Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Végétant plus qu’il ne travaille dans un centre d’appel d’Agra, Guru lorgne sur une collègue – promesse miroitante d’un possible futur conjugal. Le grotesque teinté de surnaturel psychanalytique (amené par sa tendance au fantasme, voire à l’hallucination) contamine la chronique de sa vie d’obsédé et masturbateur compulsif, évitant à l’ensemble de sombrer dans les marécages du sociétal.
Le Monde
par Cl. F.
Maniant le mélodrame et la fresque sociale, travaillant les heurts et les tensions exacerbées entre les personnages, Kanu Behl revendique l’influence de Ritwik Ghatak (1925-1976) et filme une maison de fous, métaphore d’une société indienne asphyxiée par le manque d’espace.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Olivier Lamm
Patriarcal, assourdissant, ultraviolent, le réel tel que le dépeint furieusement ce jeune cinéaste indien est un enfer, bel et bien, dont on ne s’échappe pas.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
Un fils obsédé sexuel, sa famille qui se déchire dans une maison sinistre… Le talentueux réalisateur Kanu Behl dépeint tout un monde de frustrations, dans un film qui désarçonne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une plongée hirsute dans une société schizophrénique, dont le montage a été resserré depuis sa présentation à Cannes. Bien vu : le film a perdu en agressivité et gagné en férocité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par É.S.
Le film de Kanu Behl illustre une image désespérée du pays bien loin des traditionnelles féeries de Bollywood.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Damien Leblanc
Par sa mise en scène au cordeau, le cinéaste révèle avec brio toute la frustration qui habite une société remplie d’étouffants tabous. Et c’est notamment à travers des scènes de sexe rageuses que ce remuant film réussit à exprimer les désirs refoulés d’un monde qui brûle à petit feu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Josué Morel
À l’image du décor central, sorte de mille-feuilles qui permet d’additionner des couches de sous-intrigues, le scénario ajoute artificiellement des pistes interprétatives pour cultiver sa profondeur d’apparat.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Nekourouh
Négligeant de prendre le temps d’observer ses personnages, K. Behl laisse son obsession biologico-matérialiste prendre toute la place, substituant au portrait annoncé de l’Inde contemporaine une caricature grossière de rapports humains régis par la bestialité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
Végétant plus qu’il ne travaille dans un centre d’appel d’Agra, Guru lorgne sur une collègue – promesse miroitante d’un possible futur conjugal. Le grotesque teinté de surnaturel psychanalytique (amené par sa tendance au fantasme, voire à l’hallucination) contamine la chronique de sa vie d’obsédé et masturbateur compulsif, évitant à l’ensemble de sombrer dans les marécages du sociétal.
Le Monde
Maniant le mélodrame et la fresque sociale, travaillant les heurts et les tensions exacerbées entre les personnages, Kanu Behl revendique l’influence de Ritwik Ghatak (1925-1976) et filme une maison de fous, métaphore d’une société indienne asphyxiée par le manque d’espace.
Libération
Patriarcal, assourdissant, ultraviolent, le réel tel que le dépeint furieusement ce jeune cinéaste indien est un enfer, bel et bien, dont on ne s’échappe pas.
Télérama
Un fils obsédé sexuel, sa famille qui se déchire dans une maison sinistre… Le talentueux réalisateur Kanu Behl dépeint tout un monde de frustrations, dans un film qui désarçonne.
L'Obs
Une plongée hirsute dans une société schizophrénique, dont le montage a été resserré depuis sa présentation à Cannes. Bien vu : le film a perdu en agressivité et gagné en férocité.
Le Figaro
Le film de Kanu Behl illustre une image désespérée du pays bien loin des traditionnelles féeries de Bollywood.
Première
Par sa mise en scène au cordeau, le cinéaste révèle avec brio toute la frustration qui habite une société remplie d’étouffants tabous. Et c’est notamment à travers des scènes de sexe rageuses que ce remuant film réussit à exprimer les désirs refoulés d’un monde qui brûle à petit feu.
Critikat.com
À l’image du décor central, sorte de mille-feuilles qui permet d’additionner des couches de sous-intrigues, le scénario ajoute artificiellement des pistes interprétatives pour cultiver sa profondeur d’apparat.
Les Fiches du Cinéma
Négligeant de prendre le temps d’observer ses personnages, K. Behl laisse son obsession biologico-matérialiste prendre toute la place, substituant au portrait annoncé de l’Inde contemporaine une caricature grossière de rapports humains régis par la bestialité.