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Ufuk K
514 abonnés
1 471 critiques
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2,5
Publiée le 25 février 2024
"Sleep" grand gagnant du dernier festival du film fantastique de Gérardmer est un film fantastique coréen plutôt décevant dans l'ensemble. En effet en dépit de qualités indéniables et d'un certain mystère qui entoure cette histoire de possession démoniaque, le film ne décolle réellement jamais, le réalisateur Jason Yu livrant selon moi un scénario trop confus et pas assez nerveux à mon goût.
Il ne faut pas s'attendre à avoir peur ou sursauter. Sleep n'est pas ce genre de film. Jason Yu choisit plutôt de faire monter l'angoisse progressivement d'une manière subtile et efficace. On peut se demander au début où le réalisateur veut en venir, mais pour celles et ceux qui prennent le temps d'entrer dans l'histoire, elle permet de vivre un moment assez troublant.
Vu en AP au Festival de Gérardmer, Sleep est l'un des meilleurs films de cette 31eme edition. Jason Yu propose un 1er film original et intelligent ou le rationnel côtoie le surnaturel de très près, laissant libre d'interprétation le spectateur. Le Mari est-il seulement somnambule ou sa femme devient folle en le croyant possédé ? C'est précisément cette ambiguïté qui est présente durant toute la durée, qui nous tiens en haleine. On ajoute à cela un humour très bien dosé et un duo d'acteur vraiment au top et nous passons pas loin d'un chef d'oeuvre horrifique.
Que ce Film aurait était une Masterclass si il avait gardé son aspect psychologique des personnages pourquoi être parti dans la possession démoniaque. Néanmoins ce n'est pas un mauvais Film mais je m'attendais à nettement mieux Dommage ⭐️⭐️
Quand Hyun-su dort Soon-jin ne dort plus, un somnambule d’un côté une noctambule de l’autre, lequel va sombrer dans la folie en premier? J’ai beaucoup de mal avec le jeu d’acteur coréen que je trouve souvent outré, ici ce n’est pas le cas on joue dans la délicatesse. Après dans son déroulement et dans sa finalité le film reste assez quelconque.
Sans les artifices répétitifs made in US trop vus dans ce genre de film, ce film est une réussite, pas d’effets spéciaux, cachant l’absence de scénario, mais un scénario et une réalisation subtile qui renouvelle le genre de la possession, ce qui est une vraie performance. Un film à ne pas manquer.
Le sommeil a souvent été une bonne inspiration pour les films d’horreur. N’est-ce pas dans leur sommeil que Freddy Krueger vient trucider les adolescents (Les Griffes de la nuit) ? Dans Paranormal Activity, n’est-ce pas la nuit où a lieu les fameux phénomènes paranormaux ? Sleep de Jason Yu prend comme point de départ un couple. Ils sont amoureux et attendent un enfant. Seulement voilà, monsieur est somnambule et fait des choses bizarres la nuit. C’est l’engrenage : comment faire confiance à l’autre ? Et si au détour d’une crise, ne va-t’-il pas supprimer le nouveau-né pendant la nuit ? Sleep est un film malin avec un scénario très bien construit. Le dilemme est le suivant : il ne s’agit pas d’un monstre mais de la personne que l’on aime qui peut se révéler dangereuse. Le couple va-t-il se relever et survivre à cette épreuve ? Plus le film avance, plus on est accroché à ce récit de somnambulisme. Il faut dire que les acteurs sont bien dirigés et que la mise en scène se caractérise par une sobriété bienvenue. Par exemple, l’utilisation de la musique. Au lieu de « tartiner » toutes les séquences de notes musicales, le réalisateur utilise la musique avec parcimonie. Malgré un manque de folie, Sleep se laisse agréablement voir et n’a pas volé son Grand Prix à Gérardmer.
« Sleep » avait tout pour être la surprise horrifique de ce début d’année 2024 avec son concept simple, mais efficacement mis en place en seulement quelques scènes. Cependant, le film semble tout raconter en vingt minutes et se contente finalement de balbutier dans sa suite, dans un climax proche du risible. C’est d’autant plus regrettable que « Sleep » soit parsemé de belles idées de mise en scène ou de suggestions.
Le film démarre bien, très angoissant, autour des nuits pendant lesquelles le mari est somnambule puis le scénario dérive vers les explications et le contexte du phénomène. Le film perd alors toute sa tension et tout son intérêt. Dommage car il y avait de quoi faire un Paranormal activity coréen.
Excellent film . L'histoire est particulièrement intriguante et le suspens est au rdv du début à la fin. Je n'ai pas vu le temps passer. Je recommande car le format est aussi atypique mais c'est accrocheur vraiment. Il y a clairement un effort sur la réalisation. C'est plutot un thriller qu'un film d'horreur même nous pouvons sursauter ponctuellement et que le suspens rend le film angoissant je reconnais. Bref j'ai adoré.
Grand prix du Festival du Film Fantastique de Gerardmer 2024, « Sleep » est bâti autour d’un scénario remarquablement bien construit, du début à la toute fin. C’est simple, basique mais tellement bien fait. Jason Yu, pour son premier film, très rythmé, sait projeter spectateur dans les choix cornéliens des personnages : que ferait-on si cela nous arrivait ? si cela arrivait à notre conjoint ?
Le jeu d'acteurs asiatiques est, comme d'habitude, inexpressif et surjoué (série Z). Chapitre 1 : il est diagnostiqué "troubles du sommeil paradoxal". Tentative de suicide...Le petit chien est un pauvre spitz nain tout blanc. On en mangerait... Chapitre 2 : le studio pourrait être loué 450000wons, mais madame ne veut pas de cette solution (incompréhensible). La séquence avec la médium et ses grelots est complètement débile : elle est artificiellement agressive et jettera du sel sur notre somnambule, possédé peut-être par le fantôme du voisin. Chapitre 3 : Le délire augmente jusqu'à la folie de Madame. Attention au soutra bouddhiste qui pourrait le posséder éternellement! On déplorera une fin cauchemardesque dans son traitement cinématographique spoiler: (à bout, la folle s'armera d'une perceuse électrique) . Au secours!
Jason Yu signe un premier film singulier qui se regarde encore plus avec d'étonnement puisque l'acteur principal, Sun-kyun Lee, s'est suicidé il y a peu alors que j'aurais pris plaisir à le revoir à l'écran. Le duo formé avec Yu-mi Jeong, fonctionne bien. On se laisse embarquer par le somnambulisme du mari en se demandant jusqu'où ira sa maladie. Un film d'épouvante traité dans un forme de subtilité qui suggère plus qu'il ne montre et qui interroge sur la réalité ou pas du mal qui se répercute sur le couple devenu parents. A voir !
NULLISSIME !!!!! Comment est-ce possible que ce film soit aussi bien noté ? Pourtant je suis assez bon public mais franchement j’avais hâte que le film se termine tellement TOUT est mauvais . Passez votre chemin, aucun intérêt de payer un billet de cinéma !