Si seulement je pouvais hiberner : Critique presse
Si seulement je pouvais hiberner
Note moyenne
3,6
16 titres de presse
Ouest France
Femme Actuelle
Franceinfo Culture
L'Humanité
Le Figaro
Le Parisien
Paris Match
Télérama
aVoir-aLire.com
L'Obs
La Croix
Les Fiches du Cinéma
Libération
Première
Télé 2 semaines
Le Monde
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Ouest France
par Pascale Vergereau
Aussi touchant qu'édifiant.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Élégant, juste et dépaysant.
Franceinfo Culture
par Mohamed Berkani
C’est un grand film, de la veine du "Voleur de bicyclette" de Vittorio De Sica. C’est un film social, politique, excellemment servi par une esthétique raffinée.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Un très beau premier long métrage.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Un portrait cru et vibrant de la Mongolie actuelle.
Le Parisien
par Catherine Balle
« Si seulement je pouvais hiberner » vaut le détour. D’abord, parce qu’on y découvre les plaines de la Mongolie mais aussi les tours plus méconnues d’Oulan-Bator. Ensuite, parce qu’on s’attache à ce gamin débrouillard qui rêve d’échapper à son destin. Enfin, parce que le film évite le misérabilisme et que le suspense de son intrigue nous happe.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Yannick Vely
Premier film mongol en sélection officielle au Festival de Cannes, "Si seulement je pouvais hiberner" acte la naissance d’une jeune cinéaste, Zoljargal Purevdash, aux courts déjà remarqués.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Frédéric Strauss
Un film chaleureux et passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Garreau
Ce film subtil laisse au spectateur une émotion authentique et une certaine idée de la société mongolienne d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par X. L.
Sur un scénario posément écrit, sans grandes audaces mais avec une indéniable maîtrise, la réalisatrice, qui fait ici ses débuts, déploie une mise en scène trop standardisée pour pleinement convaincre. Cette fiction très « cinéma du monde » présentée cette année à Cannes (Un certain regard), et non dénuée de talent, manque encore d’une personnalité affirmée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Original et savamment mené, le premier long métrage de la réalisatrice Zoljargal Purevdash raconte le quotidien d’un adolescent pauvre d’Oulan-Bator tiraillé entre son désir de réussite et la nécessité de faire vivre sa fratrie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Zoljargal Purevdash livre un premier film peu original mais touchant sur la sortie de l’enfance et les dilemmes intérieurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
Le film est loin d’être parfait mais tout y est assez rarement vu, capté, pour qu’on fouille chaque détail de plan. La performance du jeune Battsooj Uurtsaikh dans le rôle d’Ulzii, gamin muré dans l’impératif de tenir le coup, apporte une nervosité à un récit qui se traîne un peu, comme engourdi par le grand froid qui l’enserre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Damien Leblanc
Dans cet environnement pauvre et pollué où l’on brûle du charbon pour résister à un hiver qui atteint parfois les -35°, le jeune et brillant héros se débat pour un avenir meilleur et la précision de la mise en scène, qui nous connecte à l’énergie indéfectible de ce garçon bouleversant d’abnégation, serre le coeur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par S.O.
La réalisatrice de cet attachant premier film aurait pu s'enfermer dans la noirceur. Elle fait au contraire le choix de la vitalité et de la tendresse.
Le Monde
par Ma. Mt.
Ce personnage de « bon élève », type même du héros performant, a pour fonction dramatique de rendre la misère des personnages plus présentable, de fondre un sujet complexe dans un horizon feel-good. En cela seulement, le film coïncide avec son protagoniste : habile, calculateur, il se comporte lui-même comme une bête à concours, taillé entièrement pour s’attirer l’attention des festivals internationaux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
Aussi touchant qu'édifiant.
Femme Actuelle
Élégant, juste et dépaysant.
Franceinfo Culture
C’est un grand film, de la veine du "Voleur de bicyclette" de Vittorio De Sica. C’est un film social, politique, excellemment servi par une esthétique raffinée.
L'Humanité
Un très beau premier long métrage.
Le Figaro
Un portrait cru et vibrant de la Mongolie actuelle.
Le Parisien
« Si seulement je pouvais hiberner » vaut le détour. D’abord, parce qu’on y découvre les plaines de la Mongolie mais aussi les tours plus méconnues d’Oulan-Bator. Ensuite, parce qu’on s’attache à ce gamin débrouillard qui rêve d’échapper à son destin. Enfin, parce que le film évite le misérabilisme et que le suspense de son intrigue nous happe.
Paris Match
Premier film mongol en sélection officielle au Festival de Cannes, "Si seulement je pouvais hiberner" acte la naissance d’une jeune cinéaste, Zoljargal Purevdash, aux courts déjà remarqués.
Télérama
Un film chaleureux et passionnant.
aVoir-aLire.com
Ce film subtil laisse au spectateur une émotion authentique et une certaine idée de la société mongolienne d’aujourd’hui.
L'Obs
Sur un scénario posément écrit, sans grandes audaces mais avec une indéniable maîtrise, la réalisatrice, qui fait ici ses débuts, déploie une mise en scène trop standardisée pour pleinement convaincre. Cette fiction très « cinéma du monde » présentée cette année à Cannes (Un certain regard), et non dénuée de talent, manque encore d’une personnalité affirmée.
La Croix
Original et savamment mené, le premier long métrage de la réalisatrice Zoljargal Purevdash raconte le quotidien d’un adolescent pauvre d’Oulan-Bator tiraillé entre son désir de réussite et la nécessité de faire vivre sa fratrie.
Les Fiches du Cinéma
Zoljargal Purevdash livre un premier film peu original mais touchant sur la sortie de l’enfance et les dilemmes intérieurs.
Libération
Le film est loin d’être parfait mais tout y est assez rarement vu, capté, pour qu’on fouille chaque détail de plan. La performance du jeune Battsooj Uurtsaikh dans le rôle d’Ulzii, gamin muré dans l’impératif de tenir le coup, apporte une nervosité à un récit qui se traîne un peu, comme engourdi par le grand froid qui l’enserre.
Première
Dans cet environnement pauvre et pollué où l’on brûle du charbon pour résister à un hiver qui atteint parfois les -35°, le jeune et brillant héros se débat pour un avenir meilleur et la précision de la mise en scène, qui nous connecte à l’énergie indéfectible de ce garçon bouleversant d’abnégation, serre le coeur.
Télé 2 semaines
La réalisatrice de cet attachant premier film aurait pu s'enfermer dans la noirceur. Elle fait au contraire le choix de la vitalité et de la tendresse.
Le Monde
Ce personnage de « bon élève », type même du héros performant, a pour fonction dramatique de rendre la misère des personnages plus présentable, de fondre un sujet complexe dans un horizon feel-good. En cela seulement, le film coïncide avec son protagoniste : habile, calculateur, il se comporte lui-même comme une bête à concours, taillé entièrement pour s’attirer l’attention des festivals internationaux.