Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
La sortie du très gore Project Silence donne envie de (re) découvrir des classiques du cinéma horrifique coréen.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Avec un pitch de série B qui s’assume, Projecti Silence délivre un spectacle tenu, porté par deux fantastiques acteurs : Ju Ji-hoon et Lee Sun-kyun.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Rolling Stone
par La rédaction
Alambiqué sur le papier, le scénario laisse parler son originalité au profit d’une mise en scène redoutable d’efficacité.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Voici
par D.B.
(...) Le pitch de joyeuse série B donne lieu à un spectacle tenu et efficace aux effets visuels réussis.
Culturopoing.com
par François Armand
Dans ce mélange si propre à cette péninsule asiatique réside une singularité charmante qui ferait presque pardonner les nombreux défauts du film.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Ce survival horrifique incontrôlable, qui dénonce vaguement l’expérimentation animale, est surtout là pour nous divertir en adoptant la forme du film catastrophe où règnent le chaos et la panique. Jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par J.-F. R.
Entre le film catastrophe, la dénonciation politique, le film d’horreur et la science-fiction, Project Silence décide de ne pas choisir, mais de s’inventer plutôt une forme extatique dont on se dit que le cinéma hollywoodien a perdu le secret.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Ce film catastrophe à tendance horrifique propose quelques belles séquences, mais peine à créer le suspense et à émouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par A.P.
Ce Cujo meets The Mist meets Daylight est aussi bête qu'un récit de Roland Emmerich, mais Kim Tae-gon se rattrape avec un rythme soutenu, des effets visuels loin d'être honteux et surtout une photographie soignée.
Ouest France
par Cédric Page
Les rebondissements scénaristiques en pagaille de cette série B coréenne ne masquent malheureusement pas le manque d'inspiration de la mise en scène. On est loin de son modèle revendiqué, Dernier train pour Busan.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Une série B d’action efficace, qui ne révolutionne pas les codes du film catastrophe, mais se distingue par sa narration limpide et une perfection technique indéniable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Corentin Lê
Le brouillard, loin du Fog de Carpenter, ne vise qu’à circonscrire un huis clos dans lequel la caméra reste collée aux basques des survivants.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Drôle de projet que ce Project Silence, qui n’a visiblement ni les moyens ni l’envie de tenir sa seule promesse.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Première
par François Léger
(...) des effets spéciaux chaotiques et des personnages stéréotypés dont le comportement défie trop souvent la logique. Mais le rythme solide et quelques scènes d’action mâtinées d’humour slapstick maintiennent l’intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Ce film coréen un brin bancal semble toujours hésiter entre cinéma catastrophe (registre ici maîtrisé) et science-fiction basse du front (l’intrigue comme les effets spéciaux demeurent à la traîne)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Project Silence prend la suite d’autres mariages fructueux entre les monstres terrifiants, la Corée et les infrastructures urbaines du pays, dont étaient ressorties des visions du Mal aussi nettes que mémorables.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un brouillard si épais qu’on n’y voit pas le début d’un scénario construit.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
C’est dans les brumes de l’ennui que s’enfonce le spectateur.
20 Minutes
La sortie du très gore Project Silence donne envie de (re) découvrir des classiques du cinéma horrifique coréen.
CinemaTeaser
Avec un pitch de série B qui s’assume, Projecti Silence délivre un spectacle tenu, porté par deux fantastiques acteurs : Ju Ji-hoon et Lee Sun-kyun.
Rolling Stone
Alambiqué sur le papier, le scénario laisse parler son originalité au profit d’une mise en scène redoutable d’efficacité.
Voici
(...) Le pitch de joyeuse série B donne lieu à un spectacle tenu et efficace aux effets visuels réussis.
Culturopoing.com
Dans ce mélange si propre à cette péninsule asiatique réside une singularité charmante qui ferait presque pardonner les nombreux défauts du film.
Le Journal du Dimanche
Ce survival horrifique incontrôlable, qui dénonce vaguement l’expérimentation animale, est surtout là pour nous divertir en adoptant la forme du film catastrophe où règnent le chaos et la panique. Jubilatoire.
Le Monde
Entre le film catastrophe, la dénonciation politique, le film d’horreur et la science-fiction, Project Silence décide de ne pas choisir, mais de s’inventer plutôt une forme extatique dont on se dit que le cinéma hollywoodien a perdu le secret.
Les Fiches du Cinéma
Ce film catastrophe à tendance horrifique propose quelques belles séquences, mais peine à créer le suspense et à émouvoir.
Mad Movies
Ce Cujo meets The Mist meets Daylight est aussi bête qu'un récit de Roland Emmerich, mais Kim Tae-gon se rattrape avec un rythme soutenu, des effets visuels loin d'être honteux et surtout une photographie soignée.
Ouest France
Les rebondissements scénaristiques en pagaille de cette série B coréenne ne masquent malheureusement pas le manque d'inspiration de la mise en scène. On est loin de son modèle revendiqué, Dernier train pour Busan.
aVoir-aLire.com
Une série B d’action efficace, qui ne révolutionne pas les codes du film catastrophe, mais se distingue par sa narration limpide et une perfection technique indéniable.
Critikat.com
Le brouillard, loin du Fog de Carpenter, ne vise qu’à circonscrire un huis clos dans lequel la caméra reste collée aux basques des survivants.
Ecran Large
Drôle de projet que ce Project Silence, qui n’a visiblement ni les moyens ni l’envie de tenir sa seule promesse.
Première
(...) des effets spéciaux chaotiques et des personnages stéréotypés dont le comportement défie trop souvent la logique. Mais le rythme solide et quelques scènes d’action mâtinées d’humour slapstick maintiennent l’intérêt.
Télérama
Ce film coréen un brin bancal semble toujours hésiter entre cinéma catastrophe (registre ici maîtrisé) et science-fiction basse du front (l’intrigue comme les effets spéciaux demeurent à la traîne)
Cahiers du Cinéma
Project Silence prend la suite d’autres mariages fructueux entre les monstres terrifiants, la Corée et les infrastructures urbaines du pays, dont étaient ressorties des visions du Mal aussi nettes que mémorables.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un brouillard si épais qu’on n’y voit pas le début d’un scénario construit.
Le Dauphiné Libéré
C’est dans les brumes de l’ennui que s’enfonce le spectateur.