Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Culturopoing.com
par Eléonore Vigier
En prétendant épouser la forme du conte de fées, "Riddle of Fire" convoque une constellation de genres dans une mosaïque particulièrement onirique, où s’entremêlent souvenirs, fantasmes et symboles propres au rêve : un hommage à l’enfance, par la peinture de son incommensurable imagination, de ses propres lois et et propres croyances.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Ecran Fantastique
par Quélou Parente
Une sorte de version indie et arty des "Goonies" de Richard Donner,
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
En un malicieux clin d’œil au regard que l’on pourra porter sur ce récit, une sorcière reproche aux enfants de lui avoir fait perdre son temps et son argent. C’est précisément l’invitation que formule Riddle of Fire : celle de renouer avec une précieuse capacité à s’égarer avec conviction.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Sur un fil, entre le merveilleux et la terreur, l'innocence et la gravité, l'enchantement et le désenchantement, le premier long métrage de Weston Razooli rend un emballant hommage à l'enfance et ses jeux.
Ecran Large
par Antoine Desrues
Dans cette partie délirante de jeu de rôle à hauteur d'enfant, Weston Razooli sublime autant ses jeunes acteurs qu’un imaginaire juvénile débridé. Riddle of Fire redéfinit à sa manière le terme “revigorant”.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Et même si la fin fait des zigzags, l'ensemble tient plutôt bien la route de l'épopée enchantée sur les sentiers de l'enfance. Un peu d'évasion fait du bien.
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Brouillant genres et références, Riddle of Fire ne tombe jamais dans le pastiche. Un film d’aventures inclassable et d’une fraîcheur réjouissante.
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Une version des Goonies vaporeuse et magique, où l’on suit à la trace une bande de gamin·es prêt·es à tout pour craquer le code parental de leur nouvelle console.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé 2 semaines
par S.O.
Un film qui, malgré son budget très serré, ne manque pas de rythme et fait preuve d'une grande inventivité.
Première
par Emma Poesy
Certains artifices sont parfois un peu lourds - à l’instar de cette musique celtique qui nous accompagne pendant la moitié du film -, réjouissants le plus souvent. Ici, la moindre liste de course devient une grande aventure faîte de farfadets et de fées des bois. Autant de périples à hauteur d’enfants qui font la magie du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Un peu long, mais charmant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Clément Colliaux
Le basculement plus franc dans la fantasy réduit paradoxalement l’imagination des personnages, mais aussi celle de la mise en scène, obligée de laborieusement boucler tous les fils de l’intrigue.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par M. Jo.
Mais sous les herbes folles scénaristiques, Riddle of Fire laisse finalement apparaître un joli petit objet trop en surface (où sont les terreurs d’enfant ?), écartelé entre deux intentions contradictoires : laisser les clés du film aux gosses tout en surjouant, dans leur dos, le geste d’auteur insolite.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Sandra Onana
Clos sur lui-même et abstrait de toute réalité sociale (à la différence de ce que tentait Sean Baker avec The Florida Project), Riddle of Fire vire à l’anecdote, manquant singulièrement de substance qui justifierait de s’intéresser à ses enjeux sur la longueur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Culturopoing.com
En prétendant épouser la forme du conte de fées, "Riddle of Fire" convoque une constellation de genres dans une mosaïque particulièrement onirique, où s’entremêlent souvenirs, fantasmes et symboles propres au rêve : un hommage à l’enfance, par la peinture de son incommensurable imagination, de ses propres lois et et propres croyances.
L'Ecran Fantastique
Une sorte de version indie et arty des "Goonies" de Richard Donner,
Cahiers du Cinéma
En un malicieux clin d’œil au regard que l’on pourra porter sur ce récit, une sorcière reproche aux enfants de lui avoir fait perdre son temps et son argent. C’est précisément l’invitation que formule Riddle of Fire : celle de renouer avec une précieuse capacité à s’égarer avec conviction.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Sur un fil, entre le merveilleux et la terreur, l'innocence et la gravité, l'enchantement et le désenchantement, le premier long métrage de Weston Razooli rend un emballant hommage à l'enfance et ses jeux.
Ecran Large
Dans cette partie délirante de jeu de rôle à hauteur d'enfant, Weston Razooli sublime autant ses jeunes acteurs qu’un imaginaire juvénile débridé. Riddle of Fire redéfinit à sa manière le terme “revigorant”.
Le Dauphiné Libéré
Et même si la fin fait des zigzags, l'ensemble tient plutôt bien la route de l'épopée enchantée sur les sentiers de l'enfance. Un peu d'évasion fait du bien.
Les Fiches du Cinéma
Brouillant genres et références, Riddle of Fire ne tombe jamais dans le pastiche. Un film d’aventures inclassable et d’une fraîcheur réjouissante.
Les Inrockuptibles
Une version des Goonies vaporeuse et magique, où l’on suit à la trace une bande de gamin·es prêt·es à tout pour craquer le code parental de leur nouvelle console.
Télé 2 semaines
Un film qui, malgré son budget très serré, ne manque pas de rythme et fait preuve d'une grande inventivité.
Première
Certains artifices sont parfois un peu lourds - à l’instar de cette musique celtique qui nous accompagne pendant la moitié du film -, réjouissants le plus souvent. Ici, la moindre liste de course devient une grande aventure faîte de farfadets et de fées des bois. Autant de périples à hauteur d’enfants qui font la magie du cinéma.
Télérama
Un peu long, mais charmant.
Critikat.com
Le basculement plus franc dans la fantasy réduit paradoxalement l’imagination des personnages, mais aussi celle de la mise en scène, obligée de laborieusement boucler tous les fils de l’intrigue.
Le Monde
Mais sous les herbes folles scénaristiques, Riddle of Fire laisse finalement apparaître un joli petit objet trop en surface (où sont les terreurs d’enfant ?), écartelé entre deux intentions contradictoires : laisser les clés du film aux gosses tout en surjouant, dans leur dos, le geste d’auteur insolite.
Libération
Clos sur lui-même et abstrait de toute réalité sociale (à la différence de ce que tentait Sean Baker avec The Florida Project), Riddle of Fire vire à l’anecdote, manquant singulièrement de substance qui justifierait de s’intéresser à ses enjeux sur la longueur.