Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un film une fois de plus saisissant, obsédant, sur un pays aussi étrange qu’inquiétant, mais habité par des âmes qui dégagent une énergie étonnante. On attend avec impatience la suite de la trilogie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Un magnifique documentaire autour d'ateliers textiles d'une cité-dortoir chinoise et d'une jeunesse belle et misérable.
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
Si Wang est devenu un cinéaste essentiel, c’est en maintenant une approche étrangère à l’emphase et à la bouffissure. Art termite, tel que le critique Manny Farber l’avait opposé à celui des éléphants blancs : n’érigeant ni cathédrale, ni tombeau, Wang Bing creuse dans des espaces inhumains (camp, asile, usine, désert) des tanières où vivre malgré tout.
Critikat.com
par Josué Morel
La méthode bien rodée du documentariste, d’une précision par endroits renversante, accouche à nouveau d’un beau film.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par M. Mt.
Wang Bing consacre, en outre, de splendides passages aux amours adolescentes, à ce qui se joue entre garçons et filles, matière de bagatelle qui marque dans son œuvre une bouffée de légèreté, d’évanescence.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Documentaire virtuose soulignant les routines d’ouvriers inféodés à l’industrie de la couture, le film compose un magnifique travail de mise en scène.
Libération
par Sonya Faure
Wang Bing parvient à nous faire pénétrer le corps collectif des ateliers, cette chorégraphie où chacun connaît son rôle, où chaque ouvrier semble prolonger le geste de l’autre, tout en révélant la personnalité de chacun de ces garçons romantiques, crâneurs ou belliqueux, ces filles bagarreuses et dégourdies.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Parfois aride, ce documentaire de 3h35 se révèle cependant passionnant.
Paris Match
par Yannick Vely
Car le documentaire n’est pas juste l’enregistrement du réel, mais bien souvent une leçon d’écriture cinématographique et de montage.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Samuel Douhaire
La jeunesse des personnages y est évidemment pour beaucoup. Toujours à la bonne distance, aussi proche soit-elle, le réalisateur les observe longuement, pendant leurs jeux, leurs blagues, leurs flirts plus ou moins maladroits, et son empathie est peut-être plus forte encore.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La durée et la temporalité du film (tourné sur cinq années), entraînent une répétitivité certaine. Si elle va dans le sens de la dénonciation de l'aliénation à la tâche (comme dans "Les Temps modernes" de Chaplin de 1936), on peut trouver le temps long.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par X. L.
En montrant l’exploitation de l’être humain dans de putrides ateliers de confection, Wang Bing tisse un film fleuve porté par une approche toujours aussi passionnante. Seul bémol à cette fresque politique, une première heure un peu répétitive, qui aurait mérité d’être resserrée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Très long. Mais très édifiant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Première
par Thierry Chèze
Mais la belle idée du film est de faire dialoguer cet esclavagisme des temps modernes avec l’énergie, la joie de survivre et les histoires d’amour de ces jeunes à peine sortis de l’adolescence. En bousculant l’aspect dickensien de l’œuvre, ce contraste rend le film respirable.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si l’austérité et la longueur en rebuteront plus d’un, Jeunesse (Le printemps) demeure une expérience de cinéma inédite au service d’un pays, la Chine, qui à travers ses ateliers de textile, témoigne déjà d’une révolution annoncée des ouvriers surexploités et sans-papier.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Parisien
par Renaud Baronian
Pour illustrer — par l’absurde, aurait-on envie d’écrire — sa critique du travail répétitif à la chaîne, le cinéaste multiplie les scènes de labeur derrière des machines à coudre de manière répétitive (...)... Cela durant trois heures et trente-cinq minutes, dans une ambiance saturée de bruit et de cris : hautement insupportable !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
Un film une fois de plus saisissant, obsédant, sur un pays aussi étrange qu’inquiétant, mais habité par des âmes qui dégagent une énergie étonnante. On attend avec impatience la suite de la trilogie.
Transfuge
Un magnifique documentaire autour d'ateliers textiles d'une cité-dortoir chinoise et d'une jeunesse belle et misérable.
Cahiers du Cinéma
Si Wang est devenu un cinéaste essentiel, c’est en maintenant une approche étrangère à l’emphase et à la bouffissure. Art termite, tel que le critique Manny Farber l’avait opposé à celui des éléphants blancs : n’érigeant ni cathédrale, ni tombeau, Wang Bing creuse dans des espaces inhumains (camp, asile, usine, désert) des tanières où vivre malgré tout.
Critikat.com
La méthode bien rodée du documentariste, d’une précision par endroits renversante, accouche à nouveau d’un beau film.
Le Monde
Wang Bing consacre, en outre, de splendides passages aux amours adolescentes, à ce qui se joue entre garçons et filles, matière de bagatelle qui marque dans son œuvre une bouffée de légèreté, d’évanescence.
Les Fiches du Cinéma
Documentaire virtuose soulignant les routines d’ouvriers inféodés à l’industrie de la couture, le film compose un magnifique travail de mise en scène.
Libération
Wang Bing parvient à nous faire pénétrer le corps collectif des ateliers, cette chorégraphie où chacun connaît son rôle, où chaque ouvrier semble prolonger le geste de l’autre, tout en révélant la personnalité de chacun de ces garçons romantiques, crâneurs ou belliqueux, ces filles bagarreuses et dégourdies.
Ouest France
Parfois aride, ce documentaire de 3h35 se révèle cependant passionnant.
Paris Match
Car le documentaire n’est pas juste l’enregistrement du réel, mais bien souvent une leçon d’écriture cinématographique et de montage.
Télérama
La jeunesse des personnages y est évidemment pour beaucoup. Toujours à la bonne distance, aussi proche soit-elle, le réalisateur les observe longuement, pendant leurs jeux, leurs blagues, leurs flirts plus ou moins maladroits, et son empathie est peut-être plus forte encore.
Franceinfo Culture
La durée et la temporalité du film (tourné sur cinq années), entraînent une répétitivité certaine. Si elle va dans le sens de la dénonciation de l'aliénation à la tâche (comme dans "Les Temps modernes" de Chaplin de 1936), on peut trouver le temps long.
L'Obs
En montrant l’exploitation de l’être humain dans de putrides ateliers de confection, Wang Bing tisse un film fleuve porté par une approche toujours aussi passionnante. Seul bémol à cette fresque politique, une première heure un peu répétitive, qui aurait mérité d’être resserrée.
La Voix du Nord
Très long. Mais très édifiant.
Première
Mais la belle idée du film est de faire dialoguer cet esclavagisme des temps modernes avec l’énergie, la joie de survivre et les histoires d’amour de ces jeunes à peine sortis de l’adolescence. En bousculant l’aspect dickensien de l’œuvre, ce contraste rend le film respirable.
aVoir-aLire.com
Si l’austérité et la longueur en rebuteront plus d’un, Jeunesse (Le printemps) demeure une expérience de cinéma inédite au service d’un pays, la Chine, qui à travers ses ateliers de textile, témoigne déjà d’une révolution annoncée des ouvriers surexploités et sans-papier.
Le Parisien
Pour illustrer — par l’absurde, aurait-on envie d’écrire — sa critique du travail répétitif à la chaîne, le cinéaste multiplie les scènes de labeur derrière des machines à coudre de manière répétitive (...)... Cela durant trois heures et trente-cinq minutes, dans une ambiance saturée de bruit et de cris : hautement insupportable !