Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Corruption, misère et morts font bon ménage dans ce premier film habile que sa cruauté réserve à un public au cœur bien accroché.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Dans les pas de Bong Joon-ho et Park Chan-wook, Chang-hoon Kim infiltre le genre du film de gang avec brio. Viscéral, brutal, vital.
Franceinfo Culture
par Mohamed Berkani
Un film intelligent et subversif.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
C'est devenu la marque de fabrique du cinéma sud-coréen: ultra violence, noirceur, subversion.
Le Parisien
par Michel Valentin
Kim Chang-hoon peut également faire penser à Scorsese lorsqu’il filme la colère contenue de ses protagonistes, l’irruption soudaine de la violence, qui peut aller très loin, le poids des traditions, qui émaillent ce parcours initiatique filmé à fleur de peau. Pour un coup d’essai, un coup de maître !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par M.L.
Violent et désespéré, Hopeless est une révélation, qui donne envie de suivre son réalisateur.
Voici
par La Rédaction
Un polar remarquable porté par deux personnages tragiques, magnifiquement écrits et interprétés.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Résolument sombre, et comme le titre l’indique sans espoir, le premier film de Kim Chang-hoon présage du meilleur à venir chez ce jeune réalisateur un peu passé inaperçu au dernier Festival de Cannes 2023.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Maîtrisant le cadrage claustrophobique, la noirceur profonde de la photographie et avec un art du montage affûté, Kim Chang-hoon stupéfie. Il oublie juste de laisser à son héros – et au spectateur, le scénario restant très programmatique et mécanique – un soupçon de libre arbitre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Une chronique sociale un peu démonstrative qui laisse entrevoir le talent du réalisateur Chang-hoon Kim, mais qui souffre d’un rythme en dents de scie et de longueurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Le visage couturé de cicatrices de son personnage principal donne la mesure d’un film conçu comme une impasse, d’où émerge une belle maîtrise formelle, en dépit de quelques longueurs - lesquelles empêchent le film de prétendre à une autre ampleur.
Paris Match
par Yannick Vely
Si le scénario est très classique, le film brille par des éclats de violence qui rappellent l’univers désespéré de Kim Ki-duk.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Damien Leblanc
Et grâce à son fascinant et sensuel duo de comédiens, Hong Xa-bin et Song Joong-ki, cette sombre épopée criminelle – souffrant de quelques longueurs - finit paradoxalement par émouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
par Didier Péron
En réalité et en dépit du très bon casting, d’un savoir-faire technique presque porno vu la complaisance générale, tout ça n’a rigoureusement aucun intérêt et requiert l’intervention d’un psy.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Le polar coréen – urbain et poisseux, comme il se doit – révèle à intervalles réguliers de nouveaux noms : Chang-hoon Kim en est un, mais, hélas, la virtuosité indéniable de sa mise en scène tourne à vide tant ses personnages sont caricaturaux.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télérama
par Samuel Douhaire
Ce premier long métrage louvoie constamment entre la saga mafieuse et le récit initiatique un rien tordu et, malgré d’excellents comédiens, ne réussit ni l’une, ni l’autre. La faute à un récit pas toujours intelligible et à une ultraviolence mise en scène avec une complaisance malsaine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Chaque séquence semble rejouer ad nauseam le combat des fils et des pères sans trouver de résolution, les premiers étant trop faibles pour l’emporter, et les seconds trop égoïstes pour céder leur place.
Le Monde
par Ma. Mt.
Le film s’enferme dans une morne alternance entre explosions de violence - les coups pleuvent à la moindre occasion - et accalmies par le dialogue.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
20 Minutes
Corruption, misère et morts font bon ménage dans ce premier film habile que sa cruauté réserve à un public au cœur bien accroché.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans les pas de Bong Joon-ho et Park Chan-wook, Chang-hoon Kim infiltre le genre du film de gang avec brio. Viscéral, brutal, vital.
Franceinfo Culture
Un film intelligent et subversif.
Le Dauphiné Libéré
C'est devenu la marque de fabrique du cinéma sud-coréen: ultra violence, noirceur, subversion.
Le Parisien
Kim Chang-hoon peut également faire penser à Scorsese lorsqu’il filme la colère contenue de ses protagonistes, l’irruption soudaine de la violence, qui peut aller très loin, le poids des traditions, qui émaillent ce parcours initiatique filmé à fleur de peau. Pour un coup d’essai, un coup de maître !
Télé Loisirs
Violent et désespéré, Hopeless est une révélation, qui donne envie de suivre son réalisateur.
Voici
Un polar remarquable porté par deux personnages tragiques, magnifiquement écrits et interprétés.
aVoir-aLire.com
Résolument sombre, et comme le titre l’indique sans espoir, le premier film de Kim Chang-hoon présage du meilleur à venir chez ce jeune réalisateur un peu passé inaperçu au dernier Festival de Cannes 2023.
L'Obs
Maîtrisant le cadrage claustrophobique, la noirceur profonde de la photographie et avec un art du montage affûté, Kim Chang-hoon stupéfie. Il oublie juste de laisser à son héros – et au spectateur, le scénario restant très programmatique et mécanique – un soupçon de libre arbitre.
Le Journal du Dimanche
Une chronique sociale un peu démonstrative qui laisse entrevoir le talent du réalisateur Chang-hoon Kim, mais qui souffre d’un rythme en dents de scie et de longueurs.
Les Fiches du Cinéma
Le visage couturé de cicatrices de son personnage principal donne la mesure d’un film conçu comme une impasse, d’où émerge une belle maîtrise formelle, en dépit de quelques longueurs - lesquelles empêchent le film de prétendre à une autre ampleur.
Paris Match
Si le scénario est très classique, le film brille par des éclats de violence qui rappellent l’univers désespéré de Kim Ki-duk.
Première
Et grâce à son fascinant et sensuel duo de comédiens, Hong Xa-bin et Song Joong-ki, cette sombre épopée criminelle – souffrant de quelques longueurs - finit paradoxalement par émouvoir.
Libération
En réalité et en dépit du très bon casting, d’un savoir-faire technique presque porno vu la complaisance générale, tout ça n’a rigoureusement aucun intérêt et requiert l’intervention d’un psy.
Marianne
Le polar coréen – urbain et poisseux, comme il se doit – révèle à intervalles réguliers de nouveaux noms : Chang-hoon Kim en est un, mais, hélas, la virtuosité indéniable de sa mise en scène tourne à vide tant ses personnages sont caricaturaux.
Télérama
Ce premier long métrage louvoie constamment entre la saga mafieuse et le récit initiatique un rien tordu et, malgré d’excellents comédiens, ne réussit ni l’une, ni l’autre. La faute à un récit pas toujours intelligible et à une ultraviolence mise en scène avec une complaisance malsaine.
Cahiers du Cinéma
Chaque séquence semble rejouer ad nauseam le combat des fils et des pères sans trouver de résolution, les premiers étant trop faibles pour l’emporter, et les seconds trop égoïstes pour céder leur place.
Le Monde
Le film s’enferme dans une morne alternance entre explosions de violence - les coups pleuvent à la moindre occasion - et accalmies par le dialogue.