Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Culturopoing.com
par Sandra Blachon
Elena Naveriani aime ses personnages et porte sur eux un regard humaniste, à l’instar d’Aki Kaurismaki, la sensualité en plus. Il n'est pas surprenant qu'elle cite Kelly Reichardt comme l'une de ses cinéastes favorites tant l'on y retrouve dans "Blackbird, Blackberry" cette même attention aux détails et aux ressentis du quotidien et de l’extra-ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par Ma. Mt.
Blackbird, Blackberry adopte ainsi un registre risqué, car indécidable : l’insolite, poésie laconique des êtres et des choses « déplacés » – et forts de l’être. Tout du long, le film se maintient à la fine commissure de la réalité et de l’imaginaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Le dérèglement de la vie d’Ethéro, vieille fille sur qui l’amour tombe comme un filtre, est ici filmé avec une délicatesse non dénuée de la sourde violence des relations humaines. Un beau film qui entérine la très bonne forme du cinéma géorgien.
Marianne
par Anne Dastakian
Surprenant et poétique.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Eithne O'Neill
La sobriété de la composition et des décors rappelle le cadrage et le chromatisme d'Aki Kaurismäki.
Télérama
par Samuel Douhaire
Insolite et touchant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Elie Raufaste
Entre le cliffhanger réel et l’expérience fantasmée de mort imminente, un vertige s’est immiscé. Tout en prenant une tournure plus réaliste, le film ne va dès lors cesser d’entretenir, sous la description d’une société géorgienne conservatrice, cette sensation frémissante d’une réalité parallèle sur le point de survenir, en bien comme en mal.
Critikat.com
par Clément Colliaux
Si la mise en scène de Blackbird, Blackberry apparaît parfois quelque peu éteinte (au diapason du dépouillement des décors), Elene Naveriani fait en revanche preuve d’une certaine justesse lorsqu’elle met en scène la sexualité des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par X. L.
La délicatesse de la cinéaste finit par se retourner un peu contre elle à force de ne jamais brusquer sa pudeur. Mais elle accompagne magnifiquement la sensualité naissante et maladroite de son modèle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
“Blackbird, Blackberry” semble parfois tenté par un rire sardonique, une grimace un brin cynique qui vient entacher sa belle bizarrerie, ce mystère incompréhensible ou cette confusion d’une fin qui fait porter à son héroïne le fardeau de sa renaissance, une forme de culpabilité maquillée en geste divin. Le piège d’une équation maladroite entre sexualité et procréation.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
Si l’on sent l’influence d’un Kaurismäki, le même humour dépressif et les mêmes éclairages antinaturalistes sur les scènes d’un quotidien tristoune, il manque un déplacement de la mise en scène, une sublimation à l’endroit où Ethéro déploie sa sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Ce conte féministe, drôle et cruel, doit beaucoup à son interprète principale, Eka Chavleishvili, qui apprend à aimer son corps et donc à s’aimer.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Nicolas Moreno
L’intérêt principal du film réside dans la mise en scène de cet apprentissage, du soulagement que procure la sexualité à cette femme, les corps nus habitant le bord des cadres, drapés par la douceur des éclairages. Dommage que tout ce qui passe autour se perde dans des clichés et des facilités scénaristiques qui ont tendance à assécher ce qui constituait pourtant un beau couple de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
Elena Naveriani aime ses personnages et porte sur eux un regard humaniste, à l’instar d’Aki Kaurismaki, la sensualité en plus. Il n'est pas surprenant qu'elle cite Kelly Reichardt comme l'une de ses cinéastes favorites tant l'on y retrouve dans "Blackbird, Blackberry" cette même attention aux détails et aux ressentis du quotidien et de l’extra-ordinaire.
Le Monde
Blackbird, Blackberry adopte ainsi un registre risqué, car indécidable : l’insolite, poésie laconique des êtres et des choses « déplacés » – et forts de l’être. Tout du long, le film se maintient à la fine commissure de la réalité et de l’imaginaire.
Les Fiches du Cinéma
Le dérèglement de la vie d’Ethéro, vieille fille sur qui l’amour tombe comme un filtre, est ici filmé avec une délicatesse non dénuée de la sourde violence des relations humaines. Un beau film qui entérine la très bonne forme du cinéma géorgien.
Marianne
Surprenant et poétique.
Positif
La sobriété de la composition et des décors rappelle le cadrage et le chromatisme d'Aki Kaurismäki.
Télérama
Insolite et touchant.
Cahiers du Cinéma
Entre le cliffhanger réel et l’expérience fantasmée de mort imminente, un vertige s’est immiscé. Tout en prenant une tournure plus réaliste, le film ne va dès lors cesser d’entretenir, sous la description d’une société géorgienne conservatrice, cette sensation frémissante d’une réalité parallèle sur le point de survenir, en bien comme en mal.
Critikat.com
Si la mise en scène de Blackbird, Blackberry apparaît parfois quelque peu éteinte (au diapason du dépouillement des décors), Elene Naveriani fait en revanche preuve d’une certaine justesse lorsqu’elle met en scène la sexualité des personnages.
L'Obs
La délicatesse de la cinéaste finit par se retourner un peu contre elle à force de ne jamais brusquer sa pudeur. Mais elle accompagne magnifiquement la sensualité naissante et maladroite de son modèle.
Les Inrockuptibles
“Blackbird, Blackberry” semble parfois tenté par un rire sardonique, une grimace un brin cynique qui vient entacher sa belle bizarrerie, ce mystère incompréhensible ou cette confusion d’une fin qui fait porter à son héroïne le fardeau de sa renaissance, une forme de culpabilité maquillée en geste divin. Le piège d’une équation maladroite entre sexualité et procréation.
Libération
Si l’on sent l’influence d’un Kaurismäki, le même humour dépressif et les mêmes éclairages antinaturalistes sur les scènes d’un quotidien tristoune, il manque un déplacement de la mise en scène, une sublimation à l’endroit où Ethéro déploie sa sensibilité.
Paris Match
Ce conte féministe, drôle et cruel, doit beaucoup à son interprète principale, Eka Chavleishvili, qui apprend à aimer son corps et donc à s’aimer.
Première
L’intérêt principal du film réside dans la mise en scène de cet apprentissage, du soulagement que procure la sexualité à cette femme, les corps nus habitant le bord des cadres, drapés par la douceur des éclairages. Dommage que tout ce qui passe autour se perde dans des clichés et des facilités scénaristiques qui ont tendance à assécher ce qui constituait pourtant un beau couple de cinéma.