D’autant que Bird, dans sa dernière heure, s’éloigne du film social pour verser dans le conte, avec l’introduction d’une touche de fantastique.
Les Echos
Un film âpre et surprenant.
Les Fiches du Cinéma
Après Cow, Andrea Arnold revient à la fiction avec une fable délicate et poétique. Tout en demeurant enracinée dans le cinéma social qui l’a fait connaître, elle s’autorise ici une étonnante envolée fantaisiste, portée par une distribution inspirée.
Paris Match
Il y a des scènes magnifiques dans « Bird » - toutes les scènes chantées, la rencontre entre Bailey et Bird -, quelques longueurs aussi, toujours transcendées par la mise en scène organique de la cinéaste d’« American Honey ». Barry Keoghan et Franz Rogowski sont immenses.
Télérama
Explosif et euphorisant.
Voici
Un très grand et beau moment de cinéma.
aVoir-aLire.com
Dans une langue cinématographique dont seule Andrea Arnold maîtrise les contours, la réalisatrice parvient à élever un quartier populaire anglais dans une dimension poétique et d’une infinie grâce. Un des coups de cœur de la sélection cannoise 2024.
Abus de Ciné
Une fable humaniste bouleversante sur un enfant tombé du nid.
La Voix du Nord
Intriguant, à défaut d’être véritablement bouleversant.
Le Figaro
Si Bird décolle dans sa dernière partie et parvient à s’extraire d’une peinture naturaliste et convenue des classes populaires, il reste très en dessous du Règne animal. À côté du bestiaire fantastique de Thomas Cailley, le volatile d’Andrea Arnold fait un peu figure d’oiseau déplumé.
Le Monde
Le quotidien de Bailey, fait d’errances et d’allers-retours entre ville et campagne, bascule le jour où apparaît, au milieu d’un champ, Bird (Franz Rogowski), jeune homme un brin différent des autres, rêveur et solitaire. Il est en ville pour retrouver la trace de ses parents. Il veille, regarde, accroupi sur les murets, debout sur les toits, tel un oiseau prêt à s’envoler. C’est là que le bât blesse.
Les Inrockuptibles
Andrea Arnold revient au décor le plus naturel de son réalisme social (...), quand bien même elle y introduit justement une dose de fantastique allégorique, qui n’est pas sa partie la plus réussie.
Nice-Matin
L’action prend place dans un milieu défavorisé et décolle véritablement lorsque le film s’intéresse à la relation amicale que la jeune Bailey (Nykiya Adams, une belle révélation) va nouer avec Bird, un homme-oiseau incarné par l’intriguant Franz Rogowski. Le comédien allemand apporte ce qu’il faut de folie – mais aussi de douleur – à cet être hybride, sans qui le film n’aurait pas le même impact.
Première
Ami imaginaire ou réel ? C’est en tout cas précisément grâce à lui… que Bird décolle, qu’Andrea Arnold sort de sa zone de confort pour s’aventurer pour la première fois non sans maestria sur le terrain du fantastique. Et ce voyage intrigant n’aurait pas été le même sans l’interprète de Bird, Franz Rogowski, sa liberté de jeu, la poésie qui entourent chacun de ses gestes ou de ses regards. Une masterclass.
Version Femina
Grande habituée du Festival de Cannes, Andrea Arnold y a présenté cette année en compétition ce drame étrange, captivant, violent, mais aussi bouleversant, notamment grâce à l'interprétation sensible de comédiens singuliers.
Critikat.com
Arnold a beau faire montre d’une certaine stylisation dans son maniement de la caméra à l’épaule, le film croule peu à peu sous les automatismes formels.
La Tribune Dimanche
La mise en scène d’André Arnold, élégante, pleine de ressort, paraît séduisante mais parfois artificielle à force de jouer la carte des échappées oniriques et du ghetto plus cool que misérabiliste.