Avis : Abigail - Page 5

Débutant comme un film d'action avec une équipe chargée d'enlever la jeune ballerine Abigail, cela va vite tourner à l'horrifique avec un huis clos dans un manoir. Que dire de l'humour au ras des pâquerettes et des rebondissements à n'en plus finir...J'ai vite décroché devant ce déferlement d'hémoglobine spoiler: où l'on se doute d'avance de qui va sortir vivant de ce carnage
. Les fans apprécieront certainement quelques références à ce cinéma de genre. Pour le reste, "Abigail" est un énième film d'horreur sans grande saveur.

L'affiche peut vous mettre sur la mauvaise piste.... Cette superbe jeune danseuse "Abigail" interprétée par Alisha Weir ( 14 ans ) ne vient pas de faire une chute malencontreuse, mais se prépare à choisir ses futurs festins.... à base d’hémoglobine, vous l'aurez compris ! Ce film démarre façon polar et kidnapping, mais le scénario a plus d'un tour dans son sac et va vous tenir en haleine. Les décors de ce majestueux et monstrueux manoir vont être le lieu idéal d'un mécano style "Agatha Christie" regorgeant d'humour. Très bons effets spéciaux, en particulier les conséquences du maniement du pieux à bon escient - dans le mille - en mille morceaux.... Génial. Au final, un très agréable moment pour une épouvante de dimanche après midi.... malgré quelques incohérences, grâce à un petit groupe de jeunes acteurs épatants, également des moreaux - pardon - musicaux judicieux. A réserver quand même aux amateurs......!!**

Pour ma part, Abigail est le meilleur boulot de Radio Silence (avec (Ready or Not, mais qui ne pousse pas le délire aussi loin). Ici, on a un peu le même problème. Mais on n'a mine de rien sur l'ensemble du projet bien plus d'efforts.
(je ne compte pas les Scream 5/6).

Que j'ai ... Détester est un grand mot. Absolument mauvais (surtout le 5). Sauver pour moi par le casting. Ils ont des idées, mais ça veut juste jouer le plus malin avec la franchise. Bref, ici je trouve qu'ils sont en terrain connu (comme avec Ready). Et c'est ce que j'aime.

A commencé par les personnages. Comme Ready or Not, on a affaire a des perso barrés, pour certain charismatique (Melissa Barrera/Dan Stevens en tête).
Et une troupe d'acteurs excellents. Une 1er partie sympa qui pose l'ambiance. Et quand Abigail se révèle .. Le fun se réveille ^^.

C'est bien gore (leur film le plus sanglant), glauque à certains passages. Une vibe assez 90's voire 80's (avec la chasse et l'humour noir) qui m'a rappelé "Fright Night". De belle petite surprise vers la fin du long métrage (si vous avez évité tout Spoiler sur le net, bravo).

Ce n'est sans doute pas le meilleur film du genre (ni du mois) mais il a le mérite de donner ce qu'il vend, avec une belle énergie. Quelque séquence bien énerver est un casting qui rehausse le tout. Bref, j'ai passé un bon moment devant ce film. Je pense que je le reverrai.

Une comédie d'épouvante fun, qui ne se prend pas la tête et n'a qu'une seule vocation : divertir. Ce en quoi elle réussit très bien malgré quelques grosses ficelles.
La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/2024/06/abigail-de-matt-bettinelli-olpin.html

Un bon petit film d'horreur hélas spolié par sa bande annonce, la première partie fait plutôt thriller et ça vire ensuite dans l'horreur. Si la bande annonce ne révélait pas la cause des meurtres, ça surprendrait d'avantage. Donc éviter la BA

Film de gangsters très sympa qui verse assez rapidement dans le fantastique, « Abigail » joue avec pas mal de codes de longs-métrages de genre pour nous offrir un spectacle bien divertissant. Même si certaines ficelles scénaristiques auront déjà été vues ou seront prévisibles, on passe tout de même un bon moment devant cette œuvre, dont le principal intérêt est : des protagonistes vraiment bien construits et interprétés par des acteurs confirmés. A ce titre, on retiendra surtout : Dan Stevens (tellement plus crédible que dans « Godzilla x Kong : Le Nouvel Empire » !), génial en ordure totale, la petite Alisha Weir dans le rôle d’une ballerine retorse et Kathryn Newton, décidément cantonnée au cinéma fantastique ! Notons également que le gore et la violence sont au rendez-vous et que les 1h50 passent comme une lettre à la poste. Toutes ces qualités réunies feront finalement de ce métrage une bien bonne surprise pour ma part !

Bon petit film gore sans prétention qui passe café crème. Alors oui ce n'est pas du grand génie mais l'ambiance et le rythme est suffisamment soutenu pour passer un moment sympa. Il y a même ce côté abusé dans l'hémoglobine dans certaines scènes qui rendent le film même marrant, bien dégueu!! Et puis la touche muy caliente avec Melissa Barrerra que j'apprécie particulièrement dans ses films...bref je me suis pas ennuyé du tout, le film se prend pas au sérieux, moi non plus = combo gagnant!!
NOTE : 6.5/10

Le duo de réalisateurs à l’origine du retour de la mythique saga Scream, avec les épisodes cinq et six, a passé la main sur le prochain pour nous livrer cette petite série B à la proposition plutôt originale dans le domaine rebattu du film de vampires. Ludiques et mystérieuses, les prémisses de Abigail nous amusent et nous intriguent. En mixant plusieurs influences du fantastique ainsi que différents genres, leur film parvient à nous captiver la plupart du temps. Mais plus il avance et plus la menace est claire, plus le long-métrage rentre dans le rang du banal et de l’attendu quitte à même traîner en longueur dans un final à rallonge inutile et fatiguant. On passe tout de même un moment sympathique si on aime les effusions gores à la fois excessives et grand-guignolesques mais rigolotes et qu’on n’attend pas forcément le grand frisson, tout cela restant parfaitement distrayant dans le genre.

Retrouvez ma critique complète sur site spécialisé Le Mag du Ciné:
https://www.lemagducine.fr/cinema/critiques-films/abigail-film-matt-bettinelli-olpin-et-tyler-gillett-avis-10068472/

Très bon divertissant drôle et gore qui aurait pu être encore meilleur sans une bande annonce et une promo axée sur le fait que spoiler: Abigail soit un vampire

Abigail commence comme un petit polar décontracté sur le kidnapping de la fille d'un homme riche avant de basculer dans le gore avec un concours d'explosion d'hémoglobine. Le cinéma d'horreur américain n'est vraiment pas au mieux.

“Abigail”, quand l’horreur devient comique

L’horreur finit tellement par tourner en rond que même lorsque le concept change légèrement, cela vire instantanément à une comédie gore et morbide. “Abigail” est un huis-clos comique malgré elle avec une idée intéressante en surface mais développée par des personnes peu compétentes.

Est-ce que le gore devient drôle malgré lui ?

La réponse est probablement non, d’autant plus quand il s’agit de quelque chose de démesuré.

Quoi qu’il en soit, le concept du huis-clos couplé au kidnapping d’un enfant-vampire a du potentiel ; l’arroseur arrosé, de chasseur traqué. Malheureusement, le film se dirige vers l’absurde ; effectivement, chaque séquence perd de plus en plus en sens et en vraisemblance. Cela en devient fatigant sur la fin.

Sans compter que le tout est accompagné par de nombreux clichés de l’horreur et de nombreux clichés au sein même des protagonistes. Le film présente une riche refoulée, un ancien détective, un gros bras sans cervelle, une ancienne militaire… Des archétypes dont l’issu est déjà connu de tous tant le film oublie une notion importante ; le risque.

L’horreur ne doit pas se contenter du gore et encore moins de la facilité scénaristique.

Avec une réalisation oubliable et un scénario qui finit par rentrer dans la norme malgré une idée à potentiel, “Abigail” s’inscrit dans une lignée de film d’horreur absurde qui n’aurait jamais dû sortir.

Ce projet se prend certainement trop au sérieux pour ce qu’il propose.

Abigail est un film d'horreur mêlant comique et horreur saupoudrée de gore très prononcé. Le film est plutôt long à débuter avec la fameuse prise d'otages de la petite Abigail, et il faut attendre un certain temps avant que le décor et les personnages soient posés. D'ailleurs la manière dont les personnages sont présentés par le personnage principal montre de manière équivoque la ridicule caricature retranscrite.
On n'arrive pas réellement à savoir si le film se veut 1er ou 2 nd degrés et cela est assez gênant par moments. De plus, certaines scènes de mutilations et de violences sont limites absurdes tellement cela semble mal joué et faux.
Pourtant, malgré cela, on reste durant la totalité du film car le scénario reste intéressant et l'on veut savoir comment cela se termine.
Malheureusement, cela est assez bâclé et se lasse vite de cette fin qu'on devine rapidement dès les dernières minutes du film.
En résumé, c'est un film qui ne crève pas l'écran et qui se remarque par son box-office qui n'est clairement pas convaincant.
Il n'en reste pas moins divertissant si vous ne savez pas quoi faire comme moi de votre jeudi soir.

j'ai bien aimé ce film. film bien gore bien réalisé et acteurs joue plutôt bien . et assez original surtout pour la petite fille.

Alors franchement c'est surment le film d'horreur le plus débile que j'ai le plus apprécié alors ci ça vous branche, ci vous avez aimer les 2 precedents scream que vous deconnecter complètement complètement le cerveau aller rire pendant 2h sinon passez votre tour🤣 Radio Silence ce sont éclater et ça ce voit en espérant que ci suite il y a ca sera plus qualitatif quand même, bref il est clair que ca demande des conditions cela ne plairera pas à tout le monde mais ça allait pour moi

Après le mauvais Weeding Nightmare et les deux derniers Scream en dates qui ne sont pas à la hauteur de l'héritage, le duo du collectif Radio Silence sont de retour avec Abigail.
Autant dire que leur filmographie m'a beaucoup déçu mais le duo nous livre ici leur meilleure proposition. En effet, Abigail est un divertissement solide où l'humour et l'action se mélangent à merveille. On retrouve plusieurs gymniques propres aux réalisateurs (explosions, gore, côté méta).
En résulte, un divertissement vampirique qui tire son épingle du jeu par une approche originale, tout en connaissant par cœur les codes des films de vampires. Le film a conscience de ce qu'il est, va droit au but, sans prendre le temps de développer ses personnages qui ne sont finalement que des stéréotypes mais interprétés par un casting sympathique et inspiré.