Note moyenne
3,2
12 titres de presse
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L'Obs
Coup de cœur pour ce très beau récit sur la renaissance, filmé presque en sourdine, sans un mot de trop.
Le Parisien
Un film éblouissant, remarquablement dirigé et mis en images, qui offre un regard inédit sur une Chine provinciale moderne méconnue.
Les Fiches du Cinéma
Anthony Chen réussit un film beau et sensible sur la guérison et la quête de soi, et fait briller chacun de ses interprètes.
aVoir-aLire.com
Un hiver à Yanji est un récit initiatique d’une très grande beauté où les personnages convoquent le spectateur à donner un sens à son existence et à savoir faire les choix qui s’imposent.
CinemaTeaser
Anthony Chen se montre inclassable et sa poésie, universelle.
Le Figaro
Un Jules et Jim mélancolique et plein de grâce.
Le Journal du Dimanche
En dépit d’un regard à distance qui prive d’empathie pour les personnages, on est envoûté par la mise en scène et la photographie.
Le Monde
Alors la glace fond, donnant lieu à quelques scènes presque fantastiques, comme si le bonheur ne pouvait se vivre qu’en rêve. Un parti pris intéressant, installant une mélancolie à basse tension.
Première
Il y a quelque chose d’insaisissable dans le trio qui se forme sous nos yeux, et de renforcé par la sensorialité du film (sa plus grande qualité). Croquer un glaçon, le bruit des pas dans la neige, les scènes en boîte de nuit… tous ces éléments donnent de la consistance au doute existentiel que traversent ces jeunes au sortir du covid. Peut-être trop, car à force de jouer sur le registre de la perplexité, c’est bien ce sentiment qui peut finir par envahir le spectateur à son tour.
Télé Loisirs
Ce film doux et parfois cruel [...] pèche par excès de contemplation mais reste d'une grande beauté esthétique.
Libération
De virées à moto en nuits alcoolisées en boîte, avec petit vol de livre réglementaire façon film indé américain des nineties, le film aligne quantité d’épiphanies auxquelles les spectateurs n’ont pas vraiment accès, les péripéties cool des personnages étant comme vitrifiées par leur grain modeux et l’aphasie généralisée.
Télérama
Malgré le charme des acteurs et la neurasthénie affichée de leur personnage, rien n’accroche vraiment, le film ayant tendance à confondre sensibilité et sensiblerie. Anthony Chen, réalisateur singapourien, avait été nettement plus convaincant avec Wet Season, l’un de ses films précédents.