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    Juliette au printemps
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    3,5
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    111 critiques spectateurs

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    Cinemadourg
    Cinemadourg

    714 abonnés 1 447 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 juin 2024
    Juliette, célibataire, la trentaine, décide de passer quelques jours chez son père, dans une petite ville de la région de Lyon : c'est l'occasion pour elle de revoir aussi sa soeur, son beau-frère, ses nièces, sa grand-mère, et même sa mère divorcée de son papa depuis un moment.
    Et ça tombe bien : Juliette n'est pas au top de sa forme, se replonger dans son cocon familial peut lui redonner de la force et de l'énergie... ou pas !
    Adaptée de la bande dessinée "Juliette, les fantômes reviennent au printemps" de Camille Jourdy, cette comédie douce-amer nous propose le tableau d'une tribu attachante et pleine de charme, mais également gorgée de secrets bien enfouis.
    Ce divertissement est léger, amusant, touchant, les comédiens sont vraiment très bons !
    Un portrait de famille tendre et poétique, à déguster délicatement !
    Site CINEMADOURG.free.fr
    PLR
    PLR

    427 abonnés 1 507 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 juin 2024
    A lire certaines critiques, je me demande si certains spectateurs n’imaginaient pas aborder ce scénario comme une comédie familiale, sur un ton badin. Une erreur d'appréciation que la bande annonce aura pu favoriser. Le spectateur n’est pas informé tout de go de ce qui ne va pas bien dans la vie de Juliette. Les éléments du puzzle ne lui seront dévoilés que peu à peu. Un drame familial, un traumatisme oublié, enfoui dans le passé, mais qui se manifeste par un mal être. Fort contenu psychanalytique dans le fil conducteur.
    lionelb30
    lionelb30

    409 abonnés 2 525 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 juin 2024
    Impression mitigée a la fin du film. Pas mal d'acteurs connu parfois bien mais c'est parfois un peu surjoué , de petits moments amusant , un peu d’émotion , pas déprimant. Correct mais pas abouti.
    Pierre L.
    Pierre L.

    22 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 juin 2024
    un film tendre et émouvant.mais sans guimauves et c est très bien.la justesse d interprétation de tous est idéale.
    Je ne connaissais pas Izïa H en tant qu actrice et elle M epate !.
    L histoire bien dans notre époque tourne autour d’une femme surbookee qui ne s est jamais penchée sur elle même.En fond d un drame familial,on ne s ennuie ps une seconde.le personnage d Izïa est une demoiselle en déprime que personne dans la famille n a pris le temps de suivre et de comprendre.
    A voir.
    Caro Cinéma
    Caro Cinéma

    18 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 juin 2024
    Un assez bon film façon tranche de vie.
    Un portrait de famille
    où les secrets devront se révéler pour enfin s'apaiser.
    Plus un film sensible, l'action reste simple.
    BillBoo
    BillBoo

    8 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 juin 2024
    Le film tient une vraisemblance troublante dans la justesse et la gêne de ses dialogues, ainsi que dans l'écriture des personnages. La pochette de vie qui nous est dépeinte nous prend à témoins d'un ensemble de scènes laborieuses vécues par une famille désunie, où la communication passive-agressive fait loi. Personne ne s'y retrouve, et pourtant, personne ne fait le nécessaire pour s'extraire de ce bourbier familial. spoiler: C'est seulement lorsque l'adultère est découvert que l’abcès se crève.


    Dans tout cela, Juliette vivote, traverse des phases dépressives, et trouve peu de réconfort à revoir ses proches. Seule sa relation avec Pollux lui redonne du baume au cœur. On a le droit à plusieurs scènes fleurs bleues et à la candeur des dialogues amoureux.
    Mme Petimas
    Mme Petimas

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 juin 2024
    Juliette au printemps, c’est un film qui fait du bien, tant porté par ses réalisatrice et scénariste que par ses acteurs pêchus. C’est soi, c’est la famille, c’est les amours, c'est l’enfance, c’est le présent, le passé et la suite à venir, c'est les animaux… On rit beaucoup, on pleure largement autant, on s’y retrouve forcément un peu et on sort de là, tout enveloppé de tendresse et reboosté pour l’été.
    🙏
    Philippe M.
    Philippe M.

    3 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 juin 2024
    au début on espère voir une sorte d'ovni cinématographique mais à part deux trois gags ça devient vite ennuyeux. 1h36 c'est long finalement. on a perdu la soirée
    Isaly13
    Isaly13

    32 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 juin 2024
    La bande-annonce laissait espérer une comédie douce amère plutôt réussie, malheureusement on s’ennuie ferme devant cette famille dont les problèmes nous indiffèrent totalement. Quant à Izïa Higelin, elle est définitivement beaucoup plus douée comme chanteuse…
    sylvie mazingarbe
    sylvie mazingarbe

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mai 2024
    Vu en film surprise à bourg argental. Film drôle et sensible à la fois. D'excellentes comédiennes et comédiens.on se laisse prendre à l'histoire. D'autant que l'image est soutient superbement la narration. Un film à voir...
    traversay1
    traversay1

    3 246 abonnés 4 676 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 juin 2024
    Blandine Lenoir aime les femmes, des héroïnes parfois fragiles mais indépendantes. A Aurore, entre deux eaux, et à Annie (colère), la militante, succède Juliette (au printemps) qui combat la dépression en se ressourçant dans sa famille, laquelle manque d'équilibre mais pas d'amour. La réalisatrice élargit agréablement son spectre et fait, dans cette adaptation d'un roman graphique, la part belle à plusieurs figures féminines à travers les générations. Le film mise sur la fantaisie et même sur le burlesque, avec des animaux qui viennent, pour un temps, voler la vedette aux humains. C'est certainement une œuvre plus impressionniste que solidement structurée mais c'est justement ce petit chaos et enchevêtrement des situations qui fait toute la saveur de Juliette au printemps, chronique où aucun second rôle n'est sacrifié. A charge des acteurs (Darroussin) mais surtout des actrices de montrer leur talent et il y a de quoi être comblé avec Izïa Higelin, Noémie Lvovsky et Sophie Guillemin, cette dernière épatante dans des scènes osées qui auraient ravi Fernando Botero. Avec une certaine malice et ironie, le film déconstruit les relations familiales, y fait circuler de la vie et des sentiments, sans se prendre trop au sérieux. Rien de révolutionnaire sur la forme et sur le fond mais de jolis moments de cinéma, d'où l'émotion n'est pas absente.
    Yves G.
    Yves G.

    1 350 abonnés 3 355 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juillet 2024
    Trentenaire, dépressive, Juliette (Izïa Higelin), illustratrice de livres pour enfants, retourne se resourcer en famille dans l’Ain. Elle y retrouve ses parents séparés, son père un peu lunaire (Jean-Pierre Darroussin), sa mère fantasque qui se pique de peindre et passe d’amant en amant (Noémie Lvovsky), sa sœur hyperactive (Sophie Guillemin) qui étouffe auprès d’un mari trop planplan (Eric Caravaca), sa grand-mère qui vient d’être placée en EHPAD et dont Juliette se charge de vider la maison (Liliane Rovère).

    La réalisatrice Blandine Lenoir avait déjà signé deux films remarquables : "Aurore" sur la crise existentielle d’une Agnès Jaoui en pleine ménopause, "Annie colère" sur le combat pour la décriminalisation de l’avortement au début des années 70. Son troisième est au moins aussi réussi. Pourtant son pitch tellement banal n’augure rien de bon. Il nous promet, tout au mieux, l’histoire convenue d’un retour au pays natal, d’une escapade en province d’une Parisienne dépressive, dont on sait par avance qu’elle sortira régénérée de ces quelques jours auprès des siens.

    Avec un motif insignifiant, "Juliette au printemps" réussit pourtant le miracle de nous intéresser et de nous émouvoir. Il le doit d’abord à une panoplie d’acteurs qui comptent parmi les tout meilleurs du moment. Chacun dans son registre, Jean-Pierre Darroussin et Noémie Lvovsky font ce qu’ils savent si bien faire : lui incarne le lait de la tendresse humaine, elle la folie douce. Leur interprétation en deviendrait presque lassante si elle n’était pas à chaque fois si précisément juste. Celle qui crève l’écran, c’est Sophie Guillemin. La jeune révélation de "L’Ennui" de Cédric Kahn à la fin des années 90 a pris de longs chemins de traverse. Elle s’est convertie à l’Islam, a porté le voile, avant de revenir, Dieu merci, au cinéma. Depuis quelques années, la quarantaine épanouie, on la revoit enfin. Ici, elle tient un rôle étonnant de mère au foyer control freak et d’amante dionysiaque (on n’oubliera pas de sitôt ses galipettes dénudées avec son fantomatique amant). La seule qui détonne dans ce casting plaqué or, c’est Izïa Higelin, peut-être trop radieuse, trop souriante, trop solaire, pour interpréter une héroïne frappée par la neurasthénie (Nina Meurisse ou Suzanne Jouannet auraient été des choix plus judicieux).

    Sa réussite, "Juliette au printemps" la doit aussi à un scénario qui nous ménage dans sa seconde partie une révélation déchirante. L’évoquer est déjà trop en dire. Chaque famille cache des secrets. Celui-ci n’en est pas tout à fait un. Il n’en est que d’autant plus émouvant. Il arracherait des larmes à une pierre.
    Chris58640
    Chris58640

    190 abonnés 737 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 juin 2024
    Sur le papier, le film de Blandine Lenoir ressemble à beaucoup d’autres films français de même genre : une famille (tout le monde en a une ou presque), une famille dysfonctionnelle (itou), des rancœurs entre ex-époux qui se chamaillent (pas très original), des petites jalousies de fratrie (banal), rien de très nouveau. On place le tout dans une toute petite ville de province pour faire « France périphérique » et le tour est joué. Réalisé de façon honnête mais très académique (si on excepte une charmante petite scène en animation au milieu), pas trop long, agréable à suivre, « Juliette au Printemps » tient la route et réussit à nous charmer par son humour et l’implication de ses comédiens. C’est réellement du côté de casting qu’il faut chercher le véritable atout de cette comédie dramatique. Que ce soit Izia Higelin, Sophie Guillemin, Jean-Pierre Darroussin ou encore Noémie Lvovsky, tous ont des rôles assez écrits pour pouvoir donner pleine mesure à leur talent. Izia Higelin a peut-être la partition la plus simple à incarner, en jeune femme déboussolée et dépressive. Jean-Pierre Darroussin, lui, est un père divorcé qui manie l’humour comme une carapace pour contrer la solitude spoiler: et un chagrin très ancien qui se trouve être la clef du scénario
    . Darroussin est impeccable, comme il l’est toujours. Noémie Lvovsky est son opposée, elle est aussi volubile qu’il est taiseux, aussi excentrique qu’il est mesuré. Il s’avère qu’ils dissimulent une souffrance identique sous deux masques très différents. Et puis la grande sœur, sous les traits de Sophie Guillemin, est sans doute le personnage le plus intéressant du film tant elle doit jouer sur toute la palette : mère de famille surbookée, elle a les deux pieds dans le quotidien et pourtant, elle rêve de s’accomplir, de surtout faire des choses pour elle-même, pas en tant qu’épouse ou de mère. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle a pris un amant. Sophie Guillemin est la clef de voute du scénario de « Juliette au Printemps », à défaut d’en être le personnage principal. Si on s’arrête à la bande annonce, on pense qu’on a à faire à une comédie. Et d’ailleurs, quelques gags récurrents (le chat) et quelques scènes cocasses jouent franchement le jeu de la comédie. Mais c’est trompeur, « Juliette au Printemps » est en réalité une comédie dramatique plus tragique que comique. Si Juliette ne va pas bien (elle sort d’un épisode dépressif qui n’est clairement pas terminé), c’est que quelque chose se bloque en elle, l’empêche d’avancer, d’être heureuse, d’être épanouie. Ce quelque chose, elle vient inconsciemment le chercher en famille, car elle sent peut-être que c’est là que se trouve la clef. Ce n’est pas le divorce de ses parents qui est l’élément déclencheur, spoiler: c’est un autre évènement antérieur que sa mémoire à soigneusement effacé. C’est à partir du moment où elle apprend ce « secret » (qui est plus un non-dit qu’un secret d’ailleurs) et qu’elle le digère, qu’elle commence à aller mieux.
    Le scénario pose le principe que quelque chose qu’on ne sait pas, ou qu’on a oublié dans l’histoire familiale peut influencer sa propre vie. C’est un postulat très crédible. Dans toutes les familles des choses comme cela se dissimulent : des choses dont on ne parle jamais mais qui conditionnent clandestinement toute une famille, toute une fratrie. Le film insiste aussi sur la difficulté d’être une ou un ainé dans une fratrie. Juliette est la cadette, elle est partie de la région. Son ainée est restée, elle a fondé une famille, elle s’occupe des parents, des grands parents, elle encaisse les chocs que l’on épargne à la cadette. Sophie Guillemin, sans en faire des tonnes, donne assez bien corps à cette ainée fatiguée d’être celle « sur qui on compte ». Cela aussi, cela peut parler à beaucoup de gens. Le film est sympathique, la forme est légère, drôle et tendre mais le fond est grave. Cela donne au final une comédie dramatique équilibrée, qui ne souffre que de quelques petites scories, spoiler: comme une ébauche d’histoire d’amour (entre Juliette et Pollux) qui se termine en queue de poisson et qui n’était peut-être pas indispensable
    .
    Math719
    Math719

    161 abonnés 654 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 juin 2024
    Une belle histoire de famille, comme il peut y en avoir dans chacune d’entre elle, avec ses peines et ses joies, sans être un grand film il se laisse se regarder et on passe plutôt un bon moment. Nature et sans filtre, quelque fois un peu lent mais bon, l’essentiel est là !
    tupper
    tupper

    123 abonnés 1 332 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 juin 2024
    Un film aux thématiques sérieuses (dépression, deuil, adultère, …) abordées avec sensibilité et quelques notes d’humour. Les personnages sont attachant et le film parsemé de petits bonbons subtils qui mériteraient sans doute un 2ème visionnage pour tous les saisir. Au chapitre des bémols : le film prend son temps. Un peu trop parfois.
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