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    Only the River Flows
    Note moyenne
    3,3
    23 titres de presse
    • Dernières Nouvelles d'Alsace
    • Franceinfo Culture
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Point
    • Les Fiches du Cinéma
    • Les Inrockuptibles
    • Mad Movies
    • Ouest France
    • Paris Match
    • Télérama
    • aVoir-aLire.com
    • Culturopoing.com
    • L'Obs
    • La Septième Obsession
    • Le Journal du Dimanche
    • Le Monde
    • Le Parisien
    • Positif
    • Première
    • Cahiers du Cinéma
    • Critikat.com
    • Libération
    • Télé 2 semaines

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    23 critiques presse

    Dernières Nouvelles d'Alsace

    par Nathalie Chifflet

    Le polar atypique de Wei Shujun séduit par son utilisation de la pellicule 16 mm au grain rugueux et ses jeux de lumière en clair-obscur.

    Franceinfo Culture

    par Mohamed Berkani

    Only the river flows se défait du code du polar pour explorer d’autres voies. Avec bonheur.

    La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

    Le Dauphiné Libéré

    par Nathalie Chifflet

    Si l’intrigue reste parfois nébuleuse, s’égarant dans son labyrinthe narratif, c’est dans son ambiguïté que réside la force du film.

    Le Point

    par La Rédaction

    Tourné en pellicule, le film est particulièrement beau esthétiquement, avec une vraie atmosphère de polar (...).

    La critique complète est disponible sur le site Le Point

    Les Fiches du Cinéma

    par Florent Boutet

    Film policier très noir, qui lorgne du coté de Diao Yi’nan et de son Black Coal (2014), Only the Rivers Flows montre des qualités oniriques et plastiques qui en font une proposition glaciale et virtuose, qui joue avec les sens du spectateur.

    Les Inrockuptibles

    par Maud Tenda

    Wei Shujun magnifie avec une certaine fascination les méthodes artisanales de la petite police locale, qui utilise un rétroprojecteur, fait développer ses photos […]. Only the River Flows rend hommage de multiples façons à cette matière filmique qui, bien qu’en vogue, trouve ici tout son sens en capturant la texture de cette époque.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Mad Movies

    par S.R.

    Only the Rivers Flow parvient à installer son atmosphère propre, à mi-chemin entre la nostalgie d'une époque révolue et le rêve éveillé, ambiance parfaitement soutenue par l'utilisation du 16 mm et les itérations de la Sonate au clair de lune.

    Ouest France

    par Thomas Baurez

    Un thriller noir comme l'enfer.

    Paris Match

    par Yannick Vely

    Polar ténébreux Made in China, « Only the River Flows » pourrait bien être le succès surprise de cet été.

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Télérama

    par Frédéric Strauss

    Réel et poésie se mélangent dans ce film fantasque et fantomatique, signé par le jeune réalisateur Wei Shujun.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    aVoir-aLire.com

    par Laurent Cambon

    Plus qu’un récit policier sur une série de meurtres au bord d’une rivière, Only the River Flows est une traversée dans la psychologie tourmentée d’un flic, confronté à la misère humaine et au dysfonctionnement des institutions publiques. Un film fascinant et mystérieux.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Culturopoing.com

    par Noëlle Gires

    Dans Only the River flows, tout en effet se brouille, à l’image d’une société pleine de contradictions où l’individu et le collectif, le passé en décrépitude et l’avenir incertain, la volonté de comprendre et l’impossibilité de maîtriser le destin ne cessent de se heurter pour créer un vertige grandissant. Une cape, une moustache, une veste, un ordre du mérite jamais retrouvé, un puzzle miraculeusement terminé, suffisent à troubler notre compréhension de la temporalité et de la réalité.

    La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

    L'Obs

    par Nicolas Schaller

    Sont-ce les cauchemars du flic ou sa paranoïa qui s’invitent dans le récit faussement calme, comme le courant du fleuve ? A la fin, un mystère demeure et, avec lui, l’impression d’une contrée gouvernée par des intérêts obscurs qui écrasent l’individu. Ce n’est pas rien.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    La Septième Obsession

    par Xavier Leherpeur

    La beauté sombre et délétère d’Only The River Flows réside dans ses personnages et leurs ambivalences.

    Le Journal du Dimanche

    par S.B.

    On est captivé par un récit qui restitue le manque de moyens humains, financiers et scientifiques de l'époque, surtout en zone rurale.

    Le Monde

    par J.-F. R.

    Troisième long-métrage de Wei Shujun, adaptation d’une nouvelle de Yu Hua, Only the River Flows est un film de pluie, de nuit, de solitude et d’angoisse. Une sensation sans doute accrue par le choix du réalisateur de tourner en pellicule et non pas en numérique.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Le Parisien

    par Renaud Baronian

    Ambiance hyperpoisseuse, noirceur qui va grandissante, enquête qui se complexifie de plus en plus : tous les ingrédients du polar chinois moderne sont réunis dans ce film qui fait un pari formellement réussi mais un peu facile en installant ses héros dans un cinéma abandonné, histoire de se mettre les cinéphiles dans la poche.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Positif

    par William Le Personnic

    Le film se délite néanmoins en même temps que la psyché du policier, s'emmêlant à la fois dans l'investigation, l'inextricabilité des songes et dans une narration à l'anfractuosité incommodante.

    Première

    par T.B.

    Servi par une mise en scène solide, Only the river flows porte en lui une tension fiévreuse qui ne faiblit pas

    Cahiers du Cinéma

    par Jean-Marie Samocki

    La conscience du film s’incarne alors dans un personnage d’idiot qui associe de façon aberrante des morceaux incohérents.

    Critikat.com

    par Thomas Grignon

    Faisant preuve d’un excès de sérieux permanent (rythme languide, non-dits qui en disent long), le film finit par tirer de ses aspirations métaphysiques sur l’inévitable contamination du mal un exercice de style pompeux et assez vain.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Libération

    par Lelo Jimmy Batista

    Pas un pet à côté, rien à redire, 20 /20, admis en classe supérieure avec les félicitations du jury. Manque juste l’électricité qui pourrait faire tourner tout ça, en fasse gronder le cœur, donne l’impression qu’il y a un regard derrière la caméra et un monde qui lui appartient et dont on ignorait tout devant. L’essentiel, en somme.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Télé 2 semaines

    par M.L.

    Le grain est beau, la musique chaleureuse, mais sa langueur peut toutefois irriter car de l'écriture et de la mise en scène on voit toutes les coutures et la fabrication.

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