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    Blackbird, Blackberry
    Note moyenne
    3,5
    13 titres de presse
    • Culturopoing.com
    • Le Monde
    • Les Fiches du Cinéma
    • Marianne
    • Positif
    • Télérama
    • Cahiers du Cinéma
    • Critikat.com
    • L'Obs
    • Les Inrockuptibles
    • Libération
    • Paris Match
    • Première

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    13 critiques presse

    Culturopoing.com

    par Sandra Blachon

    Elena Naveriani aime ses personnages et porte sur eux un regard humaniste, à l’instar d’Aki Kaurismaki, la sensualité en plus. Il n'est pas surprenant qu'elle cite Kelly Reichardt comme l'une de ses cinéastes favorites tant l'on y retrouve dans "Blackbird, Blackberry" cette même attention aux détails et aux ressentis du quotidien et de l’extra-ordinaire.

    La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

    Le Monde

    par Ma. Mt.

    Blackbird, Blackberry adopte ainsi un registre risqué, car indécidable : l’insolite, poésie laconique des êtres et des choses « déplacés » – et forts de l’être. Tout du long, le film se maintient à la fine commissure de la réalité et de l’imaginaire.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Les Fiches du Cinéma

    par Clément Deleschaud

    Le dérèglement de la vie d’Ethéro, vieille fille sur qui l’amour tombe comme un filtre, est ici filmé avec une délicatesse non dénuée de la sourde violence des relations humaines. Un beau film qui entérine la très bonne forme du cinéma géorgien.

    Marianne

    par Anne Dastakian

    Surprenant et poétique.

    La critique complète est disponible sur le site Marianne

    Positif

    par Eithne O'Neill

    La sobriété de la composition et des décors rappelle le cadrage et le chromatisme d'Aki Kaurismäki.

    Télérama

    par Samuel Douhaire

    Insolite et touchant.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Cahiers du Cinéma

    par Elie Raufaste

    Entre le cliffhanger réel et l’expérience fantasmée de mort imminente, un vertige s’est immiscé. Tout en prenant une tournure plus réaliste, le film ne va dès lors cesser d’entretenir, sous la description d’une société géorgienne conservatrice, cette sensation frémissante d’une réalité parallèle sur le point de survenir, en bien comme en mal.

    Critikat.com

    par Clément Colliaux

    Si la mise en scène de Blackbird, Blackberry apparaît parfois quelque peu éteinte (au diapason du dépouillement des décors), Elene Naveriani fait en revanche preuve d’une certaine justesse lorsqu’elle met en scène la sexualité des personnages.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    L'Obs

    par X. L.

    La délicatesse de la cinéaste finit par se retourner un peu contre elle à force de ne jamais brusquer sa pudeur. Mais elle accompagne magnifiquement la sensualité naissante et maladroite de son modèle.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Les Inrockuptibles

    par Marilou Duponchel

    “Blackbird, Blackberry” semble parfois tenté par un rire sardonique, une grimace un brin cynique qui vient entacher sa belle bizarrerie, ce mystère incompréhensible ou cette confusion d’une fin qui fait porter à son héroïne le fardeau de sa renaissance, une forme de culpabilité maquillée en geste divin. Le piège d’une équation maladroite entre sexualité et procréation.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Libération

    par Laura Tuillier

    Si l’on sent l’influence d’un Kaurismäki, le même humour dépressif et les mêmes éclairages antinaturalistes sur les scènes d’un quotidien tristoune, il manque un déplacement de la mise en scène, une sublimation à l’endroit où Ethéro déploie sa sensibilité.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Paris Match

    par Yannick Vely

    Ce conte féministe, drôle et cruel, doit beaucoup à son interprète principale, Eka Chavleishvili, qui apprend à aimer son corps et donc à s’aimer.

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Première

    par Nicolas Moreno

    L’intérêt principal du film réside dans la mise en scène de cet apprentissage, du soulagement que procure la sexualité à cette femme, les corps nus habitant le bord des cadres, drapés par la douceur des éclairages. Dommage que tout ce qui passe autour se perde dans des clichés et des facilités scénaristiques qui ont tendance à assécher ce qui constituait pourtant un beau couple de cinéma.

    La critique complète est disponible sur le site Première
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