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    Chroniques de Téhéran
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    Isaly13
    Isaly13

    37 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 avril 2024
    Le cinéma iranien n’en finit pas de nous offrir des films toujours plus passionnants dans leur diversité.
    Poethique
    Poethique

    39 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 avril 2024
    La censure, le poids de la religion, la domination masculine et ses abus… en quelques saynètes criantes de réalisme, on découvre la vie quotidienne en Iran. C’est bien fait, et c’est édifiant.
    Nine
    Nine

    7 abonnés 97 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 avril 2024
    Décidemment j'aime bien le cinéma iranien même si j'ai trouvé ces diverses scènes parfois répétitives. La qualité du film est de ne pas être dans l'excès mais de distiller un malaise à travers d"nterrogatoires (le plus souvent) où un protagoniste se retrouve face à une personne qui incarne l'autorité . Femmes comme hommes tenteront de s"opposer toujours dignement . Le sujet religieux est dominant.
    Mélany T
    Mélany T

    31 abonnés 559 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 avril 2024
    La mise en scène est belle et soignée, les récits passionnants et intelligents (même si quelques longueurs sur certaines histoires font jour) et les acteur.trice.s parfait.e.s. l'ensemble est excellent.
    R G
    R G

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 avril 2024
    Chroniques de Téhéran est un film réalisé par Ali Asgari et Alireza Khatami avec Bahman Ark, Arghavan Shabani et Servin Zabetian.
    Zebrakelo
    Zebrakelo

    6 abonnés 281 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 avril 2024
    Courts métrages super critiques & bien orchestrés qui passent vite.
    Le jeu des actrices/acteurs est bon & les critiques sont variées et fortes : sur le machisme, la censure, la police, etc.
    lipfy
    lipfy

    7 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 avril 2024
    Bof. La charge anti-gouvernementale (amplement justifiée) est ici beaucoup trop scolaire, à la limite du caricatural. D'autres films iraniens ont fait passer le même message plus subtilement. Par ailleurs, le parti pris "documentaire" (plans fixes, pas de musique, un seul acteur par séquence, etc.) exige une direction d'acteur et un niveau de jeu particulièrement élevés, ce qui n'est pas le cas dans ces "Chroniques". Dommage.
    Alain Batcra
    Alain Batcra

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 avril 2024
    vu au Luxy le jeudi 21/03/2024. C'était bien. Film en sesuequences de plans fixes qui montre les conditions peu libérales de la vie à Téhéran
    Goéland
    Goéland

    27 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 avril 2024
    Le film débute par un long plan panoramique sur les gratte-ciel de Téhéran qui sortent lentement de la nuit. Il se termine par l’immanence d’un séisme. Dans le cœur du film, une suite de neuf « chroniques » assez semblables : La caméra filme en gros plan une ou un habitant de Téhéran en bute avec une autorité administrative, policière ou économique : l’un veut donner un prénom à son nouveau-né, l’autre veut récupérer son chien perdu, une troisième passe un entretien d’embauche qui dérape, etc. Hors champ, la personne de pouvoir, fait part de ses exigences, absurdes ou abusives. Les dialogues sont très tendus, parfois comiques malgré eux. On voit l’effroi puis l’indignation monter sur le visage des citoyens abusés.
    Sans grande surprise, le film nous alerte sur l’absurdité, l’intégrisme religieux, l’ingérence que les différents pouvoirs imposent aux citoyens en Iran. Ce qui étonne cependant, c’est la résistance qu’oppose les citoyens à ces règles absurdes et offensantes. Ils sont obligés de plier mais ils ne sont pas dupes et l’on sent que bientôt, ils n’accepteront plus de tels mauvais traitements.
    Alexandre Cacheux
    Alexandre Cacheux

    57 abonnés 539 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 avril 2024
    Remarquables témoignages sur la vie quotidienne d'iraniens confrontés à une administration tatillonne et religieusement engagée.
    Comment un régime, à travers les actes les plus banals d'un citoyen (naissance, permis de conduire, recherche d'emploi ...), matyrise et surveille son peuple.
    Ce film (et non pas documentaire) est surtout une apologie de l'absurde, qui finit par détruire l'individu. Implacable.
    Jmartine
    Jmartine

    167 abonnés 671 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 avril 2024
    Abbas Kiarostami, Jafar Panahi, Asghar Farhadi, Negar Azarbayjani, Mohammad Rasoulof, Sepideh Farsi, Ali Soozandeh, … A partir des années 1990, les cinéphiles français ont déroulé le tapis rouge à ces réalisateurs iraniens plus ou moins critiques du pouvoir, dont les œuvres ouvraient une fenêtre sur un pays corseté. Stupéfiant cinéma iranien…des réalisateurs privés de la liberté de circuler et de travailler…Jafar Panahi, condamné à 6 ans de prison et à une interdiction de réaliser des films ou de quitter l’Iran pendant 20 ans…et qui tourne Taxi Téhéran à la barbe des ayatollahs …Ali Soozandeh, qui s’est auto-banni pour continuer à travailler, réalisateur de Téhéran Tabou qui décrit une société iranienne schizophrène où la drogue, le sexe, la corruption et la drogue coexistent avec les interdits religieux…Sepideh Farsi réalisateur du magnifique Red Rose, interdit, tout comme ses comédiens de retour en Iran…et Mohammad Rasoulof réalisateur de ce poignant Un homme intègre … lui aussi a vu son passeport confisqué à son retour à l’aéroport de Téhéran et reste sous la menace de six années de prison…je me flatte d’avoir vu une vingtaine de ces films durant ces dix dernières années. Je ne pouvais donc manquer ces « Chroniques de Téhéran » des réalisateurs Ali Asgari et Alireza Khatami . Cinéaste iranien en exil depuis 2004, Alireza Khatami était revenu à Téhéran début 2022 dans l’espoir d’y réaliser un long métrage. Un projet mort-né après le refus des autorités de lui accorder l’indispensable permis de tournage. Les courts métrages n’étant pas soumis, eux, à autorisation préalable, le quadragénaire a décidé, avec son ami Ali Asgari, d’autofinancer dans l’urgence un autre projet : un film de fiction composé de neuf histoires, neuf plans-séquence, neufs dialogues entre deux acteurs ou actrices, l’un(e) cadré(e) en plan moyen, l’autre hors champ, avec, à chaque fois, des interprètes différents mais tous persuadés de tourner un court métrage autonome – leur cacher la vérité était le seul moyen de leur éviter des ennuis avec la police une fois que le ministère de la Culture et de l’Orientation islamique (sic) aurait découvert le pot aux roses…Un homme venu à l’Etat civil pour déclarer la naissance de son fils, un cinéaste désireux de déposer une énième version de son scénario, une dame âgée cherchant son chien, une jeune femme postulant pour un emploi, une lycéenne dans le bureau de sa proviseure… Des anonymes comme autant de victimes des brimades inquisitrices et des multiples censures de la société iranienne. Et autant d’histoires courtes et cinglantes, amères ou anxieuses, écrites et filmées en plan-séquence et en un cadre unique. A chaque fois, l’incriminé(e) nous prend à témoin avec un regard face caméra, pendant que, tenus hors champ, les représentants d’un Etat liberticide cisèlent leurs coups bas…La forme est aussi forte que le fond, illustrant la peur et l’impasse des tentatives de liberté en Iran. ...Ce film sélectionné dans la section Un Certain Regard est l’un des seuls d’origine iranienne de l’ensemble du cru 2023. Alors qu’à Cannes, à Venise, à Berlin, d’édition en édition, le cinéma iranien a toujours écrit son histoire par le truchement des grands festivals internationaux, la solitude de ce film sur les écrans cannois s’explique par l’écroulement d’une économie à l’arrêt… « Chroniques de Téhéran » réussit l’exploit d’être un des films les plus subversifs dans l’histoire du cinéma iranien malgré (ou à cause de ?) une très grande simplicité dans sa mise en scène…Allez le voir !!!
    Mcbmcb18
    Mcbmcb18

    2 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 avril 2024
    Neuf petites scènes de la vie quotidienne à Téhéran qui décrivent la violence psychologique pratiquée au lendemain des manifestations de 2022.

    Déprimant mais réaliste.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 621 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 avril 2024
    Les chroniques de Téhéran, ce sont 9 courts métrages en plan fixe mettant en scène un citoyen confronté à l’absurdité des règles édictées par la République des Mollahs. Chaque séquence met face à face un citoyen et un décideur qui est souvent un représentant de l’état Iranien. La caméra ne lâche pas le citoyen victime des règles religieuses en vigueur ; çà pourrait manquer de cinéma un tel dispositif ; mais au contraire. On finit par se représenter l’interlocuteur qui à chaque fois restera hors champs ; c’est une belle leçon de maitrise du hors champ dans chacun de ces huis clos. Ces 9 vignettes posées bout à bout donnent une image terrifiante d’un régime religieux autoritaire ; même si les réalisateurs jouent souvent de cette absurdité pour apporter à chaque fois de la drôlerie dans les situations. En 77 minutes, mieux que de longs discours, tout est dit.
    L’ouverture et la fermeture du film se rejoignent pour symboliquement démontrer la déliquescence d’un régime s’effondrant sur lui-même. Un régime symboliser par un grabataire trop loin d’un peuple qu’il ne comprend et ne représente plus. L’Iran est un pays avec un âge médian de 33 ans et une fertilité de 1.7 enfant/femme… et une population des villes éduquée et de classes moyennes ayant d’autres aspirations.
    TOUT-UN-CINEMA.BLOGSPOT.COM
    Mojim
    Mojim

    3 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 avril 2024
    en tant qu'une iranienne, la dernière séquence me plaît énormément. un vieux homme assis, tout est en train de s'effondre, mais lui, il ne le même pas fait attention, c'est exactement le sketch de la scène politique en Iran.
    Jean-Francois Erismann
    Jean-Francois Erismann

    3 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 avril 2024
    Un peu décevant. Les saynètes présentées sont évidemment scenarisées ce qui permet un certain humour au second degré mais c'est bien comme cela que le profane imagine l'Iran actuel et le sujet est-il approprié pour ce traitement décalé ? On apprend rien et les adversaires pourraient, à juste titre, reprocher des situations inventées ...
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