Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Leïla Gharbi
Un film empli de poésie, à voir absolument !
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Derrière les agitations et les éclats de voix de ces hommes rassemblés dans une ferme isolée autour de l’animal, là où la nature humaine est irrémédiablement à la fraternité, il y a une démarche spirituelle et empathique qui rend le film spécialement émouvant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une geste à la fois onirique et humaine qui plaide avec une certaine élégance pour la préservation de l’environnement et des traditions tibétaines.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Positif
par Eithne O’Neill
Fils de berger, diplômé de l’Académie de cinéma de Beijing, Pema Tseden, riche de son talent de nouvelliste, mêle douceur et satire.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une œuvre aussi sensible qu’universelle qui interroge secrètement les relations entre la Chine et le Tibet.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
« S’il retrouve dans Le Léopard des neiges une considération pour les nuances sociales et culturelles, Tseden y déploie à nouveau ce penchant anti-naturaliste qui, de reflets en optiques déformées, distille dans ses films l’impression d’une réalité étrangement décollée d’elle-même, jusqu’à se dédoubler en rêve dans Jinpa (2018).
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
Le dernier long métrage de Pema Tseden possède la fascinante simplicité du conte, mais également sa puissance qui vont nous emporter aux confins d’un réalisme magique envoûtant, d’une grande beauté plastique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Isabelle Danel
Naviguant entre fable et documentaire sur cette espèce protégée, le film offre quelques échanges drolatiques et de belles images.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
Pema Tseden explore ce contentieux homme-animal par une bascule constante entre blocs de naturalisme et d’onirisme. Au conflit à chaud qui anime tout ce petit monde, succèdent des percées subjectives dans la mémoire du léopard, animé numériquement. Ce qu’installe alors Pema Tseden, c’est une porosité des règnes, un partage de conscience judicieux entre l’homme et l’animal.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Camille Nevers
"Le Léopard des neiges" est inégal, tenu et inspiré, à d’autres moments débraillé. Mais ce ballet des points de vue, certaines sorties et entrées de plan surprenantes, un «réalisme magique» des interactions animales et humaines, les effets spéciaux greffés aux décors réels, valent la vue (imprenable) [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Bastien Assié
Oscillant entre les longues séquences caméra épaule des journalistes et les scènes expérimentales du point de vue du léopard, le film s’élève bien au-delà de son minimalisme pour questionner le rapport profond entre les hommes et la nature. Au rythme du félin et des paysages qu’il habite, Le Léopard des neiges est un voyage poétique au cœur du Tibet.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Joanna Blain
Deux ans après avoir réalisé Balloon, qui traitait de la politique de l’enfant unique, le regretté Pema Tseden (1969-2023) ancrait, de nouveau, sa fiction au cœur des plateaux tibétains et signait un long métrage à l’esthétique léchée, proche du conte. Le léopard, créé en effets spéciaux numériques, est également réussi. Toutefois, la dimension didactique du film, qui va jusqu’à des extraits de documentaires de la BBC, et plusieurs longueurs gâchent un peu le plaisir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
Un film empli de poésie, à voir absolument !
CinemaTeaser
Derrière les agitations et les éclats de voix de ces hommes rassemblés dans une ferme isolée autour de l’animal, là où la nature humaine est irrémédiablement à la fraternité, il y a une démarche spirituelle et empathique qui rend le film spécialement émouvant.
L'Humanité
Une geste à la fois onirique et humaine qui plaide avec une certaine élégance pour la préservation de l’environnement et des traditions tibétaines.
Positif
Fils de berger, diplômé de l’Académie de cinéma de Beijing, Pema Tseden, riche de son talent de nouvelliste, mêle douceur et satire.
aVoir-aLire.com
Une œuvre aussi sensible qu’universelle qui interroge secrètement les relations entre la Chine et le Tibet.
Cahiers du Cinéma
« S’il retrouve dans Le Léopard des neiges une considération pour les nuances sociales et culturelles, Tseden y déploie à nouveau ce penchant anti-naturaliste qui, de reflets en optiques déformées, distille dans ses films l’impression d’une réalité étrangement décollée d’elle-même, jusqu’à se dédoubler en rêve dans Jinpa (2018).
Culturopoing.com
Le dernier long métrage de Pema Tseden possède la fascinante simplicité du conte, mais également sa puissance qui vont nous emporter aux confins d’un réalisme magique envoûtant, d’une grande beauté plastique.
L'Obs
Naviguant entre fable et documentaire sur cette espèce protégée, le film offre quelques échanges drolatiques et de belles images.
Le Monde
Pema Tseden explore ce contentieux homme-animal par une bascule constante entre blocs de naturalisme et d’onirisme. Au conflit à chaud qui anime tout ce petit monde, succèdent des percées subjectives dans la mémoire du léopard, animé numériquement. Ce qu’installe alors Pema Tseden, c’est une porosité des règnes, un partage de conscience judicieux entre l’homme et l’animal.
Libération
"Le Léopard des neiges" est inégal, tenu et inspiré, à d’autres moments débraillé. Mais ce ballet des points de vue, certaines sorties et entrées de plan surprenantes, un «réalisme magique» des interactions animales et humaines, les effets spéciaux greffés aux décors réels, valent la vue (imprenable) [...].
Première
Oscillant entre les longues séquences caméra épaule des journalistes et les scènes expérimentales du point de vue du léopard, le film s’élève bien au-delà de son minimalisme pour questionner le rapport profond entre les hommes et la nature. Au rythme du félin et des paysages qu’il habite, Le Léopard des neiges est un voyage poétique au cœur du Tibet.
Télérama
Deux ans après avoir réalisé Balloon, qui traitait de la politique de l’enfant unique, le regretté Pema Tseden (1969-2023) ancrait, de nouveau, sa fiction au cœur des plateaux tibétains et signait un long métrage à l’esthétique léchée, proche du conte. Le léopard, créé en effets spéciaux numériques, est également réussi. Toutefois, la dimension didactique du film, qui va jusqu’à des extraits de documentaires de la BBC, et plusieurs longueurs gâchent un peu le plaisir.