Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un traité de correspondances sensorielles mis en scène par la jeune cinéaste Zihan Geng, hors des sentiers battus du naturalisme.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
aVoir-aLire.com
par Laurent Garreau
L’histoire de ce film est universelle. Une fable qui, loin d’être moralisatrice, a néanmoins une morale faisant le lien entre confiance en soi et connaissance de soi.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Ce récit d’émancipation peine à s’affranchir de certaines figures de style du cinéma d’auteur asiatique où la cinéaste débutante surenchérit la douceur ouatée de sa caméra. Une délicatesse que l’on aimerait brusquer mais qui finit par troubler.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Cl. F.
Blue Summer chronique la complicité contrariée de deux âmes seules, face à un monde adulte réduit à la quête d’argent et de réussite. A cet égard, la désinvolture du père photographe (Liang Long), dans son atelier de prises de vue qui n’attire pas foule, pourrait permettre à Xian de lâcher prise.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Malgré d’indéniables qualités formelles, ce premier long métrage cherche tant la délicatesse qu’il demeure insaisissable.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Le film manque un peu de chair mais ni de larmes ou de sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Transfuge
par Séverine Danflous
Un tendre hommage à l'âge des transitions, des amours naissantes et des métamorphoses.
Première
par Thierry Chèze
Un récit initiatique amoureux aux airs de déjà vu, à cause de personnages enfermés dans des archétypes. Dommage car le jeu sur les couleurs et le grain de l’image, exprime, lui, avec une grande finesse les troubles de l’adolescence et les sentiments contradictoires qui l’accompagnent.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Le décor du studio photo est un tremplin vers un travail sur l’image souvent séduisant. Mais la maîtrise visuelle referme un peu Blue Summer, tourné dans la ville de Harbin, au nord de la Chine, sur des impressions volatiles, parfois lisses ou trop construites. En fusion avec ses héroïnes, la réalisatrice les entoure d’une tendresse qu’elle sait faire partager, mais qui demeure un peu figée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Un traité de correspondances sensorielles mis en scène par la jeune cinéaste Zihan Geng, hors des sentiers battus du naturalisme.
aVoir-aLire.com
L’histoire de ce film est universelle. Une fable qui, loin d’être moralisatrice, a néanmoins une morale faisant le lien entre confiance en soi et connaissance de soi.
L'Obs
Ce récit d’émancipation peine à s’affranchir de certaines figures de style du cinéma d’auteur asiatique où la cinéaste débutante surenchérit la douceur ouatée de sa caméra. Une délicatesse que l’on aimerait brusquer mais qui finit par troubler.
Le Monde
Blue Summer chronique la complicité contrariée de deux âmes seules, face à un monde adulte réduit à la quête d’argent et de réussite. A cet égard, la désinvolture du père photographe (Liang Long), dans son atelier de prises de vue qui n’attire pas foule, pourrait permettre à Xian de lâcher prise.
Les Fiches du Cinéma
Malgré d’indéniables qualités formelles, ce premier long métrage cherche tant la délicatesse qu’il demeure insaisissable.
Paris Match
Le film manque un peu de chair mais ni de larmes ou de sentiments.
Transfuge
Un tendre hommage à l'âge des transitions, des amours naissantes et des métamorphoses.
Première
Un récit initiatique amoureux aux airs de déjà vu, à cause de personnages enfermés dans des archétypes. Dommage car le jeu sur les couleurs et le grain de l’image, exprime, lui, avec une grande finesse les troubles de l’adolescence et les sentiments contradictoires qui l’accompagnent.
Télérama
Le décor du studio photo est un tremplin vers un travail sur l’image souvent séduisant. Mais la maîtrise visuelle referme un peu Blue Summer, tourné dans la ville de Harbin, au nord de la Chine, sur des impressions volatiles, parfois lisses ou trop construites. En fusion avec ses héroïnes, la réalisatrice les entoure d’une tendresse qu’elle sait faire partager, mais qui demeure un peu figée.