Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Le Monde
par Cl. F.
L’écriture du film, remarquable, esquisse des réponses en même temps que la réalisatrice dépeint une communauté de laissés-pour-compte, des Blancs pour la plupart, qui n’ont pas tous viré populistes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Un documentaire enchanteur sur une Amérique post Trump désenchantée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Portrait antispectaculaire d’une chanteuse dans une communauté excentrique du Nouveau-Mexique, le documentaire de Justine Harbonnier brosse avec finesse l’entrée dans l’âge adulte.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par X. L.
Portrait d’une femme aussi ronde que joviale, devenue la mère adoptive de ses potes queer. La cinéaste française filme avec empathie et complicité cette femme qui trouve sans cesse la force de se relever. A découvrir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ouest France
par Thierry Cheze
Visuellement inventif, un petit bijou de mélancolie qui raconte aussi une Amérique profonde marquée par les années Trump.
Première
par Estelle Aubin
Caiti blues, documentaire présenté à l’ACID à Cannes, est un petit joyau visuel, parfaitement mélancolique. Chaque image – de la maison, du bar, des visages dans le vent – en balaie une autre, tout aussi maîtrisée. En fond, résonnent l’écho des temps modernes et de la voix oppressante de Trump. Et l’on comprend le blues, forcément politique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Le film la présente dans ce quotidien terne, qui ne la nourrit pas, et on craint, un temps, un récit strictement doloriste. Mais, d’une petite victoire à une autre, Caiti se (re)met sur la route de sa musique. De quoi rappeler la force du mot « vocation ».
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Doux-amer, ce documentaire entend gratter le vernis de l’Americana, mais le propos se perd dans des errances intimes redondantes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Monde
L’écriture du film, remarquable, esquisse des réponses en même temps que la réalisatrice dépeint une communauté de laissés-pour-compte, des Blancs pour la plupart, qui n’ont pas tous viré populistes.
Les Inrockuptibles
Un documentaire enchanteur sur une Amérique post Trump désenchantée.
Libération
Portrait antispectaculaire d’une chanteuse dans une communauté excentrique du Nouveau-Mexique, le documentaire de Justine Harbonnier brosse avec finesse l’entrée dans l’âge adulte.
L'Obs
Portrait d’une femme aussi ronde que joviale, devenue la mère adoptive de ses potes queer. La cinéaste française filme avec empathie et complicité cette femme qui trouve sans cesse la force de se relever. A découvrir.
Ouest France
Visuellement inventif, un petit bijou de mélancolie qui raconte aussi une Amérique profonde marquée par les années Trump.
Première
Caiti blues, documentaire présenté à l’ACID à Cannes, est un petit joyau visuel, parfaitement mélancolique. Chaque image – de la maison, du bar, des visages dans le vent – en balaie une autre, tout aussi maîtrisée. En fond, résonnent l’écho des temps modernes et de la voix oppressante de Trump. Et l’on comprend le blues, forcément politique.
Télérama
Le film la présente dans ce quotidien terne, qui ne la nourrit pas, et on craint, un temps, un récit strictement doloriste. Mais, d’une petite victoire à une autre, Caiti se (re)met sur la route de sa musique. De quoi rappeler la force du mot « vocation ».
Les Fiches du Cinéma
Doux-amer, ce documentaire entend gratter le vernis de l’Americana, mais le propos se perd dans des errances intimes redondantes.