AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,9
22 titres de presse
-
Le Parisien
-
Télé 7 Jours
-
Cahiers du Cinéma
-
Franceinfo Culture
-
L'Humanité
-
L'Obs
-
La Croix
-
La Voix du Nord
-
Le Figaro
-
Les Fiches du Cinéma
-
Les Inrockuptibles
-
Libération
-
Ouest France
-
Paris Match
-
Sud Ouest
-
Transfuge
-
Télérama
-
aVoir-aLire.com
-
Critikat.com
-
Culturopoing.com
-
Le Monde
-
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Le Parisien
Ce poignant documentaire, en salles ce mercredi, a entièrement été tourné dans une voiture par un cinéaste chauffeur qui transporte des réfugiés vers la Pologne et filme leurs conversations. Le résultat est déchirant.
Télé 7 Jours
Une belle leçon d'humanité.
Cahiers du Cinéma
L’émotion circule dans l’habitacle, et saisit par surprise – sanglots retenus à l’évocation d’une vache abandonnée, pleurs versés sur les parents d’une inconnue.
Franceinfo Culture
Un vent de liberté remplit l'habitacle de la voiture dont on ne sort pratiquement pas du film. Pourtant l'image est remarquable, le ruban de la route qui défile, la vie que dégagent les passagers, leur spontanéité et loquacité, font de Pierre, feuille, pistolet un puissant témoignage sur la guerre, en Ukraine comme ailleurs.
L'Humanité
Un sobre tableau de la vie qui résiste au milieu de l'horreur quotidienne.
L'Obs
Le dispositif pourrait sembler artificiel, il est d’une force incroyable. C’est la tragédie de l’exode, en huis clos. C’est l’horreur de la guerre, en mouvement. C’est hier, et aujourd’hui. Avec, au bout du chemin, la faible lueur de l’espoir. Celui de revenir chez soi. Bouleversant.
La Croix
Pépite documentaire du dernier Festival de Cannes, ce road-movie plein d’empathie livre les témoignages poignants d’Ukrainiens évacués lors des premières semaines de l’invasion russe que le réalisateur a filmés dans son propre van.
La Voix du Nord
Un dispositif simple pour un film vrai et plein d’humanité.
Le Figaro
Un film éloquent et touchant.
Les Fiches du Cinéma
À bord de son minivan, Maciek Hamela filme des personnes qu’il a décidé de transporter depuis l’Ukraine vers la Pologne, après le déclenchement de la guerre. Plus qu’un témoignage sur le conflit, une plongée puissante au cœur de l’humain.
Les Inrockuptibles
Dans cette voiture-caméra, les passager·ères et les paroles s’accumulent, donnant à voir une mosaïque très dense de témoignages qui montre à quel point la guerre reconfigure l’imaginaire de celles et ceux qui la subissent.
Libération
En 2022, le cinéaste polonais Maciek Hamela a sillonné l’Ukraine envahie en minivan pour conduire des civils en zone sûre. En résulte un documentaire subtil et courageux, qui met en lumière la pluralité des existences brisées par la guerre.
Ouest France
Un documentaire passionnant.
Paris Match
Foutraque, filmé sur le vif, voilà un témoignage passionnant, bouleversant, attendrissant sur l’humain dans l’horreur. Qui en dit plus que de longs discours.
Sud Ouest
Un documentaire bouleversant.
Transfuge
L’intelligence du montage confère à ce regard porté vers l’arrière une portée double. D’une part, il s’agit de filmer la guerre en différé [...]. D’autre part, la plus importante et la plus belle, la caméra partage l’intimité des familles entassées tant bien que mal dans l’habitacle étroit, levant le voile sur une foule de sentiments contraires [...].
Télérama
À bord de son minivan, le cinéaste polonais Maciek Hamela aide des Ukrainiens à fuir les bombes russes. La caméra saisit les visages, les mots. Poignant.
aVoir-aLire.com
Un documentaire réconfortant qui prouve que la fraternité entre les peuples peut surgir là où on l’attend le moins.
Critikat.com
Évitant de peu accrocs et maladresses, le film réussit parfois à donner des voix et des visages à des réfugiés de guerre qui auraient pu demeurer des silhouettes anonymes.
Culturopoing.com
Récit de la guerre vue et vécue de l’intérieur par des civils gardant foi en leur avenir, "Pierre Feuille Pistolet" embarque son spectateur dans un voyage de poésie et de résilience.
Le Monde
Il en ressort des scènes brutes de décoffrage, captant l’expression triviale d’un désarroi profond, d’un bref réconfort, d’une sourde angoisse, d’une immense fatigue, sans que le souci de la caméra l’emporte une seconde.
Première
Pour autant chacun ici continue de croire à une réconciliation possible. Alors que ce conflit ne cesse de s’intensifier, ce film dont le titre même rend compte de son absurdité, renvoie toutefois au sein du chaos, une lueur d’espoir.