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Inglorious_Ben
63 abonnés
1 512 critiques
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3,0
Publiée le 13 mai 2024
Un film de vengeance coréen assez décérébré, où la violence est certes viscérale, mais aussi un peu gratuite, car manquant de profondeur. L'histoire d'amitié qui lance l'intrigue semble tellement venue de nulle part qu'on a du mal à s'attacher à toute la suite. Côté rythme et action, là on est servis, car si Ballerina est desservie par de trop longs temps morts, le peu de castagne qu'il nous offre est efficace et bien chorégraphié. Un film de vengeance sympa mais pas inoubliable. Préférez "J'ai rencontré le Diable", beaucoup plus profond et efficace.
Un film d'action simple et efficace. Ne révolutionne pas le genre, n'apporte rien en originalité niveau scénario, mais l'actrice se défend (dans tous les sens du terme) magnifiquement. Divertissant
Revenge movie à la réalisation plutôt efficace. La narration, assez elliptique, ne prétend pas traiter plus de thèmes que cette simple histoire de vengeance. Jong-Seo a suffisamment de charisme pour compenser certains excès invraisemblables.
Le concept est pas mal et fais la part belle à une fille bad ass et qui dans son regard n’a peur de rien . L’histoire se regarde même si c’est du déjà vu les acteurs jouent bien .
C pas mal mais côté scénario je m'attendais à un peu mieux je l'avoue. C'est une histoire de vengeance assez mal ficelé. La meilleure amie Okju s'est suicidé mais avant elle lui a laissé un.mot lui demandant de la venger. Okju est garde du corps spécialisé dans les combats rapprochés, elle découvre que son amie était victime d'un harceleur et prédateur sexuel. Voilà c le point de départ de l'histoire. Le pitch est simple, un peu trop même notammentvu la façon dont il est retranscrit, il est juste prétexte à. Dans le même genre il existe des séries Coréennes beaucoup mieux tel que My name ou the Glory.
Si vos enfants ou vos petits-enfants vous demandent de visionner « Ballerina », ne pas sortir de la pièce avant d’avoir vérifié qu’il s’agit bien du gentil film d’animation « Ballerina » d’Eric Summer sorti en 2016 et non pas du « Ballerina » de Lee Chung-hyeon. Sinon vos bouts de choux vont en prendre pour 20 ans de psychanalyse. « Ballerina » est un Revenge movie et plus spécifiquement un Rape and revenge d’une violence extrême. Certains le définissent même comme un film féministe, ce qui est une hérésie, car le féminisme est une doctrine qui préconise l'égalité entre l'homme et la femme, et l'extension du rôle de la femme dans la société. Il ne préconise pas que la femme lutte à armes égales avec le pire des pervers et se hisse à son niveau d’ignominie. Ça, ça s’appelle du cinéma. « Ballerina » est un film pompeux, esthéthisant et stylisé, ultra-violent (c’est le meilleur) et ultra-mièvre (les flash-backs décrivant la relation de l’héroïne et de son amie). Un film maniéré, mal filmé, qui manque de rythme et d’originalité. Mention spéciale à Jun Jong-Seo qui assure.
La vengeance, c'est un peu comme le wifi dans le métro : tout le monde en parle, mais peu savent comment ça marche vraiment. "Ballerina", c'est le genre de film qui essaie de mêler l'art délicat de la ballerine à la brutalité d'une vengeance. Un cocktail détonant, comme mélanger du Red Bull avec du vin rouge. Ça pique un peu, mais au moins ça réveille.
Les décors du film étaient plus beaux que la pizza gratuite à une soirée jeux de rôle. On a vu des ruelles sombres, des toits en hauteur, et même une scène dans une boulangerie. Oui, une boulangerie. Parce que rien ne crie vengeance comme une baguette fraîche. Cependant, attention, certaines scènes de combat ont été filmées avec une caméra possédée par un démon en crise d'adolescence. Ça donnait presque envie de lancer un sort de stabilisation.
Les personnages étaient interprétés avec autant de finesse qu'un joueur de jeux vidéo tentant d'expliquer le scénario de Kingdom Hearts. Mention spéciale à Jeon Jong-seo, qui a réussi à combiner la grâce d'une ballerine avec la détermination d'un cosplayer essayant de recréer Iron Man avec du carton. Cependant, il y avait ce petit hic : le protagoniste était plus mystérieux que la disparition de Waldo. Comment une ancienne garde du corps est-elle devenue une machine à distribuer des taloches en tutu? Mystère.
Les scènes de combat ont tenté d'être plus créatives que Deadpool essayant de faire une blague sur les droits d'auteur. Malheureusement, certaines prises de vue étaient plus confuses qu'un choix de fin dans un épisode de Black Mirror. On aurait dit que la caméra était aussi perdue que moi quand on me demande où sont mes clés.
Le récit avait autant de profondeur qu'une mare de canards en plastique. On a la vengeance, on a la douleur, mais on aimerait bien un peu plus d'explication sur comment notre héroïne est devenue une machine à dégommer. C'est un peu comme si Batman se contentait de dire : "J'ai vu mes parents mourir, maintenant je suis Batman, point final". Un peu plus de backstory ne ferait pas de mal.
En fin de compte, "Ballerina" est comme une soirée chez Deadpool : ça décoiffe, c'est plein de surprises, mais on n'est pas sûr d'avoir tout compris. Entre les décors somptueux, les combats un peu fouillis, et le scénario aussi creux qu'une carte de crédit après le Black Friday, on attend de voir comment le réalisateur va rebondir. En attendant, on peut toujours danser en tutu pour exprimer nos émotions. Après tout, c'est peut-être la meilleure façon de se venger.
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Un revenge film "female-led" à la sauce coréenne qui dénonce dans son intrigue la traite des femmes, la sexualité forcée, etc., tout en suggérant pudiquement des amours saphiques. C'est donc un film qu'on peut qualifier de féministe, d'autant plus qu'aucun homme n'a de rôle "positif".
Niveau scénario, bon, c'est un revenge film hein !
Pour le casting, l'héroïne (qui incarne la Tokyo du remake coréen de la Casa de Papel) tient la route en vengeresse dévastée par la douleur. A noter que le méchant incarne le Helsinki coréen dans la même série.
Pour terminer, comme beaucoup de films coréens, les scènes d'actions sont intenses et parfaitement chorégraphiées. Et vous ne pourrez pas manquer de noter lors d'une longue scène spectaculaire de combat le style très John Wick de l'héroïne.
Malgré quelques longueurs, bons divertissement à voir sans hésiter.
Il ne faut évidemment pas confondre cette sorte de John Wick au féminin avec Ballerina, l’animé 3D de 2016 (à partir de 6 ans) et... Ballerina, le dérivé de la franchise John Wick avec Ana de Armas prévu pour 2024 (sûrement très inspiré par notre Ballerina sud-coréen) qui risque d’être mis en scène par Len Wiseman (Underworld, on craint le pire). La ballerine de Lee Chung-hyun est un bon thiller sud-coréen qui tient plus du revenge-movie feministe que du film de cascades à la Chad Stahelski. Mais parler de Luc Besson à son propos serait insultant. Rien d’original ni de spectaculaire, mais l’ensemble est parfaitement bien éxécuté, y compris dans sa photo, sa bande originale (Gray), et ses scènes d’action assez efficaces. L’intérêt et le charme de l’entreprise tiennent surtout à son intreprète principale Jeon Jong-seo, déjà aperçue dans Burning, et qui partage la vedette avec Kim Ji-hoon, tous deux stars d’une série sud-coréenne (Money Heist: Korea – Joint Economic Area) elle-même remake de... La casa de papel. Comme quoi, rien se crée, tout se transforme.
Mais qu'est ce que nous a fait Chung-Hyun Lee ?? Réalisateur du très bon "The Call" déjà à l'époque made in Netflix, Lee se trompe totalement avec "Ballerina". Presque rien ne va... La musique est insupportable, le scénario est creux et déjà vu, et l'ultra stylisation des plans n'a pas d'intérêt. Mais le clou du spectacle revient au message caricatural porté par le film à outrance : les femmes doivent se venger des hommes qui sont tous de salauds... Ainsi, tous les personnages masculins du film sont ici présentés comme des enflures et/ou des obsédés, face à une protagoniste sans pitié et plus à l'aise en baston qu'un combattant de MMA. Bref, on y croit pas une seule seconde.
Si le réalisateur avait apporté le même soin au scénario et à la BO qu'à la photographie, Ballerina aurait pu être un film acceptable. La il est tout juste regardable à défaut d'être écoutable.
Très bon revenge movie. Ce n'est pas un John Wick au feminin, mais y'a de l'action quand même. Plutot que de nous sortir un enieme film bas du front comme il en sort des tonnes, le real est plutot orienté sur une héroine paumée qui a repris gout à la vie grace à une ancienne copine de classe. C'est poétique et c'est plutot touchant. Une vraie bonne surprise