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traversay1
Fut un temps, pas si lointain, où chaque thriller coréen semblait pratiquer une surenchère de violence par rapport à ceux qui l'avait précédé. On a ainsi atteint un certain niveau au-delà duquel il n'était plus possible d'aller. Hopeless, dans ses moments les plus extrêmes, montre quelques velléités d'épater la galerie en ce sens,
spoiler:
une manière de montrer sa radicalité jusqu'au bout des ongles, c'est le cas de le dire
. Mais le film, outre son récit d'un apprentissage mafieux assez classique pour un novice, a d'autres atouts, humains, dans la manche. Ainsi, spoiler: cette relation entre demis frère et sœur, qui ne manque pas de sel, ou entre le voyou débutant et son chef, qui ne manque pas de piment, ni surtout d'ambiguïté. Et puis, globalement, les rapports fils-père dysfonctionnent sérieusement et alimentent le destin erratique des premiers.
C'est cet aspect "social" que l'on retiendra en priorité du premier long-métrage de Kim Chang-hoon, qui n'est jamais meilleur que quand il cesse de rivaliser dans l'agressivité avec des compatriotes réalisateurs qui eux n'ont plus à faire leurs preuves. Il y a certainement du potentiel chez ce nouveau cinéaste mais il convient d'attendre la suite pour juger s'il peut imposer une véritable personnalité ou s'il n'est qu'un faiseur raisonnablement doué.
. Mais le film, outre son récit d'un apprentissage mafieux assez classique pour un novice, a d'autres atouts, humains, dans la manche. Ainsi, spoiler: cette relation entre demis frère et sœur, qui ne manque pas de sel, ou entre le voyou débutant et son chef, qui ne manque pas de piment, ni surtout d'ambiguïté. Et puis, globalement, les rapports fils-père dysfonctionnent sérieusement et alimentent le destin erratique des premiers.
C'est cet aspect "social" que l'on retiendra en priorité du premier long-métrage de Kim Chang-hoon, qui n'est jamais meilleur que quand il cesse de rivaliser dans l'agressivité avec des compatriotes réalisateurs qui eux n'ont plus à faire leurs preuves. Il y a certainement du potentiel chez ce nouveau cinéaste mais il convient d'attendre la suite pour juger s'il peut imposer une véritable personnalité ou s'il n'est qu'un faiseur raisonnablement doué.
UN thriller, je trouve assez psychologique, mais attention, d'une grande violence, j'ai du détourner les yeux deux ou trois fois...C'est très sombre, plus voyou que policier , et l'on navigue dans un milieu interlope, qui ne fait pas du tout envie....La pègre se transmet de père ne fils dirais je, c'est une histoire de rancune, de commerce des sentiments sur fond de banditisme....J'ai trouvé le film intéressant, prenant du début à la fin, avec un scénario , un montage, une bande son tirées à quatre épingle, impeccable toujours chez les policiers coréens.....Du cinéma qui paradoxalement dérange et fait du bien, les coréens sont doués pour faire passer des messages, ....La scène du lac, est le nœud du film, et c'est la plus belle du film, malheureusement elle n'arrive qu'aux deux tiers du film.....âme sensibles s'abstenir, les autres vous auriez tort de bouder votre plaisir....On sort touché par tant de violence et de noirceur....Je conseille volontiers surtout si vous aimez le cinéma du pays du matin "calme".... La Corée a beaucoup de qualités.....
Vivant une situation familiale critique à cause de la violence de son beau-père, un jeune coréen se tourne vers la mafia locale pour tenter de gagner assez d'argent pour partir en Europe. Il y fait la rencontre d'un chef de quartier qui le prend sous son aile malgré son comportement. En salle le.
spoiler: Hopeless est une bonne surprise : dotée d'un rythme bien dosé et de certains personnages charismatiques, l'intrigue dévoile un anti-héros acculé par la violence de son environnement mais disposant d'un sens moral aiguisé. Le film est (très) violent et aucune des nombreuses scènes sanglantes n'est suggérée, tout nous est montré ce qui peut être déplaisant à certains moments.
spoiler: Hopeless est une bonne surprise : dotée d'un rythme bien dosé et de certains personnages charismatiques, l'intrigue dévoile un anti-héros acculé par la violence de son environnement mais disposant d'un sens moral aiguisé. Le film est (très) violent et aucune des nombreuses scènes sanglantes n'est suggérée, tout nous est montré ce qui peut être déplaisant à certains moments.
Waouh la claque ! Film très beau, magnifiquement filmé et interprété. Que violence et de sensibilité encore une fois dans le cinéma coréen !
C’est très bien joué, l’histoire est intéressante, c’est un peu trop long mais surtout le réalisateur-scénariste Kim Chang-hoon devait vraiment avoir le blues pendant la période de conception car c’est le film le plus sombre que j’ai pu voir (aucune lueur d’espoir) et il porte bien son nom : sans espoir ! La cruauté montrée ici ne convient pas à tous les publics, il y a même des spectateurs qui sont sortis avant la fin pendant ma séance. A voir pour se remonter le moral car finalement notre vie est bien belle comparée à celle de tous les personnages de ce film.
Très bon film Sud-Coréen qui porte bien son titre puisqu'il n'y a que très peu d'espoir dans ce film , très noir , de Chang-hoon Kim qui se montre viscéral , subversif et où la violence qui en émane est frontale puisque ici pas de place pour l'imagination , tout y est montré ! ...
La spirale de l'engrenage est plutôt bien évoquée et mérite qu'on intéressante à nce film. Néanmoins je m'attendais à mieux et notamment en matière de scènes violentes qui ne sont pas forcément pertinentes. Un film japonais à voir mais une fois ça suffit.
Un bon thriller sur l'initiation d'un néo-délinquant, psychologique et violent. Dommage que le film soit un poil trop long et d'avoir une impression de déjà-vu.
Lorsqu'on évoque un polar coréen présenté en compétition parallèle à Cannes (2023), on s'attend à un standard minimum.
Il n' est pas atteint avec ce " hopeless" dont le scénario et les dialogues sont d'une pauvreté affligeante.
Il reste le casting, la photo et quelques scènes pendant la première heure ( pas fameuse). La seconde heure est pire et on finit par se ficher comme d'une guigne de cette histoire de jeune homme à la dérive, qui intègre une bande de la mafia locale.
Il n' est pas atteint avec ce " hopeless" dont le scénario et les dialogues sont d'une pauvreté affligeante.
Il reste le casting, la photo et quelques scènes pendant la première heure ( pas fameuse). La seconde heure est pire et on finit par se ficher comme d'une guigne de cette histoire de jeune homme à la dérive, qui intègre une bande de la mafia locale.
HOPELESS (Sans espoir en vf) tient parfaitement son programme jusqu'à la nausée. L'accumulation de la violence que le réalisateur s'acharne à infliger à son héros (et à tous les autres personnages) finit par anesthésier le spectateur, pourtant, dans mon cas, très preneur des films noirs coréens en général.
🎬 RENGER 📼
Pour fuir une vie sans avenir et sans espoir, un jeune homme est entraîné dans une spirale de violence…
Un premier long-métrage qui déçoit à plus d’un titre. En choisissant de montrer le parcours initiatique (et chaotique) d’un apprenti mafieux, Kim Chang-Hoon nous perd plus d’une fois à cause de longueurs disgracieuses. 120 minutes à travers lesquelles on suit le héros ballotté entre d’un côté, sa famille dysfonctionnelle (un père ivrogne qui à la main lourde) et de l’autre, la mafia (avec laquelle il aura bien du mal à partir). Trop souvent, on a cette désagréable impression que le film tourne en boucle et ne cesse de se répéter.
Hopeless (2023) 화란 porte bien son nom, c’est une certitude, mais l’ensemble est exagérément outrancier et on ne parvient jamais à s’identifier ou à s’attacher au protagoniste principal.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Un premier long-métrage qui déçoit à plus d’un titre. En choisissant de montrer le parcours initiatique (et chaotique) d’un apprenti mafieux, Kim Chang-Hoon nous perd plus d’une fois à cause de longueurs disgracieuses. 120 minutes à travers lesquelles on suit le héros ballotté entre d’un côté, sa famille dysfonctionnelle (un père ivrogne qui à la main lourde) et de l’autre, la mafia (avec laquelle il aura bien du mal à partir). Trop souvent, on a cette désagréable impression que le film tourne en boucle et ne cesse de se répéter.
Hopeless (2023) 화란 porte bien son nom, c’est une certitude, mais l’ensemble est exagérément outrancier et on ne parvient jamais à s’identifier ou à s’attacher au protagoniste principal.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Cinéphiles 44
"Hopeless" est un drame noir sombre et violent qui se déroule dans une ville fictive de Corée du Sud. Le film est centré sur un adolescent qui est pris dans une spirale descendante et qui finira par trouver refuge dans un gang dangereux. Malgré un style visuel fort, le film souffre d'une narration répétitive et trop sinistre qui donne souvent l'impression d'être excessivement violente sans ajouter beaucoup de profondeur à l'histoire.
Hopeless où la descente aux enfers d'un adolescent qui intègre une bande de malfrats au leader charismatique. C'est un film à la réalisation brillante, il est facile de s'y plonger car l'histoire a une certaine profondeur, les acteurs plutôt charismatiques. Le film est réussi, on ne voit pas le temps passer.
Audrey L
Hopeless, en bon thriller coréen, offre quelques scènes plus pêchues que la moyenne (à base de pinces qui arrachent des ongles en gros plans... Miam !), mais aussi une durée abusive de 2h15 pour un scénario très classique. On suit un jeune homme qui rentre dans un groupe de mafieux pour s'en sortir dans sa vie cahoteuse, et s'aperçoit vite que les missions d'élimination de "clients mauvais payeurs" ne sont pas pour lui... Comment sortir d'un système dangereux, sans le faire les pieds devant ? Et comment sauver sa mère, sa demi-sœur et soi-même (éventuellement) de l'emprise d'un beau-père alcoolique et violent à l'excès ? Ce ne sont pas les idées qui manquent à Hopeless, juste un rythme et une durée cohérente, car on s'ennuie dans le ventre mou du film qui radote beaucoup (la découverte du fonctionnement de la mafia prend des plombes). Le jeu d'acteurs n'est pas brillant, et la technique est très discrète (pas de musique ou mise en scène à noter). En revanche, on apprécie bien le final, qui offre
spoiler:
un duel avec le mafieux assez audacieux (ce dernier se laisse tuer par bonté pour le jeune homme) et un duel avec le beau-père qui ne termine pas avec les baquets de sang attendus (une bonne surprise)
. Quelques frissons ont parcouru la salle lors des scènes "d'ongles" (on est largement au-delà de la scène d'ongles de Black Swan, soyez prévenus), et on les retient bien, au moins (berk !). Hopeless ne sera pas le thriller coréen révolutionnaire que vous cherchez, mais assurera le service le temps d'une soirée. Trop long, parfois bavard, sans réelle technicité notable, mais avec quelques scènes délicieusement cracra et un final bien écrit.
. Quelques frissons ont parcouru la salle lors des scènes "d'ongles" (on est largement au-delà de la scène d'ongles de Black Swan, soyez prévenus), et on les retient bien, au moins (berk !). Hopeless ne sera pas le thriller coréen révolutionnaire que vous cherchez, mais assurera le service le temps d'une soirée. Trop long, parfois bavard, sans réelle technicité notable, mais avec quelques scènes délicieusement cracra et un final bien écrit.
Un jeune adulte veut fuir son quotidien et pour ça se laisse embrigader dans un gang de malfaiteurs.
Premier film d’un jeune réalisateur, on reconnaît les maladresses de ce statut. Scénario léger, personnages et situations caricaturales voire clichées du film de genre (beau-père violent, boss du gang qui le prend sous son aile, second jaloux, etc.), tout laisse à penser que le réalisateur peut progresser. Et on y croit, car techniquement on a affaire tout de même à une maitrise du cadre et de la direction d’acteur qui laissent présager du bon pour ce réalisateur à suivre.
Premier film d’un jeune réalisateur, on reconnaît les maladresses de ce statut. Scénario léger, personnages et situations caricaturales voire clichées du film de genre (beau-père violent, boss du gang qui le prend sous son aile, second jaloux, etc.), tout laisse à penser que le réalisateur peut progresser. Et on y croit, car techniquement on a affaire tout de même à une maitrise du cadre et de la direction d’acteur qui laissent présager du bon pour ce réalisateur à suivre.
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