Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Ouest France
par Thierry Chèze
L'humour est ici une arme de dénonciation massive et terrassante.
Bande à part
par Isabelle Danel
Une telle adéquation entre le fond, la forme, et la condition sine qua non pour exister chavire. Et fait naître en nous une saine colère.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Le constat sociétal et politique est d’autant plus implacable qu’une force très référencée se dégage de l’ensemble, hommage explicite à l’insolence des mosaïques panahiennes.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Ce film inventif et stimulant, soutenu par une écriture brillante, fine et incisive, met en relief le conflit entre la recherche de sens de la société iranienne et le manque de sens de son gouvernement.
L'Humanité
par Michèle Levieux
Une œuvre radicale.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
Un film aussi percutant qu’indispensable.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Ali Asgari et Alireza Khatami décrivent le cauchemar tragicomique sous un régime autoritaire.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Une vision éclairante de la société iranienne à travers neuf saynètes qui pointent le totalitarisme ambiant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On est frappé par la lucidité implacable de ce film choral, drôle mais désespérant, qui tient sa force de son dispositif unique [...].
Le Parisien
par Catherine Balle
Ces neuf saynètes nous plongent dans le quotidien de la vie à Téhéran. Et la mise en scène illustre puissamment le dialogue impossible entre des individus et le rouleau compresseur d’une administration et de règles religieuses intransigeantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Ali Asgari et Alireza Khatami mettent en scène neuf histoires ordinaires dans le Téhéran d'aujourd'hui. A travers un dispositif simple et surprenant, ils livrent, parfois avec drôlerie, le terrible instantané d'une dictature.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Une mécanique implacable, finement écrite et admirablement interprétée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Fort.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jacqueline Nacache
Ces Chroniques de Téhéran savent nous captiver par leur terrifiante simplicité.
Première
par Thomas Baurez
Le duo de cinéastes nous place du côté d’un mal que l’on ne voit pas. Le geste est implacable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
Neuf histoires qui n’en font qu’une : un subterfuge qui permit à Alireza Khatami de déjouer la censure. Et autant d’instantanés, à la fois drôles et tragiques, qui défendent la liberté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Garreau
Avec tact et doigté, le film aborde le sujet, ô combien sensible, de la relation des Iraniens aux autorités et à l’ordre établi.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
A chaque fois, l’incriminé(e) nous prend à témoin avec un regard face caméra, pendant que, tenus hors champ, les représentants d’un Etat liberticide cisèlent leurs coups bas. Sur la longueur, le principe, théâtral et conceptuel, finit tout de même par montrer ses limites.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Cl. F.
L’effet de frustration fonctionne, et la mise en scène accentue le suspense.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Originalité de la démarche : tous les personnages sont filmés en plan séquence face à l'autorité administrative ou de la personne invisible, en plan fixe. Effet garanti et implacable, forcément répétitif. Ce « hors-champs » accentue l'impression d'une mécanique froide, incapable d'empathie et qui enferme la société sur elle-même.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Nicolas Moreno
Tourné en à peine sept jours, le film souligne un certain état d’urgence à dépeindre l’enfer quotidien des Iranien·nes. À filmer pour se souvenir, mais aussi pour combattre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Concis, inspiré et extrêmement mordant, "Chroniques de Téhéran" est aussi progressivement anesthésié par son dispositif, très répétitif, qui en atténue un peu la force.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
L'humour est ici une arme de dénonciation massive et terrassante.
Bande à part
Une telle adéquation entre le fond, la forme, et la condition sine qua non pour exister chavire. Et fait naître en nous une saine colère.
Cahiers du Cinéma
Le constat sociétal et politique est d’autant plus implacable qu’une force très référencée se dégage de l’ensemble, hommage explicite à l’insolence des mosaïques panahiennes.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ce film inventif et stimulant, soutenu par une écriture brillante, fine et incisive, met en relief le conflit entre la recherche de sens de la société iranienne et le manque de sens de son gouvernement.
L'Humanité
Une œuvre radicale.
La Croix
Un film aussi percutant qu’indispensable.
Le Dauphiné Libéré
Ali Asgari et Alireza Khatami décrivent le cauchemar tragicomique sous un régime autoritaire.
Le Figaro
Une vision éclairante de la société iranienne à travers neuf saynètes qui pointent le totalitarisme ambiant.
Le Journal du Dimanche
On est frappé par la lucidité implacable de ce film choral, drôle mais désespérant, qui tient sa force de son dispositif unique [...].
Le Parisien
Ces neuf saynètes nous plongent dans le quotidien de la vie à Téhéran. Et la mise en scène illustre puissamment le dialogue impossible entre des individus et le rouleau compresseur d’une administration et de règles religieuses intransigeantes.
Les Echos
Ali Asgari et Alireza Khatami mettent en scène neuf histoires ordinaires dans le Téhéran d'aujourd'hui. A travers un dispositif simple et surprenant, ils livrent, parfois avec drôlerie, le terrible instantané d'une dictature.
Les Fiches du Cinéma
Une mécanique implacable, finement écrite et admirablement interprétée.
Paris Match
Fort.
Positif
Ces Chroniques de Téhéran savent nous captiver par leur terrifiante simplicité.
Première
Le duo de cinéastes nous place du côté d’un mal que l’on ne voit pas. Le geste est implacable.
Télérama
Neuf histoires qui n’en font qu’une : un subterfuge qui permit à Alireza Khatami de déjouer la censure. Et autant d’instantanés, à la fois drôles et tragiques, qui défendent la liberté.
aVoir-aLire.com
Avec tact et doigté, le film aborde le sujet, ô combien sensible, de la relation des Iraniens aux autorités et à l’ordre établi.
L'Obs
A chaque fois, l’incriminé(e) nous prend à témoin avec un regard face caméra, pendant que, tenus hors champ, les représentants d’un Etat liberticide cisèlent leurs coups bas. Sur la longueur, le principe, théâtral et conceptuel, finit tout de même par montrer ses limites.
Le Monde
L’effet de frustration fonctionne, et la mise en scène accentue le suspense.
Le Point
Originalité de la démarche : tous les personnages sont filmés en plan séquence face à l'autorité administrative ou de la personne invisible, en plan fixe. Effet garanti et implacable, forcément répétitif. Ce « hors-champs » accentue l'impression d'une mécanique froide, incapable d'empathie et qui enferme la société sur elle-même.
Les Inrockuptibles
Tourné en à peine sept jours, le film souligne un certain état d’urgence à dépeindre l’enfer quotidien des Iranien·nes. À filmer pour se souvenir, mais aussi pour combattre.
Libération
Concis, inspiré et extrêmement mordant, "Chroniques de Téhéran" est aussi progressivement anesthésié par son dispositif, très répétitif, qui en atténue un peu la force.