La Vie selon Ann
Note moyenne
3,1
16 titres de presse
  • Cahiers du Cinéma
  • Culturopoing.com
  • L'Humanité
  • La Septième Obsession
  • Les Inrockuptibles
  • Marie Claire
  • Transfuge
  • Critikat.com
  • Le Monde
  • Les Fiches du Cinéma
  • Libération
  • Télérama
  • Première
  • aVoir-aLire.com
  • L'Obs
  • Le Journal du Dimanche

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

16 critiques presse

Cahiers du Cinéma

par Charlotte Garson

Si l’on perçoit le risque d’un cinéma que l’évaporation du sujet menacerait d’insignifiance, l’allégement des affects est contrebalancé par un corps de l’héroïne persistant, et même lesté. Les "plats qui tiennent au corps" sont l’une des choses que préfère Ann dans la vie, comme elle l’écrit sur un formulaire de site de rencontres. Tenir au corps – un credo possible du cinéma d’Arnow, où le laconisme se révèle le contraire de l’effacement.

Culturopoing.com

par Bénédicte Prot

La mise en scène "blanche" pour laquelle opte Joanna Arnow fait mouche. L’artiste ne se livre pas ici à un simple exercice : elle crée un langage à part entière qui marche main dans la main avec l’émancipation absolue de son personnage, et à l’intérieur duquel se déploie bel et bien, masquée en négation ou du moins en pusillanimité, une fascinante rhétorique de l’affirmation du soi tel qu’il est.

La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

L'Humanité

par Vincent Ostria

Grâce à sa modernité et à sa radicalité sans complexes, Joanna Arnow fait paraître ce qui a précédé dans le genre comme assez poussiéreux. Papy Woody peut aller se rhabiller. La comédie new-yorkaise a trouvé sa nouvelle maîtresse.

La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

La Septième Obsession

par David Ezan

Ne pas se fier au triste titre choisi par les vendeurs : La vie selon Ann ("Ce sentiment que le temps de s’accomplir est passé", dans son titre original sommairement traduit) est une expérience qui mérite d’être vue en salle.

Les Inrockuptibles

par Bruno Deruisseau

Génialement tragicomique, le film avance au rythme de saynètes dans lesquelles se déploient un spleen et un malaise abyssaux. À travers la soumission ou la tentative d’une relation “vanille” (conventionnelle), auprès de sa famille ou au travail, Joanna Arnow se confronte à la difficulté du lien à l’autre et à soi-même, à l’ennui aussi, au sens de la vie en somme.

La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

Marie Claire

par Emily Barnett

Sorte de Lena Dunham (Girls) en plus désespérée, Joanna Arnow chronique avec humour noir la vie sexuelle d’une trentenaire new-yorkaise.

La critique complète est disponible sur le site Marie Claire

Transfuge

par Séverine Danflous

L'humour loufoque et décalé allié au caractère statique de la caméra participe au charme de ce film indépendant présenté à la dernière Quinzaine des réalisateurs.

Critikat.com

par Marin Gérard

Joanna Arnow parvient (...) à faire éprouver la dépression de son personnage, se distinguant ainsi de la plupart des comédies juives new-yorkaises qui se cantonnent à la raconter. On rit alors à des endroits différents, d’ailleurs pas toujours drôles, comme pour tenir à distance l’abîme existentiel que creuse le film.

La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

Le Monde

par Ma. Mt.

Dans le marché bien quadrillé du cinéma américain, reste-t-il de la place pour ces petits films tordus et inclassables dont le champ de l’indépendance fut longtemps prodigue ? La Vie selon Ann le prouve en se livrant à une forme d’autoportrait dépréciatif, dans la lignée de la comédie juive new-yorkaise.

La critique complète est disponible sur le site Le Monde

Les Fiches du Cinéma

par J.L.

Selon l’humeur, on retiendra la drôlerie déstabilisante et émancipatrice ou le grincement, la tristesse et l’impression de solitude qui surnagent par moments, imputables peut-être à un réflexe involontaire de jugement moral, qui n’a pourtant pas lieu d’être.

La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

Libération

par Laura Tuillier

La banalité des rapports amoureux, décrite ici comme plus tôt le quotidien SM, fait résonner une mélodie un poil systématique.

La critique complète est disponible sur le site Libération

Télérama

par Jérémie Couston

Avec un art consommé de l’ellipse, ce premier long métrage tiré au cordeau offre une succession de scènes aussi courtes que pince-sans-rire.

La critique complète est disponible sur le site Télérama

Première

par Nicolas Moreno

Toutes les situations visent à souligner quelques malheurs contemporains ; et une vie sexuelle qui déroge un tantinet à la norme passerait presque pour un égarement. Quel dommage que l’actrice-réalisatrice choisisse une résolution si simpliste, alors que le cadre laissait à rêver, tellement plus subversif…

La critique complète est disponible sur le site Première

aVoir-aLire.com

par Fabrice Prieur

Curieux film et curieuse mise en perspective de ce drôle de personnage interprété par la cinéaste elle-même qui ne se ménage pas. Sorte de version rajeunie et féminine d’un Woody Allen, qui aurait choisi la passivité et une parole rare.

La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

L'Obs

par Isabelle Danel

C’est filmé avec des petits moyens, mais tout est plat et laid. Et surtout, au-delà du postulat, ça dit quoi ?

La critique complète est disponible sur le site L'Obs

Le Journal du Dimanche

par S. B.

Une sorte de Cinquante nuances de Grey au rabais, où toutes les tentatives d’humour tombent à plat et l’héroïne, antipathique et nombriliste, dit ses répliques sans conviction. Un trip subversif de pacotille, qui tape vite sur le système.

La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
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