Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
La grande ambition de ce premier long-métrage se mêle à sa générosité.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Élie Raufaste
[...] les plus belles machinations de L'Arbre aux papillons d'or touchent à [des] présences, météorologiques, animales, lumineuses. Faire la pluie et le beau temps tout en laissant grande ouverte la porte aux heureuses coïncidences : le vent qui se lève soudain, virgule atmosphérique dans le plan. Le film comme boule à neige fissurée, perméable au dehors.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Une merveille doucement hypnotique s’installe, qui renvoie à l’essence des choses, de la nature et des êtres, comme dans les films du Thaïlandais Apichatpong Weerasethakul, dont Pham Thien An, avec une force renouvelée et différente, est le parent artistique accompli. Pham Thien An débutant est déjà un grand cinéaste.
L'Humanité
par Cédric Coppola
Pham Thiên An hypnotise lors d’un voyage mystique et humain récompensé à Cannes par la caméra d’Or. Un choc
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
L’Arbre aux papillons d’or, premier film du réalisateur Pham Thien An, présenté à la Quinzaine des cinéastes à Cannes, n’est pas un road-trip ordinaire, mais un voyage sensible, dont l’emprise s’exerce au moyen de séquences sublimes.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Regarder, ressentir, penser, les trois en même temps si possible, le cinéma a pour objectif de faire ça. "L’Arbre aux papillons d’or" ne le perd pas de vue une minute. Et par voie de conséquence, pas une minute il ne cesse d’être du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Le road movie, à la recherche de souvenirs persistants, s’enfonce délicatement dans l’onirisme. Les frontières entre réalité et rêverie deviennent de plus en plus poreuses, et c’est à la fois doux et stupéfiant. La mise en scène épouse les battements de vie de la montagne sacrée elle-même.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Ravissement de surprise constante, "l’Arbre aux papillons d’or" invite à se perdre [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette fresque de près de trois heures offre un périple sublime.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Corentin Lê
Un film dont la forme, dans le sillage de Tarkovski et de ses héritiers contemporains, déforme l’espace-temps : chaque travelling ou panoramique ouvre l’espace, le troue, le strie, le rend relatif.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Ce premier film méditatif et sensuel se mérite (2h58 de contemplation pure) mais il en vaut grandement la peine.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par F. F.
En trois heures absolument magistrales, sur le mode largo, on assiste à un poème spirituel dont chaque image renvoie à la question troublante : notre place (infime, absurde) dans l’univers.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Caméra d’or du dernier Festival de Cannes, ce premier film contemplatif et visuellement splendide met en scène un homme en quête de réponses sur sa foi dans le Vietnam rural.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Marie Claire
par Emily Barnett
Visions hallucinatoires au cœur d’une nature divinisée, un voyage en soi ! Envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par Thomas Baurez
Puissant.
Paris Match
par Yannick Vely
Pour son premier long métrage, Pham Thiên Ân nous emmène dans les campagnes vietnamiennes pour un voyage à travers le temps et la brume, d’une rare beauté plastique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Jacques Morice
Exalté par des paysages sublimes, ce drame vietnamien, centré sur la crise intime que traverse un homme endeuillé, bouleverse par son infinie délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
La sensibilité frémissante et l’impressionnante maîtrise formelle au service d’une écriture très personnelle imposent ici une nouvelle vision d’auteur justifiant amplement sa Caméra d’Or au Festival de Cannes 2023.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Figaro
par É.S.
À travers le retour d'un homme dans son village natal pour enterrer sa belle-sœur morte dans un accident de moto à Saïgon, un road-movie lent, mystique, qui interroge la volonté divine avec une foi inébranlable dans le cinéma et dans la patience du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Cl. F.
Le film est sans doute plus percutant dans son approche du réel que dans sa partie fictive, un peu complaisante à force de charrier de la tristesse et du spleen.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Si Pham Thiên An semble parfois un peu trop conscient de sa propre virtuosité, « L'Arbre aux papillons d'or » n'en reste pas moins la révélation d'un talent évident, une œuvre hantée, dont la beauté aura l'effet d'une apparition.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Voici
par La Rédaction
Ce drame impressionne par sa mise en scène intime et virtuose mais, à trop étirer son récit, finit par annihiler l'émotion.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un premier long métrage ambitieux et respectable qui révèle un auteur à suivre mais n’échappe pas aux tics d’un certain cinéma contemporain contemplatif.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Rose Piccini
Sur l'autel de l'errance, du questionnement et de la quête de sens, est sacrifiée toute dramaturgie.
Première
par Lucie Chiquer
Car le rythme apathique de cette approche documentaire et sa durée injustifiée alourdissent le récit, qui s'avère plutôt soporifique...
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par JNO
Plans fixes, plans séquences, jolis paysages, rencontres, dialogues pudiques, silence, bucolisme : on connaît par cœur cette façon de filmer qu'ont certains cinéastes [...].
Bande à part
La grande ambition de ce premier long-métrage se mêle à sa générosité.
Cahiers du Cinéma
[...] les plus belles machinations de L'Arbre aux papillons d'or touchent à [des] présences, météorologiques, animales, lumineuses. Faire la pluie et le beau temps tout en laissant grande ouverte la porte aux heureuses coïncidences : le vent qui se lève soudain, virgule atmosphérique dans le plan. Le film comme boule à neige fissurée, perméable au dehors.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une merveille doucement hypnotique s’installe, qui renvoie à l’essence des choses, de la nature et des êtres, comme dans les films du Thaïlandais Apichatpong Weerasethakul, dont Pham Thien An, avec une force renouvelée et différente, est le parent artistique accompli. Pham Thien An débutant est déjà un grand cinéaste.
L'Humanité
Pham Thiên An hypnotise lors d’un voyage mystique et humain récompensé à Cannes par la caméra d’Or. Un choc
Le Dauphiné Libéré
L’Arbre aux papillons d’or, premier film du réalisateur Pham Thien An, présenté à la Quinzaine des cinéastes à Cannes, n’est pas un road-trip ordinaire, mais un voyage sensible, dont l’emprise s’exerce au moyen de séquences sublimes.
Les Fiches du Cinéma
Regarder, ressentir, penser, les trois en même temps si possible, le cinéma a pour objectif de faire ça. "L’Arbre aux papillons d’or" ne le perd pas de vue une minute. Et par voie de conséquence, pas une minute il ne cesse d’être du cinéma.
Les Inrockuptibles
Le road movie, à la recherche de souvenirs persistants, s’enfonce délicatement dans l’onirisme. Les frontières entre réalité et rêverie deviennent de plus en plus poreuses, et c’est à la fois doux et stupéfiant. La mise en scène épouse les battements de vie de la montagne sacrée elle-même.
Libération
Ravissement de surprise constante, "l’Arbre aux papillons d’or" invite à se perdre [...].
20 Minutes
Cette fresque de près de trois heures offre un périple sublime.
Critikat.com
Un film dont la forme, dans le sillage de Tarkovski et de ses héritiers contemporains, déforme l’espace-temps : chaque travelling ou panoramique ouvre l’espace, le troue, le strie, le rend relatif.
Franceinfo Culture
Ce premier film méditatif et sensuel se mérite (2h58 de contemplation pure) mais il en vaut grandement la peine.
L'Obs
En trois heures absolument magistrales, sur le mode largo, on assiste à un poème spirituel dont chaque image renvoie à la question troublante : notre place (infime, absurde) dans l’univers.
La Croix
Caméra d’or du dernier Festival de Cannes, ce premier film contemplatif et visuellement splendide met en scène un homme en quête de réponses sur sa foi dans le Vietnam rural.
Marie Claire
Visions hallucinatoires au cœur d’une nature divinisée, un voyage en soi ! Envoûtant.
Ouest France
Puissant.
Paris Match
Pour son premier long métrage, Pham Thiên Ân nous emmène dans les campagnes vietnamiennes pour un voyage à travers le temps et la brume, d’une rare beauté plastique.
Télérama
Exalté par des paysages sublimes, ce drame vietnamien, centré sur la crise intime que traverse un homme endeuillé, bouleverse par son infinie délicatesse.
Culturopoing.com
La sensibilité frémissante et l’impressionnante maîtrise formelle au service d’une écriture très personnelle imposent ici une nouvelle vision d’auteur justifiant amplement sa Caméra d’Or au Festival de Cannes 2023.
Le Figaro
À travers le retour d'un homme dans son village natal pour enterrer sa belle-sœur morte dans un accident de moto à Saïgon, un road-movie lent, mystique, qui interroge la volonté divine avec une foi inébranlable dans le cinéma et dans la patience du spectateur.
Le Monde
Le film est sans doute plus percutant dans son approche du réel que dans sa partie fictive, un peu complaisante à force de charrier de la tristesse et du spleen.
Les Echos
Si Pham Thiên An semble parfois un peu trop conscient de sa propre virtuosité, « L'Arbre aux papillons d'or » n'en reste pas moins la révélation d'un talent évident, une œuvre hantée, dont la beauté aura l'effet d'une apparition.
Voici
Ce drame impressionne par sa mise en scène intime et virtuose mais, à trop étirer son récit, finit par annihiler l'émotion.
aVoir-aLire.com
Un premier long métrage ambitieux et respectable qui révèle un auteur à suivre mais n’échappe pas aux tics d’un certain cinéma contemporain contemplatif.
CinemaTeaser
Sur l'autel de l'errance, du questionnement et de la quête de sens, est sacrifiée toute dramaturgie.
Première
Car le rythme apathique de cette approche documentaire et sa durée injustifiée alourdissent le récit, qui s'avère plutôt soporifique...
Transfuge
Plans fixes, plans séquences, jolis paysages, rencontres, dialogues pudiques, silence, bucolisme : on connaît par cœur cette façon de filmer qu'ont certains cinéastes [...].