Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Marianne
par Olivier De Bruyn
Diffusé il y a peu sur Arte, ce documentaire passionnant connaît aujourd’hui les honneurs (mérités) d’une distribution au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Nicolas Peduzzi réalise pour sa troisième œuvre en tant que réalisateur, un cinéma incarné, habité de ses tourments et de ses joies intérieurs, un cinéma qui ne raconte pas ce que le monde est, mais ce qu’il a oublié de devenir.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Hélène Robert
Sous ses allures conventionnelles de documentaire télévisuel, voilà en réalité une œuvre artistique à part entière, pleine de ferveur et de rebondissements.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Plus humaniste que politique (même si le film l’est souvent et toujours au bon endroit), « Etat limite » rend hommage à un personnel exsangue qui, malgré les entraves, tente de faire son boulot à l’hôpital Beaujon, à Clichy.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Le film semble progressivement se calquer sur les pathologies qui le peuplent : délirant, démoniaque et dangereux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sonya Faure
Le documentaire de Nicolas Peduzzi est une plongée terrible et fascinante dans un service de soins psychiatriques asphyxié, au côté d’un médecin d’une infinie douceur qui s’efforce de ne pas perdre pied.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Michel Onat
Tourné comme une fiction, le documentaire filme les ravages de l'obligation de rendement et le manque de moyens du monde hospitalier à travers un homme admirable qui se bat pour soulager la souffrance.
Positif
par Ariane Allard
Portrait vibrant, à la fois lyrique et lucide, fasciné et assez fascinant.
Première
par Emma Poesy
Sans jamais commenter ce qu’il observe, le réalisateur capte avec une grande justesse (comme Nicolas Philibert dans sa trilogie en psychiatrie) la tension permanente qui émane de l’hôpital.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Isabelle Poitte
Un film qui happe et frappe fort, tout en ruptures de rythme, riche de l’énergie et de la mélancolie de son personnage.
Critikat.com
par Corentin Lê
Le rôle du psychiatre consiste à faire corps avec cette ligne de démarcation, c’est-à-dire d’évoluer dans un « état limite », entre l’ici et l’ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
S’il filme caméra à l’épaule, sa démarche est l’inverse de celle du reporter. Peduzzi refuse tout autant les diktats de l’orthodoxie documentaire postulant la pseudo-objectivité du cinéaste. Il tente des expériences de montage (...) et ne se prive pas de dramatiser le récit en jouant avec la musique techno, ambient, électro, parfois mixée très en avant, au point de couvrir et de shunter parfois la parole.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
On a rarement articulé aussi clairement la fonction du soignant, sa générosité et son état limite.
Paris Match
par Yannick Vely
Caméra au poing et jamais caché aux patients, Nicolas Peduzzi suit l’unique psychiatre de l’hôpital Beaujon, à Clichy.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Marianne
Diffusé il y a peu sur Arte, ce documentaire passionnant connaît aujourd’hui les honneurs (mérités) d’une distribution au cinéma.
aVoir-aLire.com
Nicolas Peduzzi réalise pour sa troisième œuvre en tant que réalisateur, un cinéma incarné, habité de ses tourments et de ses joies intérieurs, un cinéma qui ne raconte pas ce que le monde est, mais ce qu’il a oublié de devenir.
Bande à part
Sous ses allures conventionnelles de documentaire télévisuel, voilà en réalité une œuvre artistique à part entière, pleine de ferveur et de rebondissements.
L'Obs
Plus humaniste que politique (même si le film l’est souvent et toujours au bon endroit), « Etat limite » rend hommage à un personnel exsangue qui, malgré les entraves, tente de faire son boulot à l’hôpital Beaujon, à Clichy.
Les Inrockuptibles
Le film semble progressivement se calquer sur les pathologies qui le peuplent : délirant, démoniaque et dangereux.
Libération
Le documentaire de Nicolas Peduzzi est une plongée terrible et fascinante dans un service de soins psychiatriques asphyxié, au côté d’un médecin d’une infinie douceur qui s’efforce de ne pas perdre pied.
Ouest France
Tourné comme une fiction, le documentaire filme les ravages de l'obligation de rendement et le manque de moyens du monde hospitalier à travers un homme admirable qui se bat pour soulager la souffrance.
Positif
Portrait vibrant, à la fois lyrique et lucide, fasciné et assez fascinant.
Première
Sans jamais commenter ce qu’il observe, le réalisateur capte avec une grande justesse (comme Nicolas Philibert dans sa trilogie en psychiatrie) la tension permanente qui émane de l’hôpital.
Télérama
Un film qui happe et frappe fort, tout en ruptures de rythme, riche de l’énergie et de la mélancolie de son personnage.
Critikat.com
Le rôle du psychiatre consiste à faire corps avec cette ligne de démarcation, c’est-à-dire d’évoluer dans un « état limite », entre l’ici et l’ailleurs.
L'Humanité
S’il filme caméra à l’épaule, sa démarche est l’inverse de celle du reporter. Peduzzi refuse tout autant les diktats de l’orthodoxie documentaire postulant la pseudo-objectivité du cinéaste. Il tente des expériences de montage (...) et ne se prive pas de dramatiser le récit en jouant avec la musique techno, ambient, électro, parfois mixée très en avant, au point de couvrir et de shunter parfois la parole.
Le Monde
On a rarement articulé aussi clairement la fonction du soignant, sa générosité et son état limite.
Paris Match
Caméra au poing et jamais caché aux patients, Nicolas Peduzzi suit l’unique psychiatre de l’hôpital Beaujon, à Clichy.