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Le cinéaste, à la fois discret et présent, laisse vivre ce qui advient sans déranger, comme il sait si bien le faire. Ainsi, cette trilogie se referme sur une proximité saisissante avec des êtres humains d'une sensibilité rare, qui, au fil des trois films, sont devenus comme des proches nous renvoyant à notre propre humanité, des amis que l'on a du mal à quitter.
L’aboutissement de la démarche de Nicolas Philibert, bien plus qu’une clausule ou un épilogue. Après l’imaginaire et le symbolique, voilà abordée la dimension du réel.
On retrouve quelques visages croisés dans les films précédents, notamment celui de Frédéric, qui vit dans un fascinant capharnaüm débordant de livres, de disques et de dessins, et qui nous embarque une fois encore dans des histoires à l’invraisemblable cohérence. Nous n’oublierons aucun d’entre eux.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
La Machine à écrire et autres sources de tracas se découvre enfin aujourd’hui, clôture légère et bricoleuse de la trilogie, filmée en ville, au domicile de quelques patients.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Avec patience, les soignants-bricoleurs résolvent ces petits tracas qui peuvent pourrir la vie. Leurs interventions sont aussi et surtout des moments d’échange. Et un lien, pour ces soignés qui vont plutôt bien, avec le pôle psychiatrique. À travers ces moments pleins de tendresse et d’humanité se tisse une histoire toute simple et bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Dans le dernier volet de son triptyque sur les soins psychiatriques, N. Philibert se laisse aller à une approche plus dépouillée, presque artisanale. Un choix formel qui lui permet, paradoxalement, de déployer un peu plus une ambition documentaire peu commune.
Philibert s’intéresse à la vie quotidienne, aux “tracas” que sont les objets, les machines, les instruments, les outils, quand ceux-ci tombent en panne et qu’ils bouleversent sans le vouloir la vie de tout un chacun.
Un petit film de chambre(s), un recueil de nouvelles sautant de lieu en lieu, rappelant que certains des plus beaux gestes documentaires sont intrinsèquement itinérants et buissonniers, en préférant le voyage à la destination.
A nouveau, Nicolas Philibert filme à hauteur d’homme, avec discrétion et acuité. Un dernier volet émouvant, peut-être le plus intime et personnel de ce triptyque.
Avec ce dernier volet sur la maladie psychiatrique en Île-de-France, Nicolas Philibert termine en beauté ce qui ressemble à un conte où la souffrance mentale s’incarne dans les objets du quotidien.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Être présent, à l’écoute et faire le lien, voilà une méthode également éprouvée par Nicolas Philibert derrière sa caméra. « Et moi, je n’ai pas droit à un chocolat ? », l’entend-on glisser à Muriel, rappel discret et malicieux de sa présence empathique hors champ… qui participe, une fois de plus, à élaborer un film sensible et juste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
Le cinéaste, à la fois discret et présent, laisse vivre ce qui advient sans déranger, comme il sait si bien le faire. Ainsi, cette trilogie se referme sur une proximité saisissante avec des êtres humains d'une sensibilité rare, qui, au fil des trois films, sont devenus comme des proches nous renvoyant à notre propre humanité, des amis que l'on a du mal à quitter.
Bande à part
Ce troisième volet vient apporter une note intime, touchante et encore plus humaniste (si c’est possible !) que les deux précédents.
Cahiers du Cinéma
L’aboutissement de la démarche de Nicolas Philibert, bien plus qu’une clausule ou un épilogue. Après l’imaginaire et le symbolique, voilà abordée la dimension du réel.
L'Obs
Touchant. Chacun à leur façon, ces trois documentaires approchent la nécessité et la difficulté de réparer les vivants.
La Voix du Nord
On retrouve quelques visages croisés dans les films précédents, notamment celui de Frédéric, qui vit dans un fascinant capharnaüm débordant de livres, de disques et de dessins, et qui nous embarque une fois encore dans des histoires à l’invraisemblable cohérence. Nous n’oublierons aucun d’entre eux.
Le Dauphiné Libéré
Dans La Machine à écrire et autres sources de tracas, réparer les objets, les choses, c'est réparer les hommes, les âmes.
Le Figaro
Le réalisateur français boucle sa trilogie sur la psychiatrie. Et prouve qu’il sait écouter patients et soignants.
Le Monde
La Machine à écrire et autres sources de tracas se découvre enfin aujourd’hui, clôture légère et bricoleuse de la trilogie, filmée en ville, au domicile de quelques patients.
Le Parisien
Avec patience, les soignants-bricoleurs résolvent ces petits tracas qui peuvent pourrir la vie. Leurs interventions sont aussi et surtout des moments d’échange. Et un lien, pour ces soignés qui vont plutôt bien, avec le pôle psychiatrique. À travers ces moments pleins de tendresse et d’humanité se tisse une histoire toute simple et bouleversante.
Le Point
Drôle, léger, profond.
Les Echos
Après « Sur l'Adamant » et « Averroès et Rosa Parks », Nicolas Philibert ajoute à un émouvant codicille à ses deux films sur la psychiatrie.
Les Fiches du Cinéma
Dans le dernier volet de son triptyque sur les soins psychiatriques, N. Philibert se laisse aller à une approche plus dépouillée, presque artisanale. Un choix formel qui lui permet, paradoxalement, de déployer un peu plus une ambition documentaire peu commune.
Les Inrockuptibles
Philibert s’intéresse à la vie quotidienne, aux “tracas” que sont les objets, les machines, les instruments, les outils, quand ceux-ci tombent en panne et qu’ils bouleversent sans le vouloir la vie de tout un chacun.
Marianne
Un film qui clôt en majesté cette trilogie majeure, et qui fera date.
Ouest France
Un sommet d'humanité et d'espièglerie mêlées.
Positif
Un petit film de chambre(s), un recueil de nouvelles sautant de lieu en lieu, rappelant que certains des plus beaux gestes documentaires sont intrinsèquement itinérants et buissonniers, en préférant le voyage à la destination.
Première
Nicolas Philibert clôt ici en beauté une trilogie qui restera un marqueur dans sa carrière.
Sud Ouest
A nouveau, Nicolas Philibert filme à hauteur d’homme, avec discrétion et acuité. Un dernier volet émouvant, peut-être le plus intime et personnel de ce triptyque.
aVoir-aLire.com
Avec ce dernier volet sur la maladie psychiatrique en Île-de-France, Nicolas Philibert termine en beauté ce qui ressemble à un conte où la souffrance mentale s’incarne dans les objets du quotidien.
Télérama
Être présent, à l’écoute et faire le lien, voilà une méthode également éprouvée par Nicolas Philibert derrière sa caméra. « Et moi, je n’ai pas droit à un chocolat ? », l’entend-on glisser à Muriel, rappel discret et malicieux de sa présence empathique hors champ… qui participe, une fois de plus, à élaborer un film sensible et juste.