Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le polar atypique de Wei Shujun séduit par son utilisation de la pellicule 16 mm au grain rugueux et ses jeux de lumière en clair-obscur.
Franceinfo Culture
par Mohamed Berkani
Only the river flows se défait du code du polar pour explorer d’autres voies. Avec bonheur.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Si l’intrigue reste parfois nébuleuse, s’égarant dans son labyrinthe narratif, c’est dans son ambiguïté que réside la force du film.
Le Point
par La Rédaction
Tourné en pellicule, le film est particulièrement beau esthétiquement, avec une vraie atmosphère de polar (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Film policier très noir, qui lorgne du coté de Diao Yi’nan et de son Black Coal (2014), Only the Rivers Flows montre des qualités oniriques et plastiques qui en font une proposition glaciale et virtuose, qui joue avec les sens du spectateur.
Les Inrockuptibles
par Maud Tenda
Wei Shujun magnifie avec une certaine fascination les méthodes artisanales de la petite police locale, qui utilise un rétroprojecteur, fait développer ses photos […]. Only the River Flows rend hommage de multiples façons à cette matière filmique qui, bien qu’en vogue, trouve ici tout son sens en capturant la texture de cette époque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par S.R.
Only the Rivers Flow parvient à installer son atmosphère propre, à mi-chemin entre la nostalgie d'une époque révolue et le rêve éveillé, ambiance parfaitement soutenue par l'utilisation du 16 mm et les itérations de la Sonate au clair de lune.
Ouest France
par Thomas Baurez
Un thriller noir comme l'enfer.
Paris Match
par Yannick Vely
Polar ténébreux Made in China, « Only the River Flows » pourrait bien être le succès surprise de cet été.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Frédéric Strauss
Réel et poésie se mélangent dans ce film fantasque et fantomatique, signé par le jeune réalisateur Wei Shujun.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Plus qu’un récit policier sur une série de meurtres au bord d’une rivière, Only the River Flows est une traversée dans la psychologie tourmentée d’un flic, confronté à la misère humaine et au dysfonctionnement des institutions publiques. Un film fascinant et mystérieux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Noëlle Gires
Dans Only the River flows, tout en effet se brouille, à l’image d’une société pleine de contradictions où l’individu et le collectif, le passé en décrépitude et l’avenir incertain, la volonté de comprendre et l’impossibilité de maîtriser le destin ne cessent de se heurter pour créer un vertige grandissant. Une cape, une moustache, une veste, un ordre du mérite jamais retrouvé, un puzzle miraculeusement terminé, suffisent à troubler notre compréhension de la temporalité et de la réalité.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Sont-ce les cauchemars du flic ou sa paranoïa qui s’invitent dans le récit faussement calme, comme le courant du fleuve ? A la fin, un mystère demeure et, avec lui, l’impression d’une contrée gouvernée par des intérêts obscurs qui écrasent l’individu. Ce n’est pas rien.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
La beauté sombre et délétère d’Only The River Flows réside dans ses personnages et leurs ambivalences.
Le Journal du Dimanche
par S.B.
On est captivé par un récit qui restitue le manque de moyens humains, financiers et scientifiques de l'époque, surtout en zone rurale.
Le Monde
par J.-F. R.
Troisième long-métrage de Wei Shujun, adaptation d’une nouvelle de Yu Hua, Only the River Flows est un film de pluie, de nuit, de solitude et d’angoisse. Une sensation sans doute accrue par le choix du réalisateur de tourner en pellicule et non pas en numérique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Ambiance hyperpoisseuse, noirceur qui va grandissante, enquête qui se complexifie de plus en plus : tous les ingrédients du polar chinois moderne sont réunis dans ce film qui fait un pari formellement réussi mais un peu facile en installant ses héros dans un cinéma abandonné, histoire de se mettre les cinéphiles dans la poche.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par William Le Personnic
Le film se délite néanmoins en même temps que la psyché du policier, s'emmêlant à la fois dans l'investigation, l'inextricabilité des songes et dans une narration à l'anfractuosité incommodante.
Première
par T.B.
Servi par une mise en scène solide, Only the river flows porte en lui une tension fiévreuse qui ne faiblit pas
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
La conscience du film s’incarne alors dans un personnage d’idiot qui associe de façon aberrante des morceaux incohérents.
Critikat.com
par Thomas Grignon
Faisant preuve d’un excès de sérieux permanent (rythme languide, non-dits qui en disent long), le film finit par tirer de ses aspirations métaphysiques sur l’inévitable contamination du mal un exercice de style pompeux et assez vain.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Pas un pet à côté, rien à redire, 20 /20, admis en classe supérieure avec les félicitations du jury. Manque juste l’électricité qui pourrait faire tourner tout ça, en fasse gronder le cœur, donne l’impression qu’il y a un regard derrière la caméra et un monde qui lui appartient et dont on ignorait tout devant. L’essentiel, en somme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé 2 semaines
par M.L.
Le grain est beau, la musique chaleureuse, mais sa langueur peut toutefois irriter car de l'écriture et de la mise en scène on voit toutes les coutures et la fabrication.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le polar atypique de Wei Shujun séduit par son utilisation de la pellicule 16 mm au grain rugueux et ses jeux de lumière en clair-obscur.
Franceinfo Culture
Only the river flows se défait du code du polar pour explorer d’autres voies. Avec bonheur.
Le Dauphiné Libéré
Si l’intrigue reste parfois nébuleuse, s’égarant dans son labyrinthe narratif, c’est dans son ambiguïté que réside la force du film.
Le Point
Tourné en pellicule, le film est particulièrement beau esthétiquement, avec une vraie atmosphère de polar (...).
Les Fiches du Cinéma
Film policier très noir, qui lorgne du coté de Diao Yi’nan et de son Black Coal (2014), Only the Rivers Flows montre des qualités oniriques et plastiques qui en font une proposition glaciale et virtuose, qui joue avec les sens du spectateur.
Les Inrockuptibles
Wei Shujun magnifie avec une certaine fascination les méthodes artisanales de la petite police locale, qui utilise un rétroprojecteur, fait développer ses photos […]. Only the River Flows rend hommage de multiples façons à cette matière filmique qui, bien qu’en vogue, trouve ici tout son sens en capturant la texture de cette époque.
Mad Movies
Only the Rivers Flow parvient à installer son atmosphère propre, à mi-chemin entre la nostalgie d'une époque révolue et le rêve éveillé, ambiance parfaitement soutenue par l'utilisation du 16 mm et les itérations de la Sonate au clair de lune.
Ouest France
Un thriller noir comme l'enfer.
Paris Match
Polar ténébreux Made in China, « Only the River Flows » pourrait bien être le succès surprise de cet été.
Télérama
Réel et poésie se mélangent dans ce film fantasque et fantomatique, signé par le jeune réalisateur Wei Shujun.
aVoir-aLire.com
Plus qu’un récit policier sur une série de meurtres au bord d’une rivière, Only the River Flows est une traversée dans la psychologie tourmentée d’un flic, confronté à la misère humaine et au dysfonctionnement des institutions publiques. Un film fascinant et mystérieux.
Culturopoing.com
Dans Only the River flows, tout en effet se brouille, à l’image d’une société pleine de contradictions où l’individu et le collectif, le passé en décrépitude et l’avenir incertain, la volonté de comprendre et l’impossibilité de maîtriser le destin ne cessent de se heurter pour créer un vertige grandissant. Une cape, une moustache, une veste, un ordre du mérite jamais retrouvé, un puzzle miraculeusement terminé, suffisent à troubler notre compréhension de la temporalité et de la réalité.
L'Obs
Sont-ce les cauchemars du flic ou sa paranoïa qui s’invitent dans le récit faussement calme, comme le courant du fleuve ? A la fin, un mystère demeure et, avec lui, l’impression d’une contrée gouvernée par des intérêts obscurs qui écrasent l’individu. Ce n’est pas rien.
La Septième Obsession
La beauté sombre et délétère d’Only The River Flows réside dans ses personnages et leurs ambivalences.
Le Journal du Dimanche
On est captivé par un récit qui restitue le manque de moyens humains, financiers et scientifiques de l'époque, surtout en zone rurale.
Le Monde
Troisième long-métrage de Wei Shujun, adaptation d’une nouvelle de Yu Hua, Only the River Flows est un film de pluie, de nuit, de solitude et d’angoisse. Une sensation sans doute accrue par le choix du réalisateur de tourner en pellicule et non pas en numérique.
Le Parisien
Ambiance hyperpoisseuse, noirceur qui va grandissante, enquête qui se complexifie de plus en plus : tous les ingrédients du polar chinois moderne sont réunis dans ce film qui fait un pari formellement réussi mais un peu facile en installant ses héros dans un cinéma abandonné, histoire de se mettre les cinéphiles dans la poche.
Positif
Le film se délite néanmoins en même temps que la psyché du policier, s'emmêlant à la fois dans l'investigation, l'inextricabilité des songes et dans une narration à l'anfractuosité incommodante.
Première
Servi par une mise en scène solide, Only the river flows porte en lui une tension fiévreuse qui ne faiblit pas
Cahiers du Cinéma
La conscience du film s’incarne alors dans un personnage d’idiot qui associe de façon aberrante des morceaux incohérents.
Critikat.com
Faisant preuve d’un excès de sérieux permanent (rythme languide, non-dits qui en disent long), le film finit par tirer de ses aspirations métaphysiques sur l’inévitable contamination du mal un exercice de style pompeux et assez vain.
Libération
Pas un pet à côté, rien à redire, 20 /20, admis en classe supérieure avec les félicitations du jury. Manque juste l’électricité qui pourrait faire tourner tout ça, en fasse gronder le cœur, donne l’impression qu’il y a un regard derrière la caméra et un monde qui lui appartient et dont on ignorait tout devant. L’essentiel, en somme.
Télé 2 semaines
Le grain est beau, la musique chaleureuse, mais sa langueur peut toutefois irriter car de l'écriture et de la mise en scène on voit toutes les coutures et la fabrication.