Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Pierre Jailloux
Le ton délicieusement décalé et incertain de cette œuvre qui court en eaux étroites se nourrit de cette frontière invisible séparant les deux pèlerins de leur environnement immédiat.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Le film est traversé par une forme d’angoisse à vivre, une fragile candeur vacillant face à l’apathie générale. On a aussi le sentiment que, malgré leur siècle de vécu, ces vampires sont des incarnations de la jeunesse contemporaine, désabusée mais avide d’idéal. Sensuel et existentialiste, "Marinaleda", toujours inventif tout en étant épuré, manie l’incongruité avec un infini talent.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Critikat.com
par Luca Mongai
C’est dans cette condamnation à la quotidienneté que les vampires de Louis Seguin retrouvent, sinon leur mystère, un peu de leur grâce.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par M. Jo.
Dans Marinaleda, troisième moyen-métrage de Louis Séguin, le jeune cinéma d’auteur français renoue avec ce qu’il sait faire de mieux et qu’il ne fait pas assez : le poids plume, l’amateurisme au sens le plus noble du terme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Cinéphile et parfois un peu théorique, ce moyen métrage est aussi ludique, élégant, singulier et à l’occasion inattendu. À suivre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
Le ton délicieusement décalé et incertain de cette œuvre qui court en eaux étroites se nourrit de cette frontière invisible séparant les deux pèlerins de leur environnement immédiat.
Les Inrockuptibles
Le film est traversé par une forme d’angoisse à vivre, une fragile candeur vacillant face à l’apathie générale. On a aussi le sentiment que, malgré leur siècle de vécu, ces vampires sont des incarnations de la jeunesse contemporaine, désabusée mais avide d’idéal. Sensuel et existentialiste, "Marinaleda", toujours inventif tout en étant épuré, manie l’incongruité avec un infini talent.
Critikat.com
C’est dans cette condamnation à la quotidienneté que les vampires de Louis Seguin retrouvent, sinon leur mystère, un peu de leur grâce.
Le Monde
Dans Marinaleda, troisième moyen-métrage de Louis Séguin, le jeune cinéma d’auteur français renoue avec ce qu’il sait faire de mieux et qu’il ne fait pas assez : le poids plume, l’amateurisme au sens le plus noble du terme.
Les Fiches du Cinéma
Cinéphile et parfois un peu théorique, ce moyen métrage est aussi ludique, élégant, singulier et à l’occasion inattendu. À suivre.