Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Franceinfo Culture
par Mohamed Berkani
"Inchallah un fils" est un premier film de rage et d’espoir, Amjad Al Rasheed un réalisateur surdoué et Mouna Hawa une actrice éblouissante.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Bande à part
par Nadia Meflah
Cette œuvre intimiste sur les ravages du patriarcat est aussi un thriller féministe admirablement mené. Avec un sens du suspense digne d’un polar hitchcockien.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Alexandre Lebrac
Récit, ainsi que le présente son réalisateur, « de survie, d’émancipation et d’espoir », "Inchallah un fils" s’impose comme un plaidoyer puissant, nécessaire et porté par la grâce.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le film d'Al Rasheed est un drame social réaliste, aussi puissant que ceux d'Asghar Farhadi.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Cette fiction lucide, mise en scène avec sens très affûté du découpage, est une révélation.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Un film faussement naturaliste, non dénué d’un humour aux abois et superbement élaboré jusque dans sa bande-son, offrant par le biais de la fiction la possibilité à cette femme symbole de s’affranchir.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un droit récit d'émancipation féministe, contre l'assujettissement à la tradition, contre le déclassement légalisé, contre une oppression systémique.
Le Monde
par M. Dl.
Dotée d’un suspense qui monte à petit feu, cette comédie dramatique retrace les vicissitudes du veuvage de Nawal (l’actrice palestinienne Mouna Hawa), 30 ans, qui vient tout juste de perdre son mari.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Catherine Balle
Très émouvant, ce film est par ailleurs empreint de suspense et traversé par l’espoir.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un premier film remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Un film rigoureux mais d’un réalisme académique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dans son premier film en forme d’uppercut, le débutant Amjad Al Rasheed suit à la trace une jeune veuve jordanienne qui, avec ses faibles armes, combat l’adversité et le machisme vociférant de son pays. Présentée l’an passé au festival de Cannes (une première pour un film jordanien), cette fiction implacable révèle un cinéaste prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Pascale Vergereau
Un superbe portrait de femmes.
Première
par Damien Leblanc
Grâce à une minutieuse mise en scène où le personnage tente en permanence de s’extirper de décors étouffants pour gagner sa liberté, ce récit aux dialogues ciselés procure au final des sensations poignantes, lumineuses et apaisées.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Frédéric Mercier
Tout cela pourrait être édifiant et cynique si le film n'était mené tambour battant, avec une vigueur romanesque riche en péripéties et surtout en complexité.
Le Point
par La Rédaction
Porté par l'interprétation poignante de Mouna Hawa, ce film prenant permet de saisir, à travers un destin individuel, la cruauté d'une société qui dénie aux femmes les droits les plus élémentaires.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Bien que doté d’une mise en scène plutôt convenue, ce premier film brille par la justesse de son parti pris féministe.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Premier film jordanien sélectionné à Cannes, "Inchallah un fils" d’Amjad Al Rasheed, pionnier en termes géopolitiques, ne l’est pas tellement sur le reste, sujet, narration, style, où il est plutôt bon élève, premier de sa classe de drame social. Ça en fait un film instructif sur la législation jordanienne [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Marie Sauvion
Sans trémolos, le réalisateur emboîte le pas de son héroïne dans une course contre la montre pour sa fille, sa bataille, et doit une fière chandelle à sa très juste actrice principale.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Amjad Al Rasheed réalise une œuvre sombre et bouleversante sur le sort qui s’acharne contre les femmes dans la société patriarcale jordanienne. Une mise en scène académique mais sincère.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
"Inchallah un fils" est un premier film de rage et d’espoir, Amjad Al Rasheed un réalisateur surdoué et Mouna Hawa une actrice éblouissante.
Bande à part
Cette œuvre intimiste sur les ravages du patriarcat est aussi un thriller féministe admirablement mené. Avec un sens du suspense digne d’un polar hitchcockien.
Culturopoing.com
Récit, ainsi que le présente son réalisateur, « de survie, d’émancipation et d’espoir », "Inchallah un fils" s’impose comme un plaidoyer puissant, nécessaire et porté par la grâce.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le film d'Al Rasheed est un drame social réaliste, aussi puissant que ceux d'Asghar Farhadi.
L'Obs
Cette fiction lucide, mise en scène avec sens très affûté du découpage, est une révélation.
La Septième Obsession
Un film faussement naturaliste, non dénué d’un humour aux abois et superbement élaboré jusque dans sa bande-son, offrant par le biais de la fiction la possibilité à cette femme symbole de s’affranchir.
Le Dauphiné Libéré
Un droit récit d'émancipation féministe, contre l'assujettissement à la tradition, contre le déclassement légalisé, contre une oppression systémique.
Le Monde
Dotée d’un suspense qui monte à petit feu, cette comédie dramatique retrace les vicissitudes du veuvage de Nawal (l’actrice palestinienne Mouna Hawa), 30 ans, qui vient tout juste de perdre son mari.
Le Parisien
Très émouvant, ce film est par ailleurs empreint de suspense et traversé par l’espoir.
Les Echos
Un premier film remarquable.
Les Fiches du Cinéma
Un film rigoureux mais d’un réalisme académique.
Marianne
Dans son premier film en forme d’uppercut, le débutant Amjad Al Rasheed suit à la trace une jeune veuve jordanienne qui, avec ses faibles armes, combat l’adversité et le machisme vociférant de son pays. Présentée l’an passé au festival de Cannes (une première pour un film jordanien), cette fiction implacable révèle un cinéaste prometteur.
Ouest France
Un superbe portrait de femmes.
Première
Grâce à une minutieuse mise en scène où le personnage tente en permanence de s’extirper de décors étouffants pour gagner sa liberté, ce récit aux dialogues ciselés procure au final des sensations poignantes, lumineuses et apaisées.
Transfuge
Tout cela pourrait être édifiant et cynique si le film n'était mené tambour battant, avec une vigueur romanesque riche en péripéties et surtout en complexité.
Le Point
Porté par l'interprétation poignante de Mouna Hawa, ce film prenant permet de saisir, à travers un destin individuel, la cruauté d'une société qui dénie aux femmes les droits les plus élémentaires.
Les Inrockuptibles
Bien que doté d’une mise en scène plutôt convenue, ce premier film brille par la justesse de son parti pris féministe.
Libération
Premier film jordanien sélectionné à Cannes, "Inchallah un fils" d’Amjad Al Rasheed, pionnier en termes géopolitiques, ne l’est pas tellement sur le reste, sujet, narration, style, où il est plutôt bon élève, premier de sa classe de drame social. Ça en fait un film instructif sur la législation jordanienne [...].
Télérama
Sans trémolos, le réalisateur emboîte le pas de son héroïne dans une course contre la montre pour sa fille, sa bataille, et doit une fière chandelle à sa très juste actrice principale.
aVoir-aLire.com
Amjad Al Rasheed réalise une œuvre sombre et bouleversante sur le sort qui s’acharne contre les femmes dans la société patriarcale jordanienne. Une mise en scène académique mais sincère.