Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un homme perdu est à ce titre un film sur l'exil et, partant, un très beau, très émouvant et très paradoxal autoportrait de sa réalisatrice par deux hommes interposés (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Elle
par Anne Diatkine
C'est cette relation en miroir qui intéresse la cinéaste. Elle échappe aux clichés de l'exotisme pour se centrer sur la perdition, plus facile en Orient qu'en Occident.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Marie-José Sirach
La réalisatrice (...) évite de s'engluer dans une vision exotique de la sexualité dans cette région du monde. (...) Le regard de Danielle Arbid est juste et audacieux. (...) "Un homme perdu" est un film qui rompt avec les codes et les tabous et parvient à retenir notre attention jusqu'au bout.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Si le film ne convainc pas toujours du point de vue scénaristique (...), si le cinéaste est allée chercher quelque chose en son Orient natal et s'y est peut-être un peu perdue, on peut aussi lire ce film comme l'enregistrement de cette perte, un processus somme toute très beau, superbe coulée de cinéma voyageur et méditatif, le travelling à l'unisson du traveller.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Sans céder aux facilités du spot touristique, Un homme perdu parvient à nous plonger dans l'atmosphère perpétuellement étrange d'une ville inconnue (...) La photo de Céline Bozon, blême, élégante, participe au sortilège d'un film qui donne envie de se casser d'ici.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
(...) de nombreuses images de "Un homme perdu" restent en tête. Des sensations aussi, tant Danielle Arbid livre un travail esthétique et sensoriel. (...) La vision sur les êtres et sur le monde qui se dégage de ce film mêle cruauté et sensualité, frontalité et mystère.
Première
par La Rédaction
Beau film contemplatif et fièvreux (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
S'il fallait résumer tout ça avec le vocable ad hoc, on dirait : film en apesanteur. Manière, au choix, de louer sa volatilité, ou de rappeler qu'il ne pèse pas bien lourd.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Un parcours sensuel et sexué, où la réalisatrice (...) saisit de façon détournée les blessures à jamais ouvertes de son héros (...) rendant toute la dimension humaine des tragédies du Moyen-Orient.
Télérama
par Jacques Morice
Danielle Arbid ne va sans doute pas assez loin dans l'impression de perdition. Ce qui altère la seconde partie, davantage consacrée à la reconstruction de personnages auxquels on aurait aimé davantage s'identifier.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Un film obsessionnel sur l'errance, le désir, l'oubli et le vide essentiellement sensoriel. Rarement hypnotisant, parfois ennuyeux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
Tant de films ont déjà voyagé sur les chemins du road movie comme aventure intérieure, et les imageries (orientales, sexuelles...) sont si prégnantes que cet "Homme perdu" le semble effectivement sans remède, entre asphyxie et apesanteur.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Monde
Un homme perdu est à ce titre un film sur l'exil et, partant, un très beau, très émouvant et très paradoxal autoportrait de sa réalisatrice par deux hommes interposés (...)
Elle
C'est cette relation en miroir qui intéresse la cinéaste. Elle échappe aux clichés de l'exotisme pour se centrer sur la perdition, plus facile en Orient qu'en Occident.
L'Humanité
La réalisatrice (...) évite de s'engluer dans une vision exotique de la sexualité dans cette région du monde. (...) Le regard de Danielle Arbid est juste et audacieux. (...) "Un homme perdu" est un film qui rompt avec les codes et les tabous et parvient à retenir notre attention jusqu'au bout.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
Si le film ne convainc pas toujours du point de vue scénaristique (...), si le cinéaste est allée chercher quelque chose en son Orient natal et s'y est peut-être un peu perdue, on peut aussi lire ce film comme l'enregistrement de cette perte, un processus somme toute très beau, superbe coulée de cinéma voyageur et méditatif, le travelling à l'unisson du traveller.
Libération
Sans céder aux facilités du spot touristique, Un homme perdu parvient à nous plonger dans l'atmosphère perpétuellement étrange d'une ville inconnue (...) La photo de Céline Bozon, blême, élégante, participe au sortilège d'un film qui donne envie de se casser d'ici.
MCinéma.com
(...) de nombreuses images de "Un homme perdu" restent en tête. Des sensations aussi, tant Danielle Arbid livre un travail esthétique et sensoriel. (...) La vision sur les êtres et sur le monde qui se dégage de ce film mêle cruauté et sensualité, frontalité et mystère.
Première
Beau film contemplatif et fièvreux (...)
Chronic'art.com
S'il fallait résumer tout ça avec le vocable ad hoc, on dirait : film en apesanteur. Manière, au choix, de louer sa volatilité, ou de rappeler qu'il ne pèse pas bien lourd.
TéléCinéObs
Un parcours sensuel et sexué, où la réalisatrice (...) saisit de façon détournée les blessures à jamais ouvertes de son héros (...) rendant toute la dimension humaine des tragédies du Moyen-Orient.
Télérama
Danielle Arbid ne va sans doute pas assez loin dans l'impression de perdition. Ce qui altère la seconde partie, davantage consacrée à la reconstruction de personnages auxquels on aurait aimé davantage s'identifier.
aVoir-aLire.com
Un film obsessionnel sur l'errance, le désir, l'oubli et le vide essentiellement sensoriel. Rarement hypnotisant, parfois ennuyeux.
Cahiers du Cinéma
Tant de films ont déjà voyagé sur les chemins du road movie comme aventure intérieure, et les imageries (orientales, sexuelles...) sont si prégnantes que cet "Homme perdu" le semble effectivement sans remède, entre asphyxie et apesanteur.