Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Si l’on perçoit le risque d’un cinéma que l’évaporation du sujet menacerait d’insignifiance, l’allégement des affects est contrebalancé par un corps de l’héroïne persistant, et même lesté. Les "plats qui tiennent au corps" sont l’une des choses que préfère Ann dans la vie, comme elle l’écrit sur un formulaire de site de rencontres. Tenir au corps – un credo possible du cinéma d’Arnow, où le laconisme se révèle le contraire de l’effacement.
Culturopoing.com
par Bénédicte Prot
La mise en scène "blanche" pour laquelle opte Joanna Arnow fait mouche. L’artiste ne se livre pas ici à un simple exercice : elle crée un langage à part entière qui marche main dans la main avec l’émancipation absolue de son personnage, et à l’intérieur duquel se déploie bel et bien, masquée en négation ou du moins en pusillanimité, une fascinante rhétorique de l’affirmation du soi tel qu’il est.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Grâce à sa modernité et à sa radicalité sans complexes, Joanna Arnow fait paraître ce qui a précédé dans le genre comme assez poussiéreux. Papy Woody peut aller se rhabiller. La comédie new-yorkaise a trouvé sa nouvelle maîtresse.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par David Ezan
Ne pas se fier au triste titre choisi par les vendeurs : La vie selon Ann ("Ce sentiment que le temps de s’accomplir est passé", dans son titre original sommairement traduit) est une expérience qui mérite d’être vue en salle.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Génialement tragicomique, le film avance au rythme de saynètes dans lesquelles se déploient un spleen et un malaise abyssaux. À travers la soumission ou la tentative d’une relation “vanille” (conventionnelle), auprès de sa famille ou au travail, Joanna Arnow se confronte à la difficulté du lien à l’autre et à soi-même, à l’ennui aussi, au sens de la vie en somme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
Sorte de Lena Dunham (Girls) en plus désespérée, Joanna Arnow chronique avec humour noir la vie sexuelle d’une trentenaire new-yorkaise.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Transfuge
par Séverine Danflous
L'humour loufoque et décalé allié au caractère statique de la caméra participe au charme de ce film indépendant présenté à la dernière Quinzaine des réalisateurs.
Critikat.com
par Marin Gérard
Joanna Arnow parvient (...) à faire éprouver la dépression de son personnage, se distinguant ainsi de la plupart des comédies juives new-yorkaises qui se cantonnent à la raconter. On rit alors à des endroits différents, d’ailleurs pas toujours drôles, comme pour tenir à distance l’abîme existentiel que creuse le film.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Ma. Mt.
Dans le marché bien quadrillé du cinéma américain, reste-t-il de la place pour ces petits films tordus et inclassables dont le champ de l’indépendance fut longtemps prodigue ? La Vie selon Ann le prouve en se livrant à une forme d’autoportrait dépréciatif, dans la lignée de la comédie juive new-yorkaise.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par J.L.
Selon l’humeur, on retiendra la drôlerie déstabilisante et émancipatrice ou le grincement, la tristesse et l’impression de solitude qui surnagent par moments, imputables peut-être à un réflexe involontaire de jugement moral, qui n’a pourtant pas lieu d’être.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Laura Tuillier
La banalité des rapports amoureux, décrite ici comme plus tôt le quotidien SM, fait résonner une mélodie un poil systématique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jérémie Couston
Avec un art consommé de l’ellipse, ce premier long métrage tiré au cordeau offre une succession de scènes aussi courtes que pince-sans-rire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Nicolas Moreno
Toutes les situations visent à souligner quelques malheurs contemporains ; et une vie sexuelle qui déroge un tantinet à la norme passerait presque pour un égarement. Quel dommage que l’actrice-réalisatrice choisisse une résolution si simpliste, alors que le cadre laissait à rêver, tellement plus subversif…
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Curieux film et curieuse mise en perspective de ce drôle de personnage interprété par la cinéaste elle-même qui ne se ménage pas. Sorte de version rajeunie et féminine d’un Woody Allen, qui aurait choisi la passivité et une parole rare.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Isabelle Danel
C’est filmé avec des petits moyens, mais tout est plat et laid. Et surtout, au-delà du postulat, ça dit quoi ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par S. B.
Une sorte de Cinquante nuances de Grey au rabais, où toutes les tentatives d’humour tombent à plat et l’héroïne, antipathique et nombriliste, dit ses répliques sans conviction. Un trip subversif de pacotille, qui tape vite sur le système.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Cahiers du Cinéma
Si l’on perçoit le risque d’un cinéma que l’évaporation du sujet menacerait d’insignifiance, l’allégement des affects est contrebalancé par un corps de l’héroïne persistant, et même lesté. Les "plats qui tiennent au corps" sont l’une des choses que préfère Ann dans la vie, comme elle l’écrit sur un formulaire de site de rencontres. Tenir au corps – un credo possible du cinéma d’Arnow, où le laconisme se révèle le contraire de l’effacement.
Culturopoing.com
La mise en scène "blanche" pour laquelle opte Joanna Arnow fait mouche. L’artiste ne se livre pas ici à un simple exercice : elle crée un langage à part entière qui marche main dans la main avec l’émancipation absolue de son personnage, et à l’intérieur duquel se déploie bel et bien, masquée en négation ou du moins en pusillanimité, une fascinante rhétorique de l’affirmation du soi tel qu’il est.
L'Humanité
Grâce à sa modernité et à sa radicalité sans complexes, Joanna Arnow fait paraître ce qui a précédé dans le genre comme assez poussiéreux. Papy Woody peut aller se rhabiller. La comédie new-yorkaise a trouvé sa nouvelle maîtresse.
La Septième Obsession
Ne pas se fier au triste titre choisi par les vendeurs : La vie selon Ann ("Ce sentiment que le temps de s’accomplir est passé", dans son titre original sommairement traduit) est une expérience qui mérite d’être vue en salle.
Les Inrockuptibles
Génialement tragicomique, le film avance au rythme de saynètes dans lesquelles se déploient un spleen et un malaise abyssaux. À travers la soumission ou la tentative d’une relation “vanille” (conventionnelle), auprès de sa famille ou au travail, Joanna Arnow se confronte à la difficulté du lien à l’autre et à soi-même, à l’ennui aussi, au sens de la vie en somme.
Marie Claire
Sorte de Lena Dunham (Girls) en plus désespérée, Joanna Arnow chronique avec humour noir la vie sexuelle d’une trentenaire new-yorkaise.
Transfuge
L'humour loufoque et décalé allié au caractère statique de la caméra participe au charme de ce film indépendant présenté à la dernière Quinzaine des réalisateurs.
Critikat.com
Joanna Arnow parvient (...) à faire éprouver la dépression de son personnage, se distinguant ainsi de la plupart des comédies juives new-yorkaises qui se cantonnent à la raconter. On rit alors à des endroits différents, d’ailleurs pas toujours drôles, comme pour tenir à distance l’abîme existentiel que creuse le film.
Le Monde
Dans le marché bien quadrillé du cinéma américain, reste-t-il de la place pour ces petits films tordus et inclassables dont le champ de l’indépendance fut longtemps prodigue ? La Vie selon Ann le prouve en se livrant à une forme d’autoportrait dépréciatif, dans la lignée de la comédie juive new-yorkaise.
Les Fiches du Cinéma
Selon l’humeur, on retiendra la drôlerie déstabilisante et émancipatrice ou le grincement, la tristesse et l’impression de solitude qui surnagent par moments, imputables peut-être à un réflexe involontaire de jugement moral, qui n’a pourtant pas lieu d’être.
Libération
La banalité des rapports amoureux, décrite ici comme plus tôt le quotidien SM, fait résonner une mélodie un poil systématique.
Télérama
Avec un art consommé de l’ellipse, ce premier long métrage tiré au cordeau offre une succession de scènes aussi courtes que pince-sans-rire.
Première
Toutes les situations visent à souligner quelques malheurs contemporains ; et une vie sexuelle qui déroge un tantinet à la norme passerait presque pour un égarement. Quel dommage que l’actrice-réalisatrice choisisse une résolution si simpliste, alors que le cadre laissait à rêver, tellement plus subversif…
aVoir-aLire.com
Curieux film et curieuse mise en perspective de ce drôle de personnage interprété par la cinéaste elle-même qui ne se ménage pas. Sorte de version rajeunie et féminine d’un Woody Allen, qui aurait choisi la passivité et une parole rare.
L'Obs
C’est filmé avec des petits moyens, mais tout est plat et laid. Et surtout, au-delà du postulat, ça dit quoi ?
Le Journal du Dimanche
Une sorte de Cinquante nuances de Grey au rabais, où toutes les tentatives d’humour tombent à plat et l’héroïne, antipathique et nombriliste, dit ses répliques sans conviction. Un trip subversif de pacotille, qui tape vite sur le système.