Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
Les premières séquences se calent d’emblée sur une temporalité quotidienne, marquant d’abord par l’attention précise au corps et à ses gestes. « Regard à taille humaine », serait-on tenté de dire, mais surtout, et bien plus important, drame enraciné.
L'Humanité
par Pierre Barbancey
Des plans serrés qui les enferment, ne laissant que très peu deviner le décor mais suffisamment pour qu’on le pressente. Notre regard est fixé sur le visage de ces femmes courage qui, fiction ou documentaire, ne mentent pas. Jamais.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Ce drame réaliste sur l’instinct de survie sociale replace toujours avec justesse son héroïne dans le contexte sociologique et politique de la capitale économique du Cameroun, grâce – outre le jeu de la comédienne principale – à la pertinence de la mise scène, qui convie dans son cadre marginaux et laissés-pour-compte de l’essor chaotique du pays.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
La réalisation respire une Afrique contemporaine, la fragilité de son économie et son instinct de survie, évitant constamment le misérabilisme pittoresque et l’apitoiement de circonstance.
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Entre fiction et documentaire, Rosine Mbakam tisse le portrait sensible d’une femme et d’une ville qui se débrouillent pour ne pas couler.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Puisant dans ses racines de documentariste, la cinéaste fait appel à des acteur·rices non professionnel·les pour dérouler avec un sens de la soustraction admirable deux jours de lutte dans la vie de cette couturière de Douala au Cameroun. Tout comme Pierrette ne s’apitoie pas sur elle-même, le film refuse de s’enliser dans le chagrin et le misérabilisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
Si le film tient, c’est par la finesse de son trait, sa modestie, et la confiance qu’il accorde à son interprète principale, n’hésitant à quitter régulièrement les voies balisées du scénario pour se concentrer sur le filmage sans commentaire d’une travailleuse opiniâtre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Nicolas Moreno
Partant de leurs différences (Rosine Mbakam est venue en Europe pour étudier, Delphine dans l’espoir d’y avoir une vie meilleure), la mise à nue de Delphine à travers le récit de son existence en devient aussi politique que bouleversante. Et par ce dispositif naît alors sous nos yeux une amitié empreinte de sororité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Kevin Pereira
En dépit d'une certaine lourdeur didactique, le film parvient à figurer l'argent dans sa pleine matérialité : il relève tout à la fois d'un langage, d'un rapport social et d'une condition de survie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Télérama
par Hélène Marzolf
Une chronique juste et modeste, sans misérabilisme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Les premières séquences se calent d’emblée sur une temporalité quotidienne, marquant d’abord par l’attention précise au corps et à ses gestes. « Regard à taille humaine », serait-on tenté de dire, mais surtout, et bien plus important, drame enraciné.
L'Humanité
Des plans serrés qui les enferment, ne laissant que très peu deviner le décor mais suffisamment pour qu’on le pressente. Notre regard est fixé sur le visage de ces femmes courage qui, fiction ou documentaire, ne mentent pas. Jamais.
L'Obs
Ce drame réaliste sur l’instinct de survie sociale replace toujours avec justesse son héroïne dans le contexte sociologique et politique de la capitale économique du Cameroun, grâce – outre le jeu de la comédienne principale – à la pertinence de la mise scène, qui convie dans son cadre marginaux et laissés-pour-compte de l’essor chaotique du pays.
La Septième Obsession
La réalisation respire une Afrique contemporaine, la fragilité de son économie et son instinct de survie, évitant constamment le misérabilisme pittoresque et l’apitoiement de circonstance.
Les Fiches du Cinéma
Entre fiction et documentaire, Rosine Mbakam tisse le portrait sensible d’une femme et d’une ville qui se débrouillent pour ne pas couler.
Les Inrockuptibles
Puisant dans ses racines de documentariste, la cinéaste fait appel à des acteur·rices non professionnel·les pour dérouler avec un sens de la soustraction admirable deux jours de lutte dans la vie de cette couturière de Douala au Cameroun. Tout comme Pierrette ne s’apitoie pas sur elle-même, le film refuse de s’enliser dans le chagrin et le misérabilisme.
Libération
Si le film tient, c’est par la finesse de son trait, sa modestie, et la confiance qu’il accorde à son interprète principale, n’hésitant à quitter régulièrement les voies balisées du scénario pour se concentrer sur le filmage sans commentaire d’une travailleuse opiniâtre.
Première
Partant de leurs différences (Rosine Mbakam est venue en Europe pour étudier, Delphine dans l’espoir d’y avoir une vie meilleure), la mise à nue de Delphine à travers le récit de son existence en devient aussi politique que bouleversante. Et par ce dispositif naît alors sous nos yeux une amitié empreinte de sororité.
Critikat.com
En dépit d'une certaine lourdeur didactique, le film parvient à figurer l'argent dans sa pleine matérialité : il relève tout à la fois d'un langage, d'un rapport social et d'une condition de survie.
Télérama
Une chronique juste et modeste, sans misérabilisme.