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Julie Soum
1 critique
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5,0
Publiée le 30 mai 2024
1ere 5 étoiles 1ere chose c'est pas un film comme Anabelle ou The Nonne.. 2me chose film gore avec beaucoup de sang comme ont aimes 3me dernière action pas mal 4eme c'est moi qui est donner les 1ere 5 étoiles 🤣🤣
Quelques trouvailles dans le genre et beaucoup d'hémoglobine. Je n'ai pas ris comme le laisse supposer plusieurs critiques. On ne s'ennuie pas même si ce film n'est pas impérissable.
Un huis clos divertissant sans plus. Du Gore, du loufoque. ça ne se prend pas au sérieux.. mais peut-être que ça devrait. Les méchants prennent des décisions débiles.
Vous avez vu la bande-annonce, et vous savez ce qu'est réellement la gamine ? Ah, dommage pour vous : vous venez de vous spoiler la moitié du film. Prenez donc un bon livre, pour patienter durant les 45 premières minutes, qui installent longuement l'arrivée de ce fameux twist, que la bande-annonce vous a donc vendu d'emblée (une hérésie). Dans son ensemble, Abigail est un film tiède, bien moins enthousiasmant qu'il ne veut le laisser croire : moins drôle, moins fou, moins "gore" (une giclée de sang, et tout le monde est choqué ? Vraiment ?), et moins surprenant dans son scénario (d'une prévisibilité folle). On voit venir à cent mètres spoiler: l'alliance finale (niaise) entre l'héroïne (elle clignote "final girl" au-dessus de sa tête) et la petite vampire (qui s'attendrit en deux secondes...)
, on n'en pas vraiment pour son argent niveau "fun" (on nous vend un film un peu régressif avec une ballerine qui danse dans tous les sens et déchire des trachées à la volée... On attend toujours la concrétisation de ce concept, resté pur fantasme de bande-annonce qui compile les rares scènes du film qui le font, sur 1h50...), et les personnages ne sont rien d'autre que des caricatures (le méchant est très très méchant, la gentille très très gentille...). Abigail restera pour nous une belle promesse, un concept sympa sur le papier qui ne sait pas se mettre en forme, dans un film qui galère à démarrer dans sa première partie (vous poireautez pour avoir le twist dont vous êtes déjà au courant - merci, vraiment, la promo... - et vous captez rapidement toute la fin, avec les alliances et confrontations très attendues). Seule surprise pour notre part : Matthew Goode, qu'est-ce que tu fais là ?! Avec Dan Stevens (qui en fait des caisses), et ce grand manoir poussiéreux, on a raté le remake horrifique de Downton Abbey, damned.
On se sait pas trop comment penser quand on sait que le jeune acteur qui fait le bête, et qui est le premier à disparaître, est aussi celui qui a disparu en vrai il y a quelques mois, de tristesse après le décès de son père, apparemment (Angus Cloud). Comme quoi un rôle dans un film n'empêche rien.
On n'a d'ailleurs guère envie d'en dire plus parce que ce film est très moyen. Il est très bon pendant une heure (mise en scène et mystère), puis très mauvais ensuite -justement après la disparition du personnage de Angus Cloud... Il n'y a sûrement aucun rapport, c'est dû au fait qu'on est très déçu par la tournure des événements, soudainement, une heure après le début (donc par le scénario).
Une constante positive, malgré tout : l'accompagnement musical. Même si l'on passe du Lac des Cygnes au genre metal, pop ou experimental. Car les morceaux sont choisis et de qualité : Arrival de Brian Tyler (le prolifique compositeur de cinéma) ; Blood and Tears de Danzig ; Burn my Tongue de Jean Dawson (spécialement pour ce film, où l'on croque beaucoup).
Les dernières minutes sont intéressantes. C'est un peu tard.
"Abigail" débute comme une prise d'otage classique, où une jeune fille est kidnappée pour extorquer une rançon à son riche père. Cependant, l'équipe de criminels en charge de sa surveillance découvre rapidement que la jeune ballerine n'est pas celle qu'elle prétend être. Conçu comme un film d'horreur, cette adaptation très libre de "La fille de Dracula" sur fond de Tchaïkovski laisse perplexe, tant les effets spéciaux sont grotesques et les retournements de situation clichés, rendant difficile de déterminer s'il faut en rire.
6 professionnels chacuns dans leurs domaine enlève une petite Fille et la Séquestre dans une Grand Maison délabré mais ils sont loin de s'imaginer à qui ils ont à faire. Passer cela le Film prend une tournure comique vampirique vraiment à l'ouest, les personnages sont tous demeurés étrange pour des personnes se disant professionnels. Heureusement que le côté Gore viens un peu rattraper le tout plutôt Fun mais ne sauvra en rien se nanar aux dents longues.
Un film d'horreur vampirique nanardesque. Mélissa Barrera et Kévin Durand sont les atouts de ce jeu de massacre prétexte à un festival d'hémoglobine. C'est fun, gore, souvent n'importe quoi mais ça reste une satire de tous les poncifs du genre film de vampire. Cependant l'actrice qui joue la petite Abigael est nulle et horripilante au possible.
Déception ….. 1h49 de film ou il se passe rien pendant 1h !! Et la suite n’est absolument pas terrifiante mais plutôt hilarante et gore bien dommage …. Je ne recommande pas d’aller voir ce film loin de là ….
Après avoir kidnappé une jeune ballerine, fille d’un puissant magnat de la pègre, ces derniers ne tardent pas à découvrir qu’en réalité, Abigail est bien plus qu’une simple adolescente de 12 ans en tutu et vont amèrement regretté d’avoir croisé sa route…
Un peu plus d’un an après le décevant Scream VI (2023), le duo composé de Matt Bettinelli-Olpin & Tyler Gillett est de retour avec ce film qui oscille maladroitement entre la comédie et l’horreur. Le film a constamment le cul entre deux chaises, à la fois il ne parvient jamais à effrayer ou à insuffler une once de tension et il tente difficilement d’instaurer un climat grand-guignolesque avec des geysers d’hémoglobine et des personnages caricaturaux, voire lourdingues spoiler: (Peter qui s’enfonce une écharde).
Abigail (2024) se regarde certes sans déplaisir, mais sans l’ombre d’un sursaut. Le film baigne dans une ambiance de Série B décomplexée malgré une première demi-heure intéressante, le reste devient rapidement sans saveur, en roue libre avec des longueurs et parfaitement inoffensif, pour ne pas dire gentillet (à noter que si vous avez eu le malheur de voir la bande-annonce, cette dernière gâche le seul et unique intérêt du film).
Un début qui attise l'intérêt mais ce qui se profile comme un simple kidnapping devient une descente aux enfers. Un huis-clos horrifique, interminable, jusqu'à l'indigestion de sang. Quant aux personnages caricaturaux, leurs réactions sont risibles, comme souvent dans ce genre de production.
On troque la cape noire contre un tutu, le suspense contre du gore et on rajoute beaucoup d'humour !
Ça dépoussière le genre (je ne vois pas trop d'autres prétentions) , on ne passe pas un mauvais moment ringard (c'est déjà pas mal pour ce genre de film) et le casting est très correct.
"Abigail" par les réalisateurs de Scream V et VI est un film d'horreur américain qui se regarde. En effet le film qui a connu un succès mitigé en salle comporte quelques qualités en revisitant le mythe Dracula au féminin avec une jeune actrice (Alisha Weir) dans la peau de la fille de Dracula qui vampirise l'écran avec des séquences alternant humour, frisson et hémoglobine même si l'ensemble a du mal à décoller et que le scénario manque d'épaisseur.
Un bon petit film d'horreur hélas spolié par sa bande annonce, la première partie fait plutôt thriller et ça vire ensuite dans l'horreur. Si la bande annonce ne révélait pas la cause des meurtres, ça surprendrait d'avantage. Donc éviter la BA