Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Tout ce qu’il faut pour qu’Abigail se glisse sur un air de ballet dans le panthéon des héroïnes du cinéma fantastique. On aimerait retrouver cette ballerine qui mène son monde sur les pointes et sur les canines dans une suite.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Abigail remplit son contrat de la première à la dernière image : embarquer le spectateur dans un pur trip forain dont l’émotion et la poésie souterraines surgissent, derrière sa facture industrielle, par la seule présence monstrueuse du personnage éponyme, tour à tour effrayant, touchant et hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Abigail n'a aucun esprit de sérieux, version fraîche et amusante de l'héritage Dracula, avec du sang d'horreur d'Annabelle ou de Carrie sur les mains de ses auteurs.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Ce bébé Dracula en rose danse sur un vieux mythe, en y allant gaiement et exagérément dans la boucherie à l'hémoglobine débordante.
Le Parisien
par Michel Valentin
Pour cette comédie horrifique, qui débute doucement avant de se terminer dans autant d’hectolitres de sang que d’humour, c’est un duo bien rodé à ce genre bien particulier qui officie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Voici
par La Rédaction
Le duo Matt Bettinelli-Olpin/Gillett se fait ici plaisir avec un festival d'hémoglobine, de vannes et de références.
CNews
par La rédaction
Abigail ne révolutionne pas le genre, loin de là, mais sait rester divertissant. On pourra toutefois regretter certaines morts bâclées, une mythologie mal expliquée, et une musique du Lac des cygnes un peu trop présente.
La critique complète est disponible sur le site CNews
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Bettinelli-Olpin et Gillett affectionnent les jeux de massacre et le prouvent une nouvelle fois en poussant les potards à 11 dans cet amusant festival d’hémoglobine.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Ecran Fantastique
par Arnold Petit
En dépit d’un troisième acte longuet, balisé, et un peu trop excessif (le caméo final en forme de clin d’œil pourrait provoquer une certaine gêne chez les spectateurs les plus avertis), Abigail, s’il ne réinvente pas la poudre, se plaît manifestement à y mettre le feu. Idéal donc pour préparer le pop-corn de circonstance.
Le Journal du Dimanche
par S. B.
Excellente surprise que ce survival se déroulant à huis clos qui revisite le mythe du vampire à travers un dispositif digne d’Agatha Christie, aussi jouissif qu’impitoyable. Un ovni inclassable qui démarre avec une intrigue de polar pour virer rapidement au jeu de massacre.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Le dernier film d’horreur Universal est une variation autour de la figure du vampire qui coche consciencieusement les cases du genre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé 2 semaines
par M.L.
Un film hautement amusant, franchement gore, entre la série B de luxe et le kitsch du cinéma d'exploitation.
Télé Loisirs
par M.L.
Un film hautement amusant, franchement gore, entre la série B de luxe et le kitsch du cinéma d'exploitation.
aVoir-aLire.com
par Robin Berthelot
Bain de jouvence (et de sang) pour la fille de Dracula dans cet Abigail à rebours des tendances de l’époque. Sans subtilité aucune mais avec un certain savoir-faire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Isabelle Danel
"What the fuck ?" est la phrase finale du film. On ne saurait mieux dire. Pour fans du genre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Mad Movies
par G.E.
Auteurs des deux derniers Scream, mais aussi d'un Wedding Nightmare (Ready or Not) déjà pas top, Bettinelli-Olpin et Gillett récidivent dans le néo-gothique sanglant en huis clos, sans plus de réussite.
Ouest France
par Sylvestre Picard
Ce huis clos horrifique aurait pu, aurait dû même, être un exercice de mise en scène. En l'état, Abigail est juste un énième film d'horreur trop inoffensif. Dommage.
Première
par Sylvestre Picard
En l’état, Abigail ne ressemble à guère plus qu’un spin-off de Resident Evil : heureusement, le casting assure bien, notamment Melissa Barrera et surtout l’adorable (et très costaud) Kevin Durand, parfaitement à l’aise dans ce genre de film. On dirait même qu’il mérite mieux que ça.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
(...) L’humour et la dérision se mêlent à l’hémoglobine, les combats offrent morsures et danse classique, sourires et grimaces. Le film d’horreur devient match de catch bon enfant. Un show parfois amusant, mais bien trop ficelé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Tout ce qu’il faut pour qu’Abigail se glisse sur un air de ballet dans le panthéon des héroïnes du cinéma fantastique. On aimerait retrouver cette ballerine qui mène son monde sur les pointes et sur les canines dans une suite.
Culturopoing.com
Abigail remplit son contrat de la première à la dernière image : embarquer le spectateur dans un pur trip forain dont l’émotion et la poésie souterraines surgissent, derrière sa facture industrielle, par la seule présence monstrueuse du personnage éponyme, tour à tour effrayant, touchant et hypnotique.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Abigail n'a aucun esprit de sérieux, version fraîche et amusante de l'héritage Dracula, avec du sang d'horreur d'Annabelle ou de Carrie sur les mains de ses auteurs.
Le Dauphiné Libéré
Ce bébé Dracula en rose danse sur un vieux mythe, en y allant gaiement et exagérément dans la boucherie à l'hémoglobine débordante.
Le Parisien
Pour cette comédie horrifique, qui débute doucement avant de se terminer dans autant d’hectolitres de sang que d’humour, c’est un duo bien rodé à ce genre bien particulier qui officie.
Voici
Le duo Matt Bettinelli-Olpin/Gillett se fait ici plaisir avec un festival d'hémoglobine, de vannes et de références.
CNews
Abigail ne révolutionne pas le genre, loin de là, mais sait rester divertissant. On pourra toutefois regretter certaines morts bâclées, une mythologie mal expliquée, et une musique du Lac des cygnes un peu trop présente.
CinemaTeaser
Bettinelli-Olpin et Gillett affectionnent les jeux de massacre et le prouvent une nouvelle fois en poussant les potards à 11 dans cet amusant festival d’hémoglobine.
L'Ecran Fantastique
En dépit d’un troisième acte longuet, balisé, et un peu trop excessif (le caméo final en forme de clin d’œil pourrait provoquer une certaine gêne chez les spectateurs les plus avertis), Abigail, s’il ne réinvente pas la poudre, se plaît manifestement à y mettre le feu. Idéal donc pour préparer le pop-corn de circonstance.
Le Journal du Dimanche
Excellente surprise que ce survival se déroulant à huis clos qui revisite le mythe du vampire à travers un dispositif digne d’Agatha Christie, aussi jouissif qu’impitoyable. Un ovni inclassable qui démarre avec une intrigue de polar pour virer rapidement au jeu de massacre.
Les Fiches du Cinéma
Le dernier film d’horreur Universal est une variation autour de la figure du vampire qui coche consciencieusement les cases du genre.
Télé 2 semaines
Un film hautement amusant, franchement gore, entre la série B de luxe et le kitsch du cinéma d'exploitation.
Télé Loisirs
Un film hautement amusant, franchement gore, entre la série B de luxe et le kitsch du cinéma d'exploitation.
aVoir-aLire.com
Bain de jouvence (et de sang) pour la fille de Dracula dans cet Abigail à rebours des tendances de l’époque. Sans subtilité aucune mais avec un certain savoir-faire.
L'Obs
"What the fuck ?" est la phrase finale du film. On ne saurait mieux dire. Pour fans du genre.
Mad Movies
Auteurs des deux derniers Scream, mais aussi d'un Wedding Nightmare (Ready or Not) déjà pas top, Bettinelli-Olpin et Gillett récidivent dans le néo-gothique sanglant en huis clos, sans plus de réussite.
Ouest France
Ce huis clos horrifique aurait pu, aurait dû même, être un exercice de mise en scène. En l'état, Abigail est juste un énième film d'horreur trop inoffensif. Dommage.
Première
En l’état, Abigail ne ressemble à guère plus qu’un spin-off de Resident Evil : heureusement, le casting assure bien, notamment Melissa Barrera et surtout l’adorable (et très costaud) Kevin Durand, parfaitement à l’aise dans ce genre de film. On dirait même qu’il mérite mieux que ça.
Télérama
(...) L’humour et la dérision se mêlent à l’hémoglobine, les combats offrent morsures et danse classique, sourires et grimaces. Le film d’horreur devient match de catch bon enfant. Un show parfois amusant, mais bien trop ficelé.