Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le documentaire admirable et déchirant de Raoul Peck est comme le pendant tragique de son portrait de James Baldwin : un film sur un loser génial qui aurait dû devenir riche et célèbre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Mathieu Guetta
Sublime.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Ainsi, Raoul Peck raconte-t-il la grande Histoire des spoliations de l’art noir, à travers un film mystérieux et mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Humanité
par Michaël Mélinard
[...] un film passionnant où les clichés d’Ernest Cole semblent s’animer sous nos yeux.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Dans "Ernest Cole, photographe", l’auteur de "I Am Not Your Negro" fait « parler » Ernest Cole en composant à partir d’entretiens avec ses proches et de textes laissés par l’artiste, une sorte de journal intime d’une intensité rare.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Maryline Alligier
Documentaire d’une puissance inouïe, ERNEST COLE, PHOTOGRAPHE relie l’histoire d’un homme à celle de tous les hommes victimes des inégalités et des exclusions d’hier et d’aujourd’hui. Dédié à tous ceux morts en exil, il fait écho, sans appel et sans complaisance, à la voix de l’artiste.
Le Point
par La rédaction
Un film passionnant de bout en bout et qui donne envie de se plonger dans l'œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Clémentine Mercier
Dans cette biographie posthume, incisive et si justement racontée, pleine d’empathie, le regard acéré du photographe s’efface, en pointillé, comme rattrapé par les tentacules du monstre qu’il a regardé en face.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Un grand documentaire, justement récompensé de l’Œil d’or lors du dernier Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 2 semaines
par Margot Loisel
Un portrait à suspense aussi triste que fascinant, fruit de recherches consciencieuses et d'un montage éclairé.
Télérama
par Laurent Rigoulet
C’est dans le drame de l’exil que Raoul Peck, qui n’a jamais pu guérir des tragédies d’Haïti, s’est reconnu pour tisser la matière d’un récit sensible et captivant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
L’une des qualités d’Ernest Cole, photographe tient à un récit qui, embrassant la vie et l’œuvre, oscille entre personnalisation et impersonnalisation.
La Croix
par La rédaction
C’est la découverte récente dans une banque suédoise de ses photos américaines qui a donné l’occasion au réalisateur de sortir cette figure de l’oubli. Et de raconter, exclusivement par les images, la désillusion de cet homme de retrouver dans le pays de la démocratie les mêmes conditions faites aux Noirs.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Nekourouh
Un hommage efficace à Ernest Cole, photographe de l’Apartheid, mais trop interventionniste : le rythme effréné du montage et le recadrage systématique des photographies donnent le sentiment que Raoul Peck ne croit pas assez en la force intrinsèque de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Damien Leblanc
Pour donner corps à la pensée du photographe, Peck a créé une voix-off basée sur de vrais écrits de Cole et prête lui-même dans la version française sa voix à ce héros exilé et révolté. Cet habile procédé renforce la puissance de ce documentaire engagé qui se double en plus d’un surprenant thriller [...].
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Malgré quelques digressions dans sa deuxième partie, un récit fort, impressionnant, bâti à partir de photographies souvent marquantes.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un documentaire insolite et enrichissant, évoquant avec rigueur et engagement le parcours d’un artiste trop peu connu, et emblématique du témoignage sur l’apartheid.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Clarisse Fabre
Sur un personnage aussi passionnant qu’Ernest Cole (1940-1990), photojournaliste noir sud-africain, auteur de clichés inoubliables sur l’apartheid, Raoul Peck signe une œuvre lisse et décevante [...].
Les Inrockuptibles
Le documentaire admirable et déchirant de Raoul Peck est comme le pendant tragique de son portrait de James Baldwin : un film sur un loser génial qui aurait dû devenir riche et célèbre.
Transfuge
Sublime.
CinemaTeaser
Ainsi, Raoul Peck raconte-t-il la grande Histoire des spoliations de l’art noir, à travers un film mystérieux et mélancolique.
L'Humanité
[...] un film passionnant où les clichés d’Ernest Cole semblent s’animer sous nos yeux.
L'Obs
Dans "Ernest Cole, photographe", l’auteur de "I Am Not Your Negro" fait « parler » Ernest Cole en composant à partir d’entretiens avec ses proches et de textes laissés par l’artiste, une sorte de journal intime d’une intensité rare.
La Septième Obsession
Documentaire d’une puissance inouïe, ERNEST COLE, PHOTOGRAPHE relie l’histoire d’un homme à celle de tous les hommes victimes des inégalités et des exclusions d’hier et d’aujourd’hui. Dédié à tous ceux morts en exil, il fait écho, sans appel et sans complaisance, à la voix de l’artiste.
Le Point
Un film passionnant de bout en bout et qui donne envie de se plonger dans l'œuvre.
Libération
Dans cette biographie posthume, incisive et si justement racontée, pleine d’empathie, le regard acéré du photographe s’efface, en pointillé, comme rattrapé par les tentacules du monstre qu’il a regardé en face.
Paris Match
Un grand documentaire, justement récompensé de l’Œil d’or lors du dernier Festival de Cannes.
Télé 2 semaines
Un portrait à suspense aussi triste que fascinant, fruit de recherches consciencieuses et d'un montage éclairé.
Télérama
C’est dans le drame de l’exil que Raoul Peck, qui n’a jamais pu guérir des tragédies d’Haïti, s’est reconnu pour tisser la matière d’un récit sensible et captivant.
Cahiers du Cinéma
L’une des qualités d’Ernest Cole, photographe tient à un récit qui, embrassant la vie et l’œuvre, oscille entre personnalisation et impersonnalisation.
La Croix
C’est la découverte récente dans une banque suédoise de ses photos américaines qui a donné l’occasion au réalisateur de sortir cette figure de l’oubli. Et de raconter, exclusivement par les images, la désillusion de cet homme de retrouver dans le pays de la démocratie les mêmes conditions faites aux Noirs.
Les Fiches du Cinéma
Un hommage efficace à Ernest Cole, photographe de l’Apartheid, mais trop interventionniste : le rythme effréné du montage et le recadrage systématique des photographies donnent le sentiment que Raoul Peck ne croit pas assez en la force intrinsèque de son sujet.
Première
Pour donner corps à la pensée du photographe, Peck a créé une voix-off basée sur de vrais écrits de Cole et prête lui-même dans la version française sa voix à ce héros exilé et révolté. Cet habile procédé renforce la puissance de ce documentaire engagé qui se double en plus d’un surprenant thriller [...].
Sud Ouest
Malgré quelques digressions dans sa deuxième partie, un récit fort, impressionnant, bâti à partir de photographies souvent marquantes.
aVoir-aLire.com
Un documentaire insolite et enrichissant, évoquant avec rigueur et engagement le parcours d’un artiste trop peu connu, et emblématique du témoignage sur l’apartheid.
Le Monde
Sur un personnage aussi passionnant qu’Ernest Cole (1940-1990), photojournaliste noir sud-africain, auteur de clichés inoubliables sur l’apartheid, Raoul Peck signe une œuvre lisse et décevante [...].