La Machine à écrire et autres sources de tracas : Critique presse
La Machine à écrire et autres sources de tracas
Note moyenne
4,0
20 titres de presse
Franceinfo Culture
Bande à part
Cahiers du Cinéma
L'Obs
La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
Le Monde
Le Parisien
Le Point
Les Echos
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Marianne
Ouest France
Positif
Première
Sud Ouest
aVoir-aLire.com
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Le cinéaste, à la fois discret et présent, laisse vivre ce qui advient sans déranger, comme il sait si bien le faire. Ainsi, cette trilogie se referme sur une proximité saisissante avec des êtres humains d'une sensibilité rare, qui, au fil des trois films, sont devenus comme des proches nous renvoyant à notre propre humanité, des amis que l'on a du mal à quitter.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Bande à part
par Isabelle Danel
Ce troisième volet vient apporter une note intime, touchante et encore plus humaniste (si c’est possible !) que les deux précédents.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
L’aboutissement de la démarche de Nicolas Philibert, bien plus qu’une clausule ou un épilogue. Après l’imaginaire et le symbolique, voilà abordée la dimension du réel.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Obs
par Isabelle Danel
Touchant. Chacun à leur façon, ces trois documentaires approchent la nécessité et la difficulté de réparer les vivants.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
On retrouve quelques visages croisés dans les films précédents, notamment celui de Frédéric, qui vit dans un fascinant capharnaüm débordant de livres, de disques et de dessins, et qui nous embarque une fois encore dans des histoires à l’invraisemblable cohérence. Nous n’oublierons aucun d’entre eux.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Dans La Machine à écrire et autres sources de tracas, réparer les objets, les choses, c'est réparer les hommes, les âmes.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Le réalisateur français boucle sa trilogie sur la psychiatrie. Et prouve qu’il sait écouter patients et soignants.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par J. Ma.
La Machine à écrire et autres sources de tracas se découvre enfin aujourd’hui, clôture légère et bricoleuse de la trilogie, filmée en ville, au domicile de quelques patients.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Catherine Balle
Avec patience, les soignants-bricoleurs résolvent ces petits tracas qui peuvent pourrir la vie. Leurs interventions sont aussi et surtout des moments d’échange. Et un lien, pour ces soignés qui vont plutôt bien, avec le pôle psychiatrique. À travers ces moments pleins de tendresse et d’humanité se tisse une histoire toute simple et bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Drôle, léger, profond.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Après « Sur l'Adamant » et « Averroès et Rosa Parks », Nicolas Philibert ajoute à un émouvant codicille à ses deux films sur la psychiatrie.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoareau
Dans le dernier volet de son triptyque sur les soins psychiatriques, N. Philibert se laisse aller à une approche plus dépouillée, presque artisanale. Un choix formel qui lui permet, paradoxalement, de déployer un peu plus une ambition documentaire peu commune.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Philibert s’intéresse à la vie quotidienne, aux “tracas” que sont les objets, les machines, les instruments, les outils, quand ceux-ci tombent en panne et qu’ils bouleversent sans le vouloir la vie de tout un chacun.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un film qui clôt en majesté cette trilogie majeure, et qui fera date.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par La Rédaction
Un sommet d'humanité et d'espièglerie mêlées.
Positif
par La Rédaction
Un petit film de chambre(s), un recueil de nouvelles sautant de lieu en lieu, rappelant que certains des plus beaux gestes documentaires sont intrinsèquement itinérants et buissonniers, en préférant le voyage à la destination.
Première
par Thierry Chèze
Nicolas Philibert clôt ici en beauté une trilogie qui restera un marqueur dans sa carrière.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
A nouveau, Nicolas Philibert filme à hauteur d’homme, avec discrétion et acuité. Un dernier volet émouvant, peut-être le plus intime et personnel de ce triptyque.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Avec ce dernier volet sur la maladie psychiatrique en Île-de-France, Nicolas Philibert termine en beauté ce qui ressemble à un conte où la souffrance mentale s’incarne dans les objets du quotidien.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Télérama
par Cécile Marchand Ménard
Être présent, à l’écoute et faire le lien, voilà une méthode également éprouvée par Nicolas Philibert derrière sa caméra. « Et moi, je n’ai pas droit à un chocolat ? », l’entend-on glisser à Muriel, rappel discret et malicieux de sa présence empathique hors champ… qui participe, une fois de plus, à élaborer un film sensible et juste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
Le cinéaste, à la fois discret et présent, laisse vivre ce qui advient sans déranger, comme il sait si bien le faire. Ainsi, cette trilogie se referme sur une proximité saisissante avec des êtres humains d'une sensibilité rare, qui, au fil des trois films, sont devenus comme des proches nous renvoyant à notre propre humanité, des amis que l'on a du mal à quitter.
Bande à part
Ce troisième volet vient apporter une note intime, touchante et encore plus humaniste (si c’est possible !) que les deux précédents.
Cahiers du Cinéma
L’aboutissement de la démarche de Nicolas Philibert, bien plus qu’une clausule ou un épilogue. Après l’imaginaire et le symbolique, voilà abordée la dimension du réel.
L'Obs
Touchant. Chacun à leur façon, ces trois documentaires approchent la nécessité et la difficulté de réparer les vivants.
La Voix du Nord
On retrouve quelques visages croisés dans les films précédents, notamment celui de Frédéric, qui vit dans un fascinant capharnaüm débordant de livres, de disques et de dessins, et qui nous embarque une fois encore dans des histoires à l’invraisemblable cohérence. Nous n’oublierons aucun d’entre eux.
Le Dauphiné Libéré
Dans La Machine à écrire et autres sources de tracas, réparer les objets, les choses, c'est réparer les hommes, les âmes.
Le Figaro
Le réalisateur français boucle sa trilogie sur la psychiatrie. Et prouve qu’il sait écouter patients et soignants.
Le Monde
La Machine à écrire et autres sources de tracas se découvre enfin aujourd’hui, clôture légère et bricoleuse de la trilogie, filmée en ville, au domicile de quelques patients.
Le Parisien
Avec patience, les soignants-bricoleurs résolvent ces petits tracas qui peuvent pourrir la vie. Leurs interventions sont aussi et surtout des moments d’échange. Et un lien, pour ces soignés qui vont plutôt bien, avec le pôle psychiatrique. À travers ces moments pleins de tendresse et d’humanité se tisse une histoire toute simple et bouleversante.
Le Point
Drôle, léger, profond.
Les Echos
Après « Sur l'Adamant » et « Averroès et Rosa Parks », Nicolas Philibert ajoute à un émouvant codicille à ses deux films sur la psychiatrie.
Les Fiches du Cinéma
Dans le dernier volet de son triptyque sur les soins psychiatriques, N. Philibert se laisse aller à une approche plus dépouillée, presque artisanale. Un choix formel qui lui permet, paradoxalement, de déployer un peu plus une ambition documentaire peu commune.
Les Inrockuptibles
Philibert s’intéresse à la vie quotidienne, aux “tracas” que sont les objets, les machines, les instruments, les outils, quand ceux-ci tombent en panne et qu’ils bouleversent sans le vouloir la vie de tout un chacun.
Marianne
Un film qui clôt en majesté cette trilogie majeure, et qui fera date.
Ouest France
Un sommet d'humanité et d'espièglerie mêlées.
Positif
Un petit film de chambre(s), un recueil de nouvelles sautant de lieu en lieu, rappelant que certains des plus beaux gestes documentaires sont intrinsèquement itinérants et buissonniers, en préférant le voyage à la destination.
Première
Nicolas Philibert clôt ici en beauté une trilogie qui restera un marqueur dans sa carrière.
Sud Ouest
A nouveau, Nicolas Philibert filme à hauteur d’homme, avec discrétion et acuité. Un dernier volet émouvant, peut-être le plus intime et personnel de ce triptyque.
aVoir-aLire.com
Avec ce dernier volet sur la maladie psychiatrique en Île-de-France, Nicolas Philibert termine en beauté ce qui ressemble à un conte où la souffrance mentale s’incarne dans les objets du quotidien.
Télérama
Être présent, à l’écoute et faire le lien, voilà une méthode également éprouvée par Nicolas Philibert derrière sa caméra. « Et moi, je n’ai pas droit à un chocolat ? », l’entend-on glisser à Muriel, rappel discret et malicieux de sa présence empathique hors champ… qui participe, une fois de plus, à élaborer un film sensible et juste.