Bien plus malin, profond et relié au réel que le film d’Artus. Il n’aura pas le même succès ça c’est sûr, un parti pris moins feel good lui enlève une audience potentielle énorme. Dommage.!Malgré ma grosse réticence à aller voir De Turckheim et Lecoq au cinéma, le film nous emporte. On y découvre l’héritage de Tocquelles sur l’accompagnement de la maladie mentale, des troubles du psychisme. Pierre Richard est lui-même. Le clin d’œil à la scène des chaises dans « La chèvre » nous a réjouis !