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Le documentariste Nick Broomfield, plutôt que de s'égarer dans des thèses farfelues, reprend le fil chronologique de cette tragédie humaine et artistique pour en comprendre les rouages.
Une incursion dans les sombres arcanes du rock constituée par un maelstrom d‘archives précieuses et rares qui devrait ravir les fans de rock et les amoureux/ses du romanesque et des destins brisés.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Qui se souvient de Brian Jones, guitariste original des Rolling Stones ? Le documentariste Nick Broomfield retrace le parcours de ce musicien d'exception aussi hanté et torturé que dévoué à sa musique. Le destin tragique du grand oublié de l'histoire du rock anglais. Indispensable pour tous les fans des Rolling Stones.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
La qualité première de ce documentaire est de nous donner à voir de très nombreux films et photos d'archives inédits, ou très peu vus, y compris durant la jeunesse de Brian Jones. La seconde est d'avoir recueilli une foule de témoignages rares de première main, pas forcément actuels, et souvent uniquement audio, qui renseignent en profondeur sur le personnage, sans jamais nous assommer avec une succession de "têtes parlantes".
Le documentaire se révèle bien entendu indispensable pour tous les amoureux des Stones, mais il dépeint aussi une époque, et brosse avec talent le portrait d’un homme fragile, avec ses atouts et ses innombrables failles.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Avec application, mais sans grande folie de mise en scène, Brian Jones et les Rolling Stones entend remettre en lumière le fondateur du légendaire groupe de rock.
Servi par un montage net et précis, le film s’adresse à tous ceux qui s’intéressent de près ou de loin aux Stones et à leur musique. Il s’agit aussi d’une immersion au sein d’une bande d’artistes subitement propulsés au sommet, avec des histoires de cul et de cœur, qui souvent s’entremêlaient.
Des histoires de jalousie, d’égo, de cœur et la présence de la drogue, piège dans lequel est tombé Brian Jones, rythment donc cette proposition taillée pour ravir les fans du band.
Ce qui frappe surtout, c’est ce sentiment d’étourdissement concentré en une déferlante de quelques années seulement. À travers ces images de Swinging London, de hordes de fans hystériques et de policiers dépassés, d’interviews où les Stones ont encore des airs juvéniles de chenapans, passe comme un parfum d’innocence du rock.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le film s’intéresse moins au musicien qu’au portrait mythifié d’un homme en proie à ses démons, au point que les séquences musicales sont réduites à de simples ponctuations illustratives dans le rythme effréné du montage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ce docu bancal oscille entre l’hagiographie (Brian l’anti-Jagger, le martyr de la pureté non commerciale) et le trash (Brian le junkie, qui engrosse toutes ses compagnes avant de les abandonner).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L’artiste britannique mourut d’une overdose en 1969, peu de temps après avoir été exclu du groupe. On aime assez l’idée que Brian, dégoûté des Stones, avait fini par passer ses journées à écouter les Beatles. On peut ainsi tout perdre, et rester un homme de goût.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les interventions de l’ex-bassiste Bill Wyman, qui met en avant le génie de Jones en mimant la guitare slide de Little Red Rooster ou la flûte de Ruby Tuesday, frôlent le comique involontaire. Quant à l’absence de mention de l’album world pionnier The Pipes of Pan at Joujouka, elle tient carrément du crime de lèse-satanic majesté.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
Le documentariste Nick Broomfield, plutôt que de s'égarer dans des thèses farfelues, reprend le fil chronologique de cette tragédie humaine et artistique pour en comprendre les rouages.
Culturopoing.com
Une incursion dans les sombres arcanes du rock constituée par un maelstrom d‘archives précieuses et rares qui devrait ravir les fans de rock et les amoureux/ses du romanesque et des destins brisés.
Filmsactu
Qui se souvient de Brian Jones, guitariste original des Rolling Stones ? Le documentariste Nick Broomfield retrace le parcours de ce musicien d'exception aussi hanté et torturé que dévoué à sa musique. Le destin tragique du grand oublié de l'histoire du rock anglais. Indispensable pour tous les fans des Rolling Stones.
Franceinfo Culture
La qualité première de ce documentaire est de nous donner à voir de très nombreux films et photos d'archives inédits, ou très peu vus, y compris durant la jeunesse de Brian Jones. La seconde est d'avoir recueilli une foule de témoignages rares de première main, pas forcément actuels, et souvent uniquement audio, qui renseignent en profondeur sur le personnage, sans jamais nous assommer avec une succession de "têtes parlantes".
Le Parisien
Le documentaire se révèle bien entendu indispensable pour tous les amoureux des Stones, mais il dépeint aussi une époque, et brosse avec talent le portrait d’un homme fragile, avec ses atouts et ses innombrables failles.
Le Point
Un documentaire très détaillé.
Les Echos
Un émouvant documentaire.
Marianne
Un superbe film documentaire.
Positif
Un documentaire passionnant.
Rolling Stone
Une vraie réussite.
Le Dauphiné Libéré
Avec application, mais sans grande folie de mise en scène, Brian Jones et les Rolling Stones entend remettre en lumière le fondateur du légendaire groupe de rock.
Les Fiches du Cinéma
Bien que classique dans sa forme, le film se montre suffisamment exhaustif pour satisfaire les aficionados comme les novices.
Nice-Matin
Servi par un montage net et précis, le film s’adresse à tous ceux qui s’intéressent de près ou de loin aux Stones et à leur musique. Il s’agit aussi d’une immersion au sein d’une bande d’artistes subitement propulsés au sommet, avec des histoires de cul et de cœur, qui souvent s’entremêlaient.
Sud Ouest
Des histoires de jalousie, d’égo, de cœur et la présence de la drogue, piège dans lequel est tombé Brian Jones, rythment donc cette proposition taillée pour ravir les fans du band.
Télérama
Ce qui frappe surtout, c’est ce sentiment d’étourdissement concentré en une déferlante de quelques années seulement. À travers ces images de Swinging London, de hordes de fans hystériques et de policiers dépassés, d’interviews où les Stones ont encore des airs juvéniles de chenapans, passe comme un parfum d’innocence du rock.
Critikat.com
Le film s’intéresse moins au musicien qu’au portrait mythifié d’un homme en proie à ses démons, au point que les séquences musicales sont réduites à de simples ponctuations illustratives dans le rythme effréné du montage.
L'Obs
Ce docu bancal oscille entre l’hagiographie (Brian l’anti-Jagger, le martyr de la pureté non commerciale) et le trash (Brian le junkie, qui engrosse toutes ses compagnes avant de les abandonner).
Le Monde
L’artiste britannique mourut d’une overdose en 1969, peu de temps après avoir été exclu du groupe. On aime assez l’idée que Brian, dégoûté des Stones, avait fini par passer ses journées à écouter les Beatles. On peut ainsi tout perdre, et rester un homme de goût.
Première
Les interventions de l’ex-bassiste Bill Wyman, qui met en avant le génie de Jones en mimant la guitare slide de Little Red Rooster ou la flûte de Ruby Tuesday, frôlent le comique involontaire. Quant à l’absence de mention de l’album world pionnier The Pipes of Pan at Joujouka, elle tient carrément du crime de lèse-satanic majesté.