Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Radicalisation du manque, extension du minimalisme : le haïku comme modèle poétique qui donne forme au plan perce à l’horizon. Faire le vide, en faire moins pour chercher le monde et en dire le plus.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Jouer à chifoumi, observer une plante grandir, savourer seul une cigarette en buvant un verre de whisky... De nos jours est plus que jamais attentif aux infinitésimaux ravissements de la vie. Depuis deux films donc, HSS nous dit qu’il ne voit plus rien (le flou d’In Water), et pourquoi il ne voit plus rien (l’impossibilité à arrêter ce qui l’empoisonne). Bouleversant, et sublime.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Critikat.com
par Corentin Lê
Parmi les derniers films du cinéaste, De nos jours... est l'un des plus drôles, mais aussi l’un des plus simples.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Michèle Levieux
Avec « De nos jours... », son 30ème long métrage présenté en clôture de la Quinzaine des Cinéastes à Cannes, issu d’une filmographie qui s’étend sur près de 30 ans, le réalisateur sud-coréen, Hong Sangsoo, se montre de plus en plus minimaliste, humain et touchant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par É.N.
On ne va pas rater ça. Le soju, carburant essentiel au cinéma du Coréen, revient dans la boucle. Quel bonheur !
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Ma. Mt
Au cœur de cette miniature, Hong Sang-soo n’a pas son pareil pour se rabattre sur des petits détails saillants, à la fois dérisoires et tragiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Luc Chessel
Marqué par la sobriété nouvelle du cinéaste sud-coréen Hong Sang-soo, ce trentième film faussement simple sur l’addiction excelle dans l’art du malaise et de la désinhibition.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Fabien Gaffez
Un film de Hong Sang-Soo sans cette ivresse de la reconnaissance serait comme une bière sans alcool : un mensonge et une illusion.
Télérama
par Louis Guichard
Finalement, personne ne fait ce qu’il dit, ni se sait vraiment ce qu’il fait. Pourtant, ce double conte moral brille d’une sagesse paradoxale et procure une sérénité enviable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
par Rudy Degardin
Un spectateur non averti pourrait trouver les 84 minutes de ce film d'auteur sud-coréen bien longues.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un dispositif un peu schématique, dont l’ironie et la mélancolie ne parviennent pas à masquer la facilité, voire la paresse. Il est permis de penser que des séquences (longuettes) mettant en scène une crise d’angoisse consécutive à la disparition d’un chat ou à une partie de pierre-papier-ciseaux avec gages éthyliques servent d’abord à remplir les espaces vacants du scénario.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Yohan Haddad
S’il ne sort pas vraiment de sa zone de confort, le cinéaste parvient toutefois à sublimer le réel, transformant l’art de la parole en poésie abstraite, indicible à l’oreille mais symbole d’une réflexion comme lui seul est capable d’en proposer.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
La petite musique de Hong Sang-soo distille toujours son charme authentique, malgré des redites. Les déboires d’un vieux poète et d’une ancienne actrice permettent de retrouver tout l’univers du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Radicalisation du manque, extension du minimalisme : le haïku comme modèle poétique qui donne forme au plan perce à l’horizon. Faire le vide, en faire moins pour chercher le monde et en dire le plus.
Les Inrockuptibles
Jouer à chifoumi, observer une plante grandir, savourer seul une cigarette en buvant un verre de whisky... De nos jours est plus que jamais attentif aux infinitésimaux ravissements de la vie. Depuis deux films donc, HSS nous dit qu’il ne voit plus rien (le flou d’In Water), et pourquoi il ne voit plus rien (l’impossibilité à arrêter ce qui l’empoisonne). Bouleversant, et sublime.
Critikat.com
Parmi les derniers films du cinéaste, De nos jours... est l'un des plus drôles, mais aussi l’un des plus simples.
L'Humanité
Avec « De nos jours... », son 30ème long métrage présenté en clôture de la Quinzaine des Cinéastes à Cannes, issu d’une filmographie qui s’étend sur près de 30 ans, le réalisateur sud-coréen, Hong Sangsoo, se montre de plus en plus minimaliste, humain et touchant.
Le Figaro
On ne va pas rater ça. Le soju, carburant essentiel au cinéma du Coréen, revient dans la boucle. Quel bonheur !
Le Monde
Au cœur de cette miniature, Hong Sang-soo n’a pas son pareil pour se rabattre sur des petits détails saillants, à la fois dérisoires et tragiques.
Libération
Marqué par la sobriété nouvelle du cinéaste sud-coréen Hong Sang-soo, ce trentième film faussement simple sur l’addiction excelle dans l’art du malaise et de la désinhibition.
Positif
Un film de Hong Sang-Soo sans cette ivresse de la reconnaissance serait comme une bière sans alcool : un mensonge et une illusion.
Télérama
Finalement, personne ne fait ce qu’il dit, ni se sait vraiment ce qu’il fait. Pourtant, ce double conte moral brille d’une sagesse paradoxale et procure une sérénité enviable.
Franceinfo Culture
Un spectateur non averti pourrait trouver les 84 minutes de ce film d'auteur sud-coréen bien longues.
L'Obs
Un dispositif un peu schématique, dont l’ironie et la mélancolie ne parviennent pas à masquer la facilité, voire la paresse. Il est permis de penser que des séquences (longuettes) mettant en scène une crise d’angoisse consécutive à la disparition d’un chat ou à une partie de pierre-papier-ciseaux avec gages éthyliques servent d’abord à remplir les espaces vacants du scénario.
Première
S’il ne sort pas vraiment de sa zone de confort, le cinéaste parvient toutefois à sublimer le réel, transformant l’art de la parole en poésie abstraite, indicible à l’oreille mais symbole d’une réflexion comme lui seul est capable d’en proposer.
aVoir-aLire.com
La petite musique de Hong Sang-soo distille toujours son charme authentique, malgré des redites. Les déboires d’un vieux poète et d’une ancienne actrice permettent de retrouver tout l’univers du cinéaste.