Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
Kleber Mendonça Filho signe un long-métrage à la facture apparemment simple, mais à la richesse enthousiasmante, qui vient éclairer l’automne meurtri, avec sa résistance douce mais nécessaire, par la transmission des images et des sons.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
À la fois profondément intime et résolument ouvert sur le monde qui l’entoure, Portraits Fantômes, dépasse sa dimension de témoignage d’une époque révolue ou d’exercice nostalgique. Il se refuse à toute forme d’idéalisme pour tendre à l’impartialité, derrière sa nature par essence subjective, qu’il n’a de cesse de confronter au réel.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Samuel Gleyze-Esteban
En cela, Portraits fantômes décrit, modestement, un avenir possible du cinéma. Si les salles où Kleber Mendoça Filho a éduqué sa cinéphilie n’existent plus, il faut redevenir alerte, et penser le film hors des cadres d’avant. Adossé aux images des salles désaffectées, ce futur de l’art prend ici prend une forme impécunieuse, celle d’un cinéma-collage composite.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par N. S.
Les histoires intimes se superposent à celles du pays, les images d’archive s’entremêlent aux personnelles, un projectionniste disparu revit dans ce film palimpseste à cheval sur les époques, d’où ses accents surnaturels : rien n’égale le cinéma ou un lieu chargé de mémoire pour relier les vivants et les morts.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Kleber Mendonça Filho en réactive la mémoire souterraine, grâce aux images qu’il n’a cessé de tourner, démontrant ainsi la puissance du cinéma comme moyen de résistance contre l’oubli.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Lucas Charrier
"Portraits fantômes" fait partie de ces films qu’on considérera à tort comme moniteurs quand il dit des choses si importantes.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Cl. F.
Ces deux fictions foisonnant de signes trouvent de nouvelles ramifications dans Portraits fantômes, documentaire virtuose dans lequel le cinéaste, né en 1968, revisite ses premiers films, en confirme la part autobiographique tout en les reliant à une histoire plus ample du Recife de son enfance et de sa jeunesse − la destruction des vieux habitats, l’abandon de la population au marché…
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
En faisant le portrait de sa ville, Recife, le réalisateur d’Aquarius signe une épopée universelle sur la fin possible du cinéma. Du montage au cordeau d’images d’archives et de ses propres tournages, surgit de manière imprévue une émotion intense et partagée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Jusque dans sa conclusion surnaturelle, “Portraits fantômes” est un perpétuel étonnement. Celui d’un sociologue à la caméra, qui exprime combien la forme d’une ville change plus vite, hélas, que le cœur des humain·es.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Le Brésilien Kleber Mendonça Filho parcourt Recife, où il vit, et ses salles de cinéma, dans une promenade urbaine tendre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Un autoportrait sensible, poétique et émouvant.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Kleber Mendonça Filho signe avec "Portraits fantômes" un film mélancolique autour de la création. Une petite merveille.
Télérama
par Laurent Rigoulet
Le coréalisateur de Bacurau se défend d’être nostalgique d’un âge béni, mais son film visite avec passion des salles où l’on écrit sur des vitraux : « le cinéma est un lieu de bienveillance ».
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Élie Raufaste
Avec cet essai documentaire composé en grande partie d’archives personnelles, le cinéaste troque la géographie pour l’archéologie, et glisse de l’intime […] au collectif [...].
Première
par Estelle Aubin
Et on retrouve presque quelque chose de rohmérien dans cette navigation hasardeuse à travers la cité colorée qui nous montre que l’identité est géographique, ou “géo-sociale”.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Anaëlle Paccard
Le portrait poétique d’une ville en même temps qu’un autoportrait en creux, qui nous en dit autant sur Recife, que sur le rapport de Kleber Mendonça Filho à son médium.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Élias Campos
Kleber Mendonça Filho se présente comme le garant d’une mémoire idéalisée, au risque de recréer une version figée et fantasmée de la ville de son enfance.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Bande à part
Kleber Mendonça Filho signe un long-métrage à la facture apparemment simple, mais à la richesse enthousiasmante, qui vient éclairer l’automne meurtri, avec sa résistance douce mais nécessaire, par la transmission des images et des sons.
Culturopoing.com
À la fois profondément intime et résolument ouvert sur le monde qui l’entoure, Portraits Fantômes, dépasse sa dimension de témoignage d’une époque révolue ou d’exercice nostalgique. Il se refuse à toute forme d’idéalisme pour tendre à l’impartialité, derrière sa nature par essence subjective, qu’il n’a de cesse de confronter au réel.
L'Humanité
En cela, Portraits fantômes décrit, modestement, un avenir possible du cinéma. Si les salles où Kleber Mendoça Filho a éduqué sa cinéphilie n’existent plus, il faut redevenir alerte, et penser le film hors des cadres d’avant. Adossé aux images des salles désaffectées, ce futur de l’art prend ici prend une forme impécunieuse, celle d’un cinéma-collage composite.
L'Obs
Les histoires intimes se superposent à celles du pays, les images d’archive s’entremêlent aux personnelles, un projectionniste disparu revit dans ce film palimpseste à cheval sur les époques, d’où ses accents surnaturels : rien n’égale le cinéma ou un lieu chargé de mémoire pour relier les vivants et les morts.
La Croix
Kleber Mendonça Filho en réactive la mémoire souterraine, grâce aux images qu’il n’a cessé de tourner, démontrant ainsi la puissance du cinéma comme moyen de résistance contre l’oubli.
La Septième Obsession
"Portraits fantômes" fait partie de ces films qu’on considérera à tort comme moniteurs quand il dit des choses si importantes.
Le Journal du Dimanche
Fascinant.
Le Monde
Ces deux fictions foisonnant de signes trouvent de nouvelles ramifications dans Portraits fantômes, documentaire virtuose dans lequel le cinéaste, né en 1968, revisite ses premiers films, en confirme la part autobiographique tout en les reliant à une histoire plus ample du Recife de son enfance et de sa jeunesse − la destruction des vieux habitats, l’abandon de la population au marché…
Les Fiches du Cinéma
En faisant le portrait de sa ville, Recife, le réalisateur d’Aquarius signe une épopée universelle sur la fin possible du cinéma. Du montage au cordeau d’images d’archives et de ses propres tournages, surgit de manière imprévue une émotion intense et partagée.
Les Inrockuptibles
Jusque dans sa conclusion surnaturelle, “Portraits fantômes” est un perpétuel étonnement. Celui d’un sociologue à la caméra, qui exprime combien la forme d’une ville change plus vite, hélas, que le cœur des humain·es.
Libération
Le Brésilien Kleber Mendonça Filho parcourt Recife, où il vit, et ses salles de cinéma, dans une promenade urbaine tendre.
Ouest France
Un autoportrait sensible, poétique et émouvant.
Transfuge
Kleber Mendonça Filho signe avec "Portraits fantômes" un film mélancolique autour de la création. Une petite merveille.
Télérama
Le coréalisateur de Bacurau se défend d’être nostalgique d’un âge béni, mais son film visite avec passion des salles où l’on écrit sur des vitraux : « le cinéma est un lieu de bienveillance ».
Cahiers du Cinéma
Avec cet essai documentaire composé en grande partie d’archives personnelles, le cinéaste troque la géographie pour l’archéologie, et glisse de l’intime […] au collectif [...].
Première
Et on retrouve presque quelque chose de rohmérien dans cette navigation hasardeuse à travers la cité colorée qui nous montre que l’identité est géographique, ou “géo-sociale”.
aVoir-aLire.com
Le portrait poétique d’une ville en même temps qu’un autoportrait en creux, qui nous en dit autant sur Recife, que sur le rapport de Kleber Mendonça Filho à son médium.
Critikat.com
Kleber Mendonça Filho se présente comme le garant d’une mémoire idéalisée, au risque de recréer une version figée et fantasmée de la ville de son enfance.