Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Film-métaphore, Sleep combine à merveille la peur théorique et l’effroi concret, ce que l’on croit et ce qui est sous nos yeux, sans jamais vouloir – et c’est tant mieux – prendre parti. Brillant premier long-métrage.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un cauchemar à dormir debout.
L'Ecran Fantastique
par Quelou Parente
Le film qui bénéficie d’un jeu d’acteurs, vedettes de premier plan, s’avère convaincant de bout. Il tient son audience en haleine avec une réalisation au plus près des émotions des personnages, tout en offrant un éventail de lectures qui en fait tout son intérêt.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le sud-Coréen Jason Yu, ancien assistant de Bong Joon-ho, signe une comédie horrifique d’une grande maîtrise.
20 Minutes
par Caroline Vié
Les chroniques horrifiques sud-coréennes savent toujours taper près de l’os pour déranger le spectateur. Et le cinéma sud-coréen compte maintenant un nouveau nom à surveiller de très près : on n’a pas fini d’entendre parler de Jason Yu après ce premier film réussi.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Le mari et l’épouse vivent côte à côte mais jamais en même temps. Jason Yu ne se prive pas pour exploiter la part de burlesque et d’horreur qu’offre cette désynchronisation, ce qui donne à Sleep des airs de série B ludique à l’instar de certains films de Kiyoshi Kurosawa ou de M. Night Shyamalan.
Culturopoing.com
par Noëlle Gires
Le sens du tempo, les cuts toujours bien placés, l’alternance entre la peur et le rire, le jeu avec les attentes du spectateur, tantôt confirmées, tantôt déjouées, font de Sleep une oeuvre jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par François Forestier
C’est intelligent, raconté avec talent, et bien que le réalisateur insiste pour n’y voir qu’une histoire d’amour qui dérape, il se glisse entre les images un sentiment plus confus, écho d’un pays divisé dont une moitié est dominée par un dirigeant violemment paranoïaque. Frissons garantis.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Michel Valentin
Mais pour tout le reste, et notamment la lente descente aux enfers du couple à cause de nuits mouvementées, le long-métrage, qui a décroché le Grand prix du dernier festival international du film fantastique de Gérardmer, mérite le détour.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Divertissant et rondement mené, mis en scène avec une élégance qui accompagne habilement la progressive poussée d'angoisse, Sleep est un premier essai réussi.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jérémie Oro
Le jour, Sleep est une dramédie romantique sur une classe moyenne coréenne au très faible taux de natalité ; la nuit, il est un survival effréné faisant des crises de somnambulisme le réceptacle métaphorique de l’anxiété des jeunes parents. Un petit coup de maître.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par François Cau
"Sleep" montre des interprètes en pleine maîtrise olympique de leur art, à l'alchimie palpable. D'un projet modeste, Jason Yu tire une force créative enthousiasmante.
Ouest France
par Philippe Lemoine
Cette histoire de mari somnambule aux déplacements nocturnes inquiétants alterne efficacement les moments effrayants et les scènes plus légères.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
À partir d'un concept simple et efficace, usant d'une narration précise, le jeune cinéaste coréen infuse une angoisse épidermique chez son spectateur [...].
Télé Loisirs
par M.L.
Une ambiance ésotérique angoissante.
Télérama
par Guillemette Odicino
Singularité toute coréenne : ce film d’horreur séduit tout autant comme comédie grinçante sur le couple, avec sa vision de la charge mentale féminine poussée à son paroxysme et parfaitement incarnée par Yu-mi Jeong.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Une série B pleine d'intelligence sur le couple, la parentalité et la dépendance affective, à la fois attachante dans son installation façon rom com, et terrifiante dans ses dérèglements paranoïaques.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Plus qu’un banal film d’épouvante, le coréen Sleep brouille magistralement les pistes entre l’horreur et le thriller psychologique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Un film faussement original qui, sous ses quelques moments réussis, ne cache qu'une trame vue et revue à laquelle seul le parfum sud-coréen apporte un petit quelque chose.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Rafael Miró
Le résultat est plutôt réussi, en grande partie grâce à l’interprétation convaincante de Lee Sun-kyun, la star de Parasite malheureusement décédée en décembre dernier.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
Décevant mais prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Ma. Mt.
La bonne idée de ce premier long-métrage, parrainé par Bong Joon-ho (Parasite, 2019) et dont le réalisateur fut l’assistant sur Okja (2017), est que l’effroi s’y engouffre par la voie du sommeil, cette plage de temps mort où l’on ne se possède plus et lors de laquelle la psyché sociale accède à son envers.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Ce thriller fantastique efficace fait habilement monter la tension mais perd un peu de son charme en cours de route. L’excellent Lee Sun-kyun y joue son dernier rôle.
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Pour son premier film, Jason Yu démarre très fort, avant de s’essouffler à mi-parcours. L’ensemble reste intrigant et prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Frédéric Foubert
Le film s’appelle Sleep mais impossible de piquer du nez devant.
La critique complète est disponible sur le site Première
CinemaTeaser
Film-métaphore, Sleep combine à merveille la peur théorique et l’effroi concret, ce que l’on croit et ce qui est sous nos yeux, sans jamais vouloir – et c’est tant mieux – prendre parti. Brillant premier long-métrage.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un cauchemar à dormir debout.
L'Ecran Fantastique
Le film qui bénéficie d’un jeu d’acteurs, vedettes de premier plan, s’avère convaincant de bout. Il tient son audience en haleine avec une réalisation au plus près des émotions des personnages, tout en offrant un éventail de lectures qui en fait tout son intérêt.
Le Dauphiné Libéré
Le sud-Coréen Jason Yu, ancien assistant de Bong Joon-ho, signe une comédie horrifique d’une grande maîtrise.
20 Minutes
Les chroniques horrifiques sud-coréennes savent toujours taper près de l’os pour déranger le spectateur. Et le cinéma sud-coréen compte maintenant un nouveau nom à surveiller de très près : on n’a pas fini d’entendre parler de Jason Yu après ce premier film réussi.
Cahiers du Cinéma
Le mari et l’épouse vivent côte à côte mais jamais en même temps. Jason Yu ne se prive pas pour exploiter la part de burlesque et d’horreur qu’offre cette désynchronisation, ce qui donne à Sleep des airs de série B ludique à l’instar de certains films de Kiyoshi Kurosawa ou de M. Night Shyamalan.
Culturopoing.com
Le sens du tempo, les cuts toujours bien placés, l’alternance entre la peur et le rire, le jeu avec les attentes du spectateur, tantôt confirmées, tantôt déjouées, font de Sleep une oeuvre jubilatoire.
L'Obs
C’est intelligent, raconté avec talent, et bien que le réalisateur insiste pour n’y voir qu’une histoire d’amour qui dérape, il se glisse entre les images un sentiment plus confus, écho d’un pays divisé dont une moitié est dominée par un dirigeant violemment paranoïaque. Frissons garantis.
Le Parisien
Mais pour tout le reste, et notamment la lente descente aux enfers du couple à cause de nuits mouvementées, le long-métrage, qui a décroché le Grand prix du dernier festival international du film fantastique de Gérardmer, mérite le détour.
Le Point
Divertissant et rondement mené, mis en scène avec une élégance qui accompagne habilement la progressive poussée d'angoisse, Sleep est un premier essai réussi.
Les Inrockuptibles
Le jour, Sleep est une dramédie romantique sur une classe moyenne coréenne au très faible taux de natalité ; la nuit, il est un survival effréné faisant des crises de somnambulisme le réceptacle métaphorique de l’anxiété des jeunes parents. Un petit coup de maître.
Mad Movies
"Sleep" montre des interprètes en pleine maîtrise olympique de leur art, à l'alchimie palpable. D'un projet modeste, Jason Yu tire une force créative enthousiasmante.
Ouest France
Cette histoire de mari somnambule aux déplacements nocturnes inquiétants alterne efficacement les moments effrayants et les scènes plus légères.
Transfuge
À partir d'un concept simple et efficace, usant d'une narration précise, le jeune cinéaste coréen infuse une angoisse épidermique chez son spectateur [...].
Télé Loisirs
Une ambiance ésotérique angoissante.
Télérama
Singularité toute coréenne : ce film d’horreur séduit tout autant comme comédie grinçante sur le couple, avec sa vision de la charge mentale féminine poussée à son paroxysme et parfaitement incarnée par Yu-mi Jeong.
Voici
Une série B pleine d'intelligence sur le couple, la parentalité et la dépendance affective, à la fois attachante dans son installation façon rom com, et terrifiante dans ses dérèglements paranoïaques.
aVoir-aLire.com
Plus qu’un banal film d’épouvante, le coréen Sleep brouille magistralement les pistes entre l’horreur et le thriller psychologique.
Ecran Large
Un film faussement original qui, sous ses quelques moments réussis, ne cache qu'une trame vue et revue à laquelle seul le parfum sud-coréen apporte un petit quelque chose.
La Croix
Le résultat est plutôt réussi, en grande partie grâce à l’interprétation convaincante de Lee Sun-kyun, la star de Parasite malheureusement décédée en décembre dernier.
Le Figaro
Décevant mais prometteur.
Le Monde
La bonne idée de ce premier long-métrage, parrainé par Bong Joon-ho (Parasite, 2019) et dont le réalisateur fut l’assistant sur Okja (2017), est que l’effroi s’y engouffre par la voie du sommeil, cette plage de temps mort où l’on ne se possède plus et lors de laquelle la psyché sociale accède à son envers.
Les Fiches du Cinéma
Ce thriller fantastique efficace fait habilement monter la tension mais perd un peu de son charme en cours de route. L’excellent Lee Sun-kyun y joue son dernier rôle.
Libération
Pour son premier film, Jason Yu démarre très fort, avant de s’essouffler à mi-parcours. L’ensemble reste intrigant et prometteur.
Première
Le film s’appelle Sleep mais impossible de piquer du nez devant.