Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Elle
par La Rédaction
Un récit intime et sensible.
L'Humanité
par Pierre Barbancey
Une histoire forte.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Ce jeu d’ombres entre deux femmes est fascinant, et saisi avec une grande maîtrise. Mohamed Kordofani a été, pendant seize ans, ingénieur aéronautique. Il était, en fait, cinéaste. La preuve éclatante en est faite.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Laurent Larcher
Magnifiquement interprété, ce drame intime est une ode à l’amitié féminine et à l’émancipation possible.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par La Rédaction
Avec le suspense d’un thriller, « Goodbye Julia » raconte l’histoire bouleversante d’un mensonge sur fond de racisme et d’oppression des femmes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Sandra Onana
Signé d’une main sûre, le film affronte cette violence sans trembler, avant de se replier dans des compositions tamisées, étui feutré de l’espace domestique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Une forme délicate pour inverser la fatalité du racisme endémique, du patriarcat religieux et de la pauvreté, à travers l'interprétation sensible de deux magnifiques comédiennes, Siran Riak et Eiman Yousif.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par Thierry Cheze
Un mélo déchirant.
Télérama
par Guillemette Odicino
Une magnifique tragédie, subtile et saisissante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Film historique, film initiatique et film d’émancipation, Goodbye Julia est une merveille absolue.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Élie Raufaste
Cette image d’un cinéma isolé dans sa bulle s’avère pourtant raccord avec le regard des privilégiés, que le film épouse pour mieux en sonder les failles.
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Même si le film, un peu long, appuie fort sur les symboles et s’esthétise parfois à l’excès, façon Bollywood, artifices qui nous éloignent de Mona et Julia, impeccablement incarnées par Eiman Yousi et Siran Riak.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Etienne Sorin
Goodbye Julia n'est pas vain pour autant. Il déterre les racines du mal et tente de panser les plaies.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Pour son premier long métrage, Mohamed Kordofani livre un récit poignant sur la culpabilité, en mêlant l’intime et le politique.
Première
par Yohan Haddad
En assumant à fond les stéréotypes de la confrontation (nord et sud, pauvre et riche, islam et catholicisme), le film dessine un portrait de femmes déchirant qui emprunte aussi bien au cinéma de Douglas Sirk qu’à celui de Souleymane Cissé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par M. Dl.
Alors que la situation reste très tendue – la guerre entre l’armée et les paramilitaires des FSR a fait près de 10 000 morts depuis avril –, il faut saluer l’effort de Kordofani d’œuvrer dans un pays qui n’a pas d’industrie cinématographique. Mais ce récit de rédemption reste trop prévisible pour nous tenir en haleine deux heures durant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Elle
Un récit intime et sensible.
L'Humanité
Une histoire forte.
L'Obs
Ce jeu d’ombres entre deux femmes est fascinant, et saisi avec une grande maîtrise. Mohamed Kordofani a été, pendant seize ans, ingénieur aéronautique. Il était, en fait, cinéaste. La preuve éclatante en est faite.
La Croix
Magnifiquement interprété, ce drame intime est une ode à l’amitié féminine et à l’émancipation possible.
Le Parisien
Avec le suspense d’un thriller, « Goodbye Julia » raconte l’histoire bouleversante d’un mensonge sur fond de racisme et d’oppression des femmes.
Libération
Signé d’une main sûre, le film affronte cette violence sans trembler, avant de se replier dans des compositions tamisées, étui feutré de l’espace domestique.
Marie Claire
Une forme délicate pour inverser la fatalité du racisme endémique, du patriarcat religieux et de la pauvreté, à travers l'interprétation sensible de deux magnifiques comédiennes, Siran Riak et Eiman Yousif.
Ouest France
Un mélo déchirant.
Télérama
Une magnifique tragédie, subtile et saisissante.
aVoir-aLire.com
Film historique, film initiatique et film d’émancipation, Goodbye Julia est une merveille absolue.
Cahiers du Cinéma
Cette image d’un cinéma isolé dans sa bulle s’avère pourtant raccord avec le regard des privilégiés, que le film épouse pour mieux en sonder les failles.
La Voix du Nord
Même si le film, un peu long, appuie fort sur les symboles et s’esthétise parfois à l’excès, façon Bollywood, artifices qui nous éloignent de Mona et Julia, impeccablement incarnées par Eiman Yousi et Siran Riak.
Le Figaro
Goodbye Julia n'est pas vain pour autant. Il déterre les racines du mal et tente de panser les plaies.
Les Fiches du Cinéma
Pour son premier long métrage, Mohamed Kordofani livre un récit poignant sur la culpabilité, en mêlant l’intime et le politique.
Première
En assumant à fond les stéréotypes de la confrontation (nord et sud, pauvre et riche, islam et catholicisme), le film dessine un portrait de femmes déchirant qui emprunte aussi bien au cinéma de Douglas Sirk qu’à celui de Souleymane Cissé.
Le Monde
Alors que la situation reste très tendue – la guerre entre l’armée et les paramilitaires des FSR a fait près de 10 000 morts depuis avril –, il faut saluer l’effort de Kordofani d’œuvrer dans un pays qui n’a pas d’industrie cinématographique. Mais ce récit de rédemption reste trop prévisible pour nous tenir en haleine deux heures durant.