Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Dénonçant de-ci de-là la condescendance des Européens à leur égard, le film révèle une affection pour ce pays, ses habitants et ses territoires, malgré une Histoire qui peut s’apparenter à un naufrage permanent. S’il est émaillé d’une violence qui renvoie aux tueries, guerres et massacres qui y ont fleuri, celle-ci est traitée sur le mode d’un grand-guignol cathartique, plutôt que de la pénitence.
Culturopoing.com
par Eleonore Vigier
Avec son côté absurde et empli d’humour noir, "The Sweet East" compose en filigrane du voyage une symphonie de l’adolescence, entre quête identitaire, désir de provocation et d’émancipation, et jeux de rôles.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Le film est une variation autour du road movie, conte à tiroirs où chaque fantaisie s’évanouit dans la suivante sans crier gare, soumis à la seule volonté d’une innocence farouche.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ecran Large
par Antoine Desrues
Aussi irrésistible que son actrice Talia Ryder, "The Sweet East" fascine à chacun des virages narratifs de son escapade américaine. Une comédie rafraîchissante au cœur d’un conte de fées désenchanté.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
GQ
par Clément Deleschaud
Une comédie agressive, vivifiante et sans compromis.
La critique complète est disponible sur le site GQ
La Septième Obsession
par La rédaction
Un premier long-métrage à ne pas rater.
Le Monde
par M. Jo.
En creux, le voyage de Lillian dessine le portrait d’un pays complètement paumé, traversé de mouvements aberrants et de communautés auxquelles il ne reste qu’une toute dernière expérience à vivre : celle de la radicalité politique qui tourne à vide et n’a plus prise sur le monde.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film drôle et terrible, qui flirte avec le conte.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
Sacrée promenade, euphorisante dès les premiers instants alors même que la violence s’invite en fanfare, comme un méchant délire de plus. Les péripéties s’étirent ou s’accélèrent dans une bulle de fureur flottante, chargée d’étrangeté, le film tenant sa note ésotérique jusqu’au bout. Toutes les radicalités se sont données rendez-vous dans une seule virée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
"The Sweet East" glisse au travers d'univers très disparates qui sont autant de facettes d'une Amérique éclatée, mais il glisse aussi à l'intérieur de chaque épisode, où les clichés sont jetés aux orties.
Ouest France
par Thierry Cheze
Si le film part un peu dans tous les sens, il raconte le chaos post-Trump avec une acuité saisissante.
Télérama
par Louis Guichard
Or le cinéaste, Sean Price Williams, qui fut le brillant chef opérateur des frères Safdie (notamment pour Good Time, avec Robert Pattinson), filme ces ermites et ces excentriques — ou pire — sans condescendance ni effroi, en débusquant aussi leur fragilités, en révélant la drôlerie involontaire de leurs univers respectifs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Clément Colliaux
L'éclatement du récit, qui confère au film une fraîcheur manifeste, constitue ceci dit l’une de ses limites : si la profusion d’idées est souvent réjouissante, elle génère à la longue un certain épuisement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Constance Jamet
Que serait le cinéma d’auteur américain sans ses road trips et ses parcours initiatiques ? The Sweet East de Sean Price Williams est une des belles pépites dénichées l’an passé par le Festival de Deauville, qui lui a décerné, à juste titre, le prix du jury.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par François Léger
Pourtant le film survit à toutes ses ruptures de ton, grâce à un humour noir féroce et à la performance incroyable de son héroïne : Talia Ryder hypnotise la caméra à la seule force de quelques moues et de ses yeux gris-bleus. Déjà la révélation de l’année.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Un voyage initiatique survolté, mais un peu artificiel en raison de ses trop nombreuses situations.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Variation d’Alice au pays des merveilles option bad trip, le film résolument onirique lasse le spectateur avec son scénario tentaculaire et bavard, sa mise en scène un brin poseuse. Reste le charisme insolent de la formidable Talia Ryder.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Renaud Baronian
Se présentant, non sans prétention, comme une version moderne de « Alice au pays des merveilles » qui voudrait dresser une photographie de l’Amérique marginale post-Trump, « The Sweet East » a plutôt tout d’une petite chose indépendante qui veut jouer, sans jamais y parvenir, dans la cour des grands, et s’avère au final assez inconséquente et d’un ennui profond.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Cahiers du Cinéma
Dénonçant de-ci de-là la condescendance des Européens à leur égard, le film révèle une affection pour ce pays, ses habitants et ses territoires, malgré une Histoire qui peut s’apparenter à un naufrage permanent. S’il est émaillé d’une violence qui renvoie aux tueries, guerres et massacres qui y ont fleuri, celle-ci est traitée sur le mode d’un grand-guignol cathartique, plutôt que de la pénitence.
Culturopoing.com
Avec son côté absurde et empli d’humour noir, "The Sweet East" compose en filigrane du voyage une symphonie de l’adolescence, entre quête identitaire, désir de provocation et d’émancipation, et jeux de rôles.
Les Inrockuptibles
Le film est une variation autour du road movie, conte à tiroirs où chaque fantaisie s’évanouit dans la suivante sans crier gare, soumis à la seule volonté d’une innocence farouche.
Ecran Large
Aussi irrésistible que son actrice Talia Ryder, "The Sweet East" fascine à chacun des virages narratifs de son escapade américaine. Une comédie rafraîchissante au cœur d’un conte de fées désenchanté.
GQ
Une comédie agressive, vivifiante et sans compromis.
La Septième Obsession
Un premier long-métrage à ne pas rater.
Le Monde
En creux, le voyage de Lillian dessine le portrait d’un pays complètement paumé, traversé de mouvements aberrants et de communautés auxquelles il ne reste qu’une toute dernière expérience à vivre : celle de la radicalité politique qui tourne à vide et n’a plus prise sur le monde.
Les Fiches du Cinéma
Un film drôle et terrible, qui flirte avec le conte.
Libération
Sacrée promenade, euphorisante dès les premiers instants alors même que la violence s’invite en fanfare, comme un méchant délire de plus. Les péripéties s’étirent ou s’accélèrent dans une bulle de fureur flottante, chargée d’étrangeté, le film tenant sa note ésotérique jusqu’au bout. Toutes les radicalités se sont données rendez-vous dans une seule virée.
Mad Movies
"The Sweet East" glisse au travers d'univers très disparates qui sont autant de facettes d'une Amérique éclatée, mais il glisse aussi à l'intérieur de chaque épisode, où les clichés sont jetés aux orties.
Ouest France
Si le film part un peu dans tous les sens, il raconte le chaos post-Trump avec une acuité saisissante.
Télérama
Or le cinéaste, Sean Price Williams, qui fut le brillant chef opérateur des frères Safdie (notamment pour Good Time, avec Robert Pattinson), filme ces ermites et ces excentriques — ou pire — sans condescendance ni effroi, en débusquant aussi leur fragilités, en révélant la drôlerie involontaire de leurs univers respectifs.
Critikat.com
L'éclatement du récit, qui confère au film une fraîcheur manifeste, constitue ceci dit l’une de ses limites : si la profusion d’idées est souvent réjouissante, elle génère à la longue un certain épuisement.
Le Figaro
Que serait le cinéma d’auteur américain sans ses road trips et ses parcours initiatiques ? The Sweet East de Sean Price Williams est une des belles pépites dénichées l’an passé par le Festival de Deauville, qui lui a décerné, à juste titre, le prix du jury.
Première
Pourtant le film survit à toutes ses ruptures de ton, grâce à un humour noir féroce et à la performance incroyable de son héroïne : Talia Ryder hypnotise la caméra à la seule force de quelques moues et de ses yeux gris-bleus. Déjà la révélation de l’année.
aVoir-aLire.com
Un voyage initiatique survolté, mais un peu artificiel en raison de ses trop nombreuses situations.
Le Journal du Dimanche
Variation d’Alice au pays des merveilles option bad trip, le film résolument onirique lasse le spectateur avec son scénario tentaculaire et bavard, sa mise en scène un brin poseuse. Reste le charisme insolent de la formidable Talia Ryder.
Le Parisien
Se présentant, non sans prétention, comme une version moderne de « Alice au pays des merveilles » qui voudrait dresser une photographie de l’Amérique marginale post-Trump, « The Sweet East » a plutôt tout d’une petite chose indépendante qui veut jouer, sans jamais y parvenir, dans la cour des grands, et s’avère au final assez inconséquente et d’un ennui profond.