Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Philibert appréhende ces patients non par le versant de la maladie, mais par la quête impossible d’une norme fantasmée. Il révèle ceux que nous plaçons dans les marges de notre ordre social comme des versions plus détruites, plus instables de ce que nous sommes.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Dans le regard des résident·es d’Averroès et Rosa Parks, il y a une familiarité inquiétante. Le triptyque de Nicolas Philibert nous tend un miroir.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Un documentaire d'une humanité déchirante.
Bande à part
par Isabelle Danel
Vertigineux et follement humain.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Nicolas Philibert filme avec une humanité soigneuse et bienveillante les patients et les médecins.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Le nouveau film de Nicolas Philibert entrouvre une nouvelle fois avec une grande humanité une porte sur les terres souvent tourmentées, parfois joyeuses, de la folie.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Céline Rouden
Un formidable hommage aux soignants.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
De cet univers complexe et parfois troublant, émane pourtant une douceur inattendue, une joyeuseté qui surgit çà et là.
Le Figaro
par É. S.
Dans ces espaces clos, Nicolas Philibert se fait oublier pour enregistrer les consultations. Les discours hors norme, la parole « inordinaire », les psychiatres les écoutent avec une patience infinie, une bienveillance réelle. Cela ne fait pas d'eux des héros.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Ma. Mt.
Devant la caméra se succèdent différents patients et praticiens, avec le temps qu’il faut pour que la souffrance soit énoncée. Plus encore que des « cas », ce sont des personnes que le film révèle et, avec elles, des parcours de vie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Catherine Balle
Un film bouleversant de dignité et d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
On doit au grand documentariste Nicolas Philibert des moments forts de cinéma, vécus dans la classe d'Être et avoir ou face à la merveilleuse Nénette de la ménagerie du Jardin des plantes. La Cinémathèque française lui consacre d'ailleurs une rétrospective jusqu'au 31 mars. Il pose aujourd'hui son regard respectueux, toujours à juste distance, sur une demi-douzaine de patients de l'hôpital de Charenton.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Après Sur l'Adamant, Nicolas Philibert poursuit son périple documentaire dans le monde de la psychiatrie. Saisissant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Après "Sur l’Adamant", N. Philibert s’intéresse à deux autres unités du Pôle psychiatrique Paris-Centre : Averroès & Rosa Parks. S’appuyant sur des entretiens “soignants-soignés”, il continue de célébrer des espaces de parole à la fois précieux et révélateurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Pas de voyeurisme, pas de surplomb, simplement un regard et une écoute attentive, le geste du cinéaste accompagnant ainsi celui du personnel hospitalier. Il nous rapproche des patients davantage qu’il nous en éloigne, les failles dévoilées semblant souvent des versions XXL d’aspérités dont chacun mesurera s’il peut les faire siennes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Ce militantisme souterrain hante le film qui, patiemment, donne à voir et à entendre la souffrance des fragilisés de l’existence et le dévouement exemplaire de ceux qui, malgré tout, tentent de les soulager.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Yannick Vely
Par un dispositif de mise en scène fort et rigoureux : des entretiens individuels et des réunions filmés sur un temps long, Nicolas Philibert redonne de la dignité à ces naufragés de la vie, qui navigue à contre-courant sur la voie de réinsertion.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Éric Derobert
Nicolas Philibert filme ces entretiens sur la longueur, avec le procédé le plus classique qui soit, le champ-contrechamp [...]. Plus ou moins frontaux, les angles des prises de vues ne sont jamais tout à fait les mêmes non plus. Tout cela, bien entendu, alterne sans cesse, et amène le spectateur à un degré de concentration rare face à ce qu’il voit et à ce qu’il entend.
Première
par Thierry Chèze
Traversé par la même humanité que Sur l’Adamant, peuplé de respirations permettant d’encaisser et digérer les moments déchirants qui le peuplent, Averroès et Rosa Parks est d’abord et avant tout un hommage aux soignants, à leur capacité d’écoute, à leur don d’eux- mêmes, et à ce sourire apaisant qui ne les quitte jamais y compris dans les situations les plus critiques.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Passionnant. Nicolas Philibert déploie son art de l'écoute et du regard au coeur des vies même d'un établissement, de ses patients et de ses praticiens.
Télé 2 semaines
par Margot Loisel
Voilà des images précieuses par ce qu'elles racontent des peurs, détresses et tristesses humaines, et également de la dépression chez les jeunes.
Télérama
par Frédéric Strauss
Nicolas Philibert croit à un hôpital où l’humain a sa place, à une psychiatrie où le soin a un sens profond. II croit aux rencontres, au lien possible envers et contre tout. Son film est un partage inoubliable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Le réalisateur s'attache toujours plus à la parole des patients, que ses caméras captent avec tact et bienveillance.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Après l’odyssée pleine d’espérance et d’enthousiasme « Sur l’Adamant », Nicolas Philibert installe sa caméra au cœur de l’hôpital psychiatrique Esquirol dans une unité réservée aux patients du centre de Paris. Plus qu’une réussite, ce documentaire est un témoignage flamboyant d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
L’écoute et le professionnalisme de certains soignants forcent l’admiration et nous rappellent que la folie est une pathologie du lien. Un lien malmené par la gestion de plus en plus productiviste du corps médical. Un lien que Philibert cherche à créer entre le spectateur et ces humanités torturées qui ont tant à nous apprendre sur nous et notre société.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Critikat.com
par Corentin Lê
Toujours filmés via la relation verticale soignant-soigné, les patients manquent d’espace et apparaissent par conséquent doublement enfermés : par l’établissement et par le film.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
Philibert appréhende ces patients non par le versant de la maladie, mais par la quête impossible d’une norme fantasmée. Il révèle ceux que nous plaçons dans les marges de notre ordre social comme des versions plus détruites, plus instables de ce que nous sommes.
Les Inrockuptibles
Dans le regard des résident·es d’Averroès et Rosa Parks, il y a une familiarité inquiétante. Le triptyque de Nicolas Philibert nous tend un miroir.
Ouest France
Un documentaire d'une humanité déchirante.
Bande à part
Vertigineux et follement humain.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Nicolas Philibert filme avec une humanité soigneuse et bienveillante les patients et les médecins.
Franceinfo Culture
Le nouveau film de Nicolas Philibert entrouvre une nouvelle fois avec une grande humanité une porte sur les terres souvent tourmentées, parfois joyeuses, de la folie.
La Croix
Un formidable hommage aux soignants.
Le Dauphiné Libéré
De cet univers complexe et parfois troublant, émane pourtant une douceur inattendue, une joyeuseté qui surgit çà et là.
Le Figaro
Dans ces espaces clos, Nicolas Philibert se fait oublier pour enregistrer les consultations. Les discours hors norme, la parole « inordinaire », les psychiatres les écoutent avec une patience infinie, une bienveillance réelle. Cela ne fait pas d'eux des héros.
Le Monde
Devant la caméra se succèdent différents patients et praticiens, avec le temps qu’il faut pour que la souffrance soit énoncée. Plus encore que des « cas », ce sont des personnes que le film révèle et, avec elles, des parcours de vie.
Le Parisien
Un film bouleversant de dignité et d’humanité.
Le Point
On doit au grand documentariste Nicolas Philibert des moments forts de cinéma, vécus dans la classe d'Être et avoir ou face à la merveilleuse Nénette de la ménagerie du Jardin des plantes. La Cinémathèque française lui consacre d'ailleurs une rétrospective jusqu'au 31 mars. Il pose aujourd'hui son regard respectueux, toujours à juste distance, sur une demi-douzaine de patients de l'hôpital de Charenton.
Les Echos
Après Sur l'Adamant, Nicolas Philibert poursuit son périple documentaire dans le monde de la psychiatrie. Saisissant.
Les Fiches du Cinéma
Après "Sur l’Adamant", N. Philibert s’intéresse à deux autres unités du Pôle psychiatrique Paris-Centre : Averroès & Rosa Parks. S’appuyant sur des entretiens “soignants-soignés”, il continue de célébrer des espaces de parole à la fois précieux et révélateurs.
Libération
Pas de voyeurisme, pas de surplomb, simplement un regard et une écoute attentive, le geste du cinéaste accompagnant ainsi celui du personnel hospitalier. Il nous rapproche des patients davantage qu’il nous en éloigne, les failles dévoilées semblant souvent des versions XXL d’aspérités dont chacun mesurera s’il peut les faire siennes.
Marianne
Ce militantisme souterrain hante le film qui, patiemment, donne à voir et à entendre la souffrance des fragilisés de l’existence et le dévouement exemplaire de ceux qui, malgré tout, tentent de les soulager.
Paris Match
Par un dispositif de mise en scène fort et rigoureux : des entretiens individuels et des réunions filmés sur un temps long, Nicolas Philibert redonne de la dignité à ces naufragés de la vie, qui navigue à contre-courant sur la voie de réinsertion.
Positif
Nicolas Philibert filme ces entretiens sur la longueur, avec le procédé le plus classique qui soit, le champ-contrechamp [...]. Plus ou moins frontaux, les angles des prises de vues ne sont jamais tout à fait les mêmes non plus. Tout cela, bien entendu, alterne sans cesse, et amène le spectateur à un degré de concentration rare face à ce qu’il voit et à ce qu’il entend.
Première
Traversé par la même humanité que Sur l’Adamant, peuplé de respirations permettant d’encaisser et digérer les moments déchirants qui le peuplent, Averroès et Rosa Parks est d’abord et avant tout un hommage aux soignants, à leur capacité d’écoute, à leur don d’eux- mêmes, et à ce sourire apaisant qui ne les quitte jamais y compris dans les situations les plus critiques.
Sud Ouest
Passionnant. Nicolas Philibert déploie son art de l'écoute et du regard au coeur des vies même d'un établissement, de ses patients et de ses praticiens.
Télé 2 semaines
Voilà des images précieuses par ce qu'elles racontent des peurs, détresses et tristesses humaines, et également de la dépression chez les jeunes.
Télérama
Nicolas Philibert croit à un hôpital où l’humain a sa place, à une psychiatrie où le soin a un sens profond. II croit aux rencontres, au lien possible envers et contre tout. Son film est un partage inoubliable.
Voici
Le réalisateur s'attache toujours plus à la parole des patients, que ses caméras captent avec tact et bienveillance.
aVoir-aLire.com
Après l’odyssée pleine d’espérance et d’enthousiasme « Sur l’Adamant », Nicolas Philibert installe sa caméra au cœur de l’hôpital psychiatrique Esquirol dans une unité réservée aux patients du centre de Paris. Plus qu’une réussite, ce documentaire est un témoignage flamboyant d’humanité.
L'Obs
L’écoute et le professionnalisme de certains soignants forcent l’admiration et nous rappellent que la folie est une pathologie du lien. Un lien malmené par la gestion de plus en plus productiviste du corps médical. Un lien que Philibert cherche à créer entre le spectateur et ces humanités torturées qui ont tant à nous apprendre sur nous et notre société.
Critikat.com
Toujours filmés via la relation verticale soignant-soigné, les patients manquent d’espace et apparaissent par conséquent doublement enfermés : par l’établissement et par le film.