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23 critiques presse
Le Point
par Florence Colombani
En explorant un autre rapport au monde, auquel les Krahô sont fidèles, le film de Joao Salaviza et Renée Nader Messora propose aussi un autre rapport au cinéma, immersif et bouleversant.
Libération
par Luc Chessel
Mêlant combat, signes et mythes, la cinéaste brésilienne Renée Nader Messora et le Portugais João Salaviza dressent le superbe portrait sur trois générations de la communauté indigène des Krahôs, en lutte pour la préservation de leur terre dans le nord-est du Brésil, menacée d’invasion.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un film magnifique d’un bout à l’autre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Courrier International
par Joana Moreira
Tourné pendant quinze mois, ce film est davantage qu’un document sur l’histoire d’un peuple et la relation que celui-ci entretient avec sa terre, il porte sur l’avenir.
La critique complète est disponible sur le site Courrier International
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Dans un essai cinématographique d'une beauté visuelle saisissante, dans une zone floue entre fiction et réalité, les réalisateurs João Salaviza et Renée Nader Messora explorent à la fois la violence et la résilience des Krahô.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La Fleur de Buriti, à la frontière du documentaire et de la fiction, éblouit par sa beauté picturale, sa magie animiste et le sens de son combat.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Michèle Levieux
Superbe film de João Salaviza et Renée Nader Messora.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Tribune Dimanche
par Alexis Campion
Engagé, poétique, raccord avec la sublime délicatesse des Krahô, La Fleur de Buriti est un film rare et puissant.
La critique complète est disponible sur le site La Tribune Dimanche
Le Dauphiné Libéré
par N.C.
"Dans un essai cinématographique - La Fleur de Buriti - d’une beauté visuelle saisissante”
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un récit militant et indispensable, servi par des images sublimes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Attention, zone de pleine beauté. Du geste (une fiction partagée avec un peuple amérindien), du paysage (le fragile et luxuriant paradis amazonien), du cinéma (dans sa fonction primitive de révélateur de mondes).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
La Fleur de Buriti en devient un chant, poème filmé pour un monde magnifique et menacé.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ouest France
par Dominique Poncet
La Fleur de Buriti raconte avec une poésie, une délicatesse et une beauté folles, le quotidien d'un chaman, de sa femme et de sa sœur, et aussi celui de leurs congénères, tout en se référant à leur histoire, souvent dramatique depuis les années 40.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Paris Match
par Yannick Vely
« La Fleur de Buriti » prolonge le geste avec une exploration ethnographique mais aussi historique du peuple Krahô, massacré par les Européens venus s’approprier leurs terres et leurs perroquets.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Eithne O’Neill
Une œuvre ethnographique d’une grande poésie.
Transfuge
par Serge Kaganski
A mi-chemin entre le panthéisme magique d'un Apichatpong Weerasethakul et la vision ethnographique et politique d'un Scorsese (Killers of the Flower Moon) ou du duo Gammel-Keough (War Pony), La Fleur de Buriti déploie ses sortilèges et redonne tout son sens et sa pertinence au mot "indigène".
Télérama
par Frédéric Strauss
Au Brésil, entre fiction villageoise et documentaire sur la violence séculaire, un voyage fascinant chez les Krahô, peuple luttant pour sa survie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Élie Raufaste
Le didactisme assumé de certaines scènes, où telle carte, tel objet, telle vidéo regardée sur téléphone vient servir de support pour clarifier ce qu’il se trame exactement, participe d’une sincérité générale et désarme du même coup, par la précision de ce qui est pointé du doigt, le risque de l’exotisme et de la contemplation nébuleuse.
Critikat.com
par Étienne Cimetière-Cano
La Fleur de Buriti témoigne de ces instants fragiles où la parole transcende le temps pour mieux rendre compte de sa nécessité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un film d’une grande acuité, porté par une mise en scène évitant misérabilisme ou pittoresque ethnologique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
L’image 16 mm dépasse dès le prologue le terrain de la pure ethnographie pour nous projeter au cœur d’une expérience sensorielle saisissante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par TB
La mise en scène signée Joao Salaviza (Le Chant de la forêt) et Renée Nader Messora, à l’écoute de chaque sensation, fait corps avec son sujet. Fort.
Slate
par Jean-Michel Frodon
Au sein d'une famille, dans les rêves d'une enfant, sur les routes du pays, dans un passé de sang et de feu, La Fleur de Burriti se reconfigure en permanence, avec colère, avec humour, avec tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Slate
Le Point
En explorant un autre rapport au monde, auquel les Krahô sont fidèles, le film de Joao Salaviza et Renée Nader Messora propose aussi un autre rapport au cinéma, immersif et bouleversant.
Libération
Mêlant combat, signes et mythes, la cinéaste brésilienne Renée Nader Messora et le Portugais João Salaviza dressent le superbe portrait sur trois générations de la communauté indigène des Krahôs, en lutte pour la préservation de leur terre dans le nord-est du Brésil, menacée d’invasion.
aVoir-aLire.com
Un film magnifique d’un bout à l’autre.
Courrier International
Tourné pendant quinze mois, ce film est davantage qu’un document sur l’histoire d’un peuple et la relation que celui-ci entretient avec sa terre, il porte sur l’avenir.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans un essai cinématographique d'une beauté visuelle saisissante, dans une zone floue entre fiction et réalité, les réalisateurs João Salaviza et Renée Nader Messora explorent à la fois la violence et la résilience des Krahô.
Franceinfo Culture
La Fleur de Buriti, à la frontière du documentaire et de la fiction, éblouit par sa beauté picturale, sa magie animiste et le sens de son combat.
L'Humanité
Superbe film de João Salaviza et Renée Nader Messora.
La Tribune Dimanche
Engagé, poétique, raccord avec la sublime délicatesse des Krahô, La Fleur de Buriti est un film rare et puissant.
Le Dauphiné Libéré
"Dans un essai cinématographique - La Fleur de Buriti - d’une beauté visuelle saisissante”
Le Journal du Dimanche
Un récit militant et indispensable, servi par des images sublimes.
Le Monde
Attention, zone de pleine beauté. Du geste (une fiction partagée avec un peuple amérindien), du paysage (le fragile et luxuriant paradis amazonien), du cinéma (dans sa fonction primitive de révélateur de mondes).
Les Echos
La Fleur de Buriti en devient un chant, poème filmé pour un monde magnifique et menacé.
Ouest France
La Fleur de Buriti raconte avec une poésie, une délicatesse et une beauté folles, le quotidien d'un chaman, de sa femme et de sa sœur, et aussi celui de leurs congénères, tout en se référant à leur histoire, souvent dramatique depuis les années 40.
Paris Match
« La Fleur de Buriti » prolonge le geste avec une exploration ethnographique mais aussi historique du peuple Krahô, massacré par les Européens venus s’approprier leurs terres et leurs perroquets.
Positif
Une œuvre ethnographique d’une grande poésie.
Transfuge
A mi-chemin entre le panthéisme magique d'un Apichatpong Weerasethakul et la vision ethnographique et politique d'un Scorsese (Killers of the Flower Moon) ou du duo Gammel-Keough (War Pony), La Fleur de Buriti déploie ses sortilèges et redonne tout son sens et sa pertinence au mot "indigène".
Télérama
Au Brésil, entre fiction villageoise et documentaire sur la violence séculaire, un voyage fascinant chez les Krahô, peuple luttant pour sa survie.
Cahiers du Cinéma
Le didactisme assumé de certaines scènes, où telle carte, tel objet, telle vidéo regardée sur téléphone vient servir de support pour clarifier ce qu’il se trame exactement, participe d’une sincérité générale et désarme du même coup, par la précision de ce qui est pointé du doigt, le risque de l’exotisme et de la contemplation nébuleuse.
Critikat.com
La Fleur de Buriti témoigne de ces instants fragiles où la parole transcende le temps pour mieux rendre compte de sa nécessité.
L'Obs
Un film d’une grande acuité, porté par une mise en scène évitant misérabilisme ou pittoresque ethnologique.
Les Inrockuptibles
L’image 16 mm dépasse dès le prologue le terrain de la pure ethnographie pour nous projeter au cœur d’une expérience sensorielle saisissante.
Première
La mise en scène signée Joao Salaviza (Le Chant de la forêt) et Renée Nader Messora, à l’écoute de chaque sensation, fait corps avec son sujet. Fort.
Slate
Au sein d'une famille, dans les rêves d'une enfant, sur les routes du pays, dans un passé de sang et de feu, La Fleur de Burriti se reconfigure en permanence, avec colère, avec humour, avec tendresse.