AlloCiné
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Votre avis sur Le Salaire de la Peur ?
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Les remakes sont rarement à la hauteur de l’original, cela se vérifie malheureusement une nouvelle fois. Il manque déjà un aspect majeur du film de 1952, à savoir Yves Montand, Charles Vanel et Peter Van Eyck fuyaient un passé douloureux ou peu reluisant de façon quasi suicidaire, avec des personnages aux tempéraments en opposition, c’était une grande source de tension dans le film hormis la dangerosité de la cargaison. On ne retrouve à aucun moment cette dimension dans la version de 2024 où la psychologie des personnages est assez basique.
Je n’aurai pas l’outrecuidance de comparer le jeu de Franck Gastambide et Alban Lenoir avec celui d’Yves Montand et Charles Vanel, ils ne sont pas catastrophiques mais ne jouent pas dans la même division.
Si ce film avait été nommé autrement sans chercher de comparaison, il aurait pu passer pour ce qu’il est à savoir un honnête petit film d’action et la note globale serait probablement moins mauvaise. Mais le comparer au chef d’œuvre de Clouzot, non non et non.
Je n’aurai pas l’outrecuidance de comparer le jeu de Franck Gastambide et Alban Lenoir avec celui d’Yves Montand et Charles Vanel, ils ne sont pas catastrophiques mais ne jouent pas dans la même division.
Si ce film avait été nommé autrement sans chercher de comparaison, il aurait pu passer pour ce qu’il est à savoir un honnête petit film d’action et la note globale serait probablement moins mauvaise. Mais le comparer au chef d’œuvre de Clouzot, non non et non.
Mon dieu que c'est mauvais....c'est mal joué, pas crédible, mal filmé..une suite de scènes mal faite ...
Une fois de plus cela prouve que la quantité de bons acteurs ne fait pas la qualité d'un film...
Une fois de plus cela prouve que la quantité de bons acteurs ne fait pas la qualité d'un film...
Bon film d'action. On ne s'ennuit pas.. Après je n'ai pas le premier, donc c'est pas plus mal. Pas de comparaison possible
Alors oui quelques défauts et incohérences, oui le film se prend un peu trop au sérieux, et oui il est difficile de passer après le salaire de la peur avec Montant et Vanel, pourtant j'ai bien apprécié ce film notament grace aux paysages et certains points de vue vraiment magnifiques.
Franchement ras le bol des films et series Netflix
Ils sont tellement mediocres, rien que des "formules", de la violence, de la romance a 5 sous, des corps sexy, et des acteurs avec un peu de reconnaissance mais alors il n'y a aucune histoire qui merite le coup, le film est mal tournee...
L'original etait tellement bien, cela prouve a quel point plus on avance plus on recule. Finalement avec moins de tech on pouvait se concentrer sur le scenario, sur les acteurs, etc.... au lieu de se limiter a des scenes avec effets speciaux qui abrutissent les neurones
Ils sont tellement mediocres, rien que des "formules", de la violence, de la romance a 5 sous, des corps sexy, et des acteurs avec un peu de reconnaissance mais alors il n'y a aucune histoire qui merite le coup, le film est mal tournee...
L'original etait tellement bien, cela prouve a quel point plus on avance plus on recule. Finalement avec moins de tech on pouvait se concentrer sur le scenario, sur les acteurs, etc.... au lieu de se limiter a des scenes avec effets speciaux qui abrutissent les neurones
Une réalisation trop lente. Dès le début, la scène d'action et le sexe sont mal amenés. À aucun moment on ne craint pour la vie des personnages. Les héros comme les méchants sont pathétiques, personne ne sait tirer dans ce film. On dirait que le seul danger c'est la stupidité. Quel gâchis face à l'oeuvre originale.
Frédéric M.
Un assez bon remake, convaincant et plus moderne et pas trop long. Pour ceux qui n'ont vu aucune version, elle est aussi bien à découvrir pour les abonnés Netflix. Meme si on passe un bon moment, on se pose quand meme la question de l'interet du film après les 2 excellentes précédentes version.
Le salaire de la peur 2024 est une savante alchimie entre les westerns spaghetti de Sergio Leone et l'actualité. Les acteurs sont remarquables, certains héroïques et d'autres comme Sofiane Zermani manipulateurs et détestables à souhait. Les paysages du Maroc sont à couper le souffle. La musique organique d'Eric Serra est aussi euphorisante que celle d'Ennio Morricone. Le rythme souvent inégal évoque une tempère foudroyante après le calme apparent et la tension palpable. De plus, les dialogues sont réduits au minimum. Ainsi, la caméra de Julien Leclercq va à l'essentiel : elle montre toute l'importance des expressions des personnages principaux et des regards incertains des locaux. Cette fiction questionne sur le pouvoir de l'argent, le fait de détruire à néant toute une population, de bafouer l'écologie, la sécurité.
Bonjour
Difficile de s attaquer a un grand film français des années 50 avec une histoire et les acteurs de l époque mais pourquoi pas...
Histoire actualisée au moyen orient, de l action mais pas de suspens, une belle distribution des rôles mais les acteurs sont pas investis par l histoire....
Dommage mais c est raté, a voir juste pour se divertir
Difficile de s attaquer a un grand film français des années 50 avec une histoire et les acteurs de l époque mais pourquoi pas...
Histoire actualisée au moyen orient, de l action mais pas de suspens, une belle distribution des rôles mais les acteurs sont pas investis par l histoire....
Dommage mais c est raté, a voir juste pour se divertir
Sans surprise une grosse déception, comment peut on se attaquer à un chef de œuvre et sortir une telle daube
Mal joué, scénario bancal, aucune intensité, auqu une émotion, J ajoute que J ai revu le film initial juste avant et je recommande à chacun de le revoir sur Netflix également
Mal joué, scénario bancal, aucune intensité, auqu une émotion, J ajoute que J ai revu le film initial juste avant et je recommande à chacun de le revoir sur Netflix également
Une adaptation totalement ratèe d'un roman à succès! Henri-Georges Clouzot et Willem Friedkin peuvent dormir tranquille de là-haut tant "Le salaire de la peur" version 2024 s'avère être un bel exemple de proposition de cinèma aussi vide qu'inutile! Où sont les sueurs froides de l'original ? Où est la folie de "Sorcerer" ? Que cette nouvelle adaptation de Julien Leclercq ait pu sortir sur Netflix situe assez bien le niveau de la chose et du dit service de streaming d'aujourd'hui! Les dialogues et la direction des acteurs sont si faux (et en même temps si drôles), que c'est presque un supplice de rester jusqu'au bout! Ni rèalisme ni intensitè ni psychologie ni èmotion! Seule justification d'une telle entreprise : le coup de foudre de Leclercq pour le chef d'oeuvre de Clouzot! Et puis soyons un peu sèrieux, quoi ! Yves Montand et Charles Vanel remplacès ici par Franck Gastambide et Alban Lenoir ? On n'y croit pas une seule minute avec des acteurs qui se prennent bigrement au sèrieux! La plus à plaindre, c'est quand même Ana Girardot dont on se demande encore comment elle a pu atterrir dans ce projet! Dommage pour Leclercq ("L'assaut", ça c'ètait bien) et Eric Serra! A fuir, mais piano piano...
🎬 RENGER 📼
Un puits de pétrole en feu menace toute une vallée et ses habitants. Une équipe est dépêchée sur place pour convoyer des camions de nitroglycérine dans le but d’éviter une catastrophe.
Il s’agit ici du 3ème remake de l’oeuvre culte d’Henri-Georges Clouzot (lui-même adapté du roman éponyme de Georges Arnaud). Après Violent Road (1958) de Howard W. Koch & Le Convoi de la peur (1977) de William Friedkin, c’est le français Julien Leclercq (L'Assaut - 2011) qui s’y colle et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il ne s’est absolument pas foulé…
Oubliez absolument tout ce qui faisait la saveur du film originel ou de son superbe remake américain (celui de Friedkin), ici, on est clairement devant l’archétype de la prod’ Netflix parfaitement inoffensive et qui se regarde en mode “strabisme” (un oeil sur l’écran et l’autre sur sa montre).
Aucune once de tension, on ne ressent jamais la peur chez les protagonistes, alors qu’ils ont 200kg de nitro qui peuvent leur exploser au ɔul. Au lieu de cela, le réalisateur préfère se focaliser sur les alentours, avec des combattants du désert et des mines antipersonnel. Si bien que le convoi de nitroglycérine ne tarde pas à passer en second plan, on finit presque par l’oublier, à ce stade de l’histoire, ils auraient tout aussi bien pu rouler à vide, le résultat aurait été le même.
Sans parler des aberrations scénaristiques spoiler: (sortir les 200kg de nitro de leurs caisses d’origine pour les mettre dans les camions alors que l’on pouvait tout aussi bien mettre les caisses directement dans le camion… Ajoutez à ça, la fameuse dernière charge de nitro laissée sur le bas côté parce que le camion est plein à craquer, difficile de ne pas imaginer ce qu’il allait advenir. Quand aux camions qui doivent parcourir 800 bornes, ils roulent tous les deux espacés de quelques mètres, ce qui est parfaitement idiot, si l’un explose, l’autre en fait de même. Dans le film de Clouzot, ils roulaient avec une intervalle de 30min, ça avait bien plus de sens… et de crédibilité).
Julien Leclercq et son scénariste ont clairement fait l’impasse sur le moindre effort en se contentant de réaliser platement un remake dont certaines séquences sont des copiées/collées de l’oeuvre d’origine spoiler: (la scène du cratère de pétrole et le rocher au beau milieu de la route)
, William Friedkin et son scénariste s’étaient donnés plus de mal pour réinterpréter cette histoire à leur sauce.
Le Salaire de la Peur (2024) déçoit à plus d’un titre, invraisemblable, scénario flemmard, montage calamiteux (il faut voir la tronche des cascades et des gunfight), même les acteurs peinent à donner le change.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Il s’agit ici du 3ème remake de l’oeuvre culte d’Henri-Georges Clouzot (lui-même adapté du roman éponyme de Georges Arnaud). Après Violent Road (1958) de Howard W. Koch & Le Convoi de la peur (1977) de William Friedkin, c’est le français Julien Leclercq (L'Assaut - 2011) qui s’y colle et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il ne s’est absolument pas foulé…
Oubliez absolument tout ce qui faisait la saveur du film originel ou de son superbe remake américain (celui de Friedkin), ici, on est clairement devant l’archétype de la prod’ Netflix parfaitement inoffensive et qui se regarde en mode “strabisme” (un oeil sur l’écran et l’autre sur sa montre).
Aucune once de tension, on ne ressent jamais la peur chez les protagonistes, alors qu’ils ont 200kg de nitro qui peuvent leur exploser au ɔul. Au lieu de cela, le réalisateur préfère se focaliser sur les alentours, avec des combattants du désert et des mines antipersonnel. Si bien que le convoi de nitroglycérine ne tarde pas à passer en second plan, on finit presque par l’oublier, à ce stade de l’histoire, ils auraient tout aussi bien pu rouler à vide, le résultat aurait été le même.
Sans parler des aberrations scénaristiques spoiler: (sortir les 200kg de nitro de leurs caisses d’origine pour les mettre dans les camions alors que l’on pouvait tout aussi bien mettre les caisses directement dans le camion… Ajoutez à ça, la fameuse dernière charge de nitro laissée sur le bas côté parce que le camion est plein à craquer, difficile de ne pas imaginer ce qu’il allait advenir. Quand aux camions qui doivent parcourir 800 bornes, ils roulent tous les deux espacés de quelques mètres, ce qui est parfaitement idiot, si l’un explose, l’autre en fait de même. Dans le film de Clouzot, ils roulaient avec une intervalle de 30min, ça avait bien plus de sens… et de crédibilité).
Julien Leclercq et son scénariste ont clairement fait l’impasse sur le moindre effort en se contentant de réaliser platement un remake dont certaines séquences sont des copiées/collées de l’oeuvre d’origine spoiler: (la scène du cratère de pétrole et le rocher au beau milieu de la route)
, William Friedkin et son scénariste s’étaient donnés plus de mal pour réinterpréter cette histoire à leur sauce.
Le Salaire de la Peur (2024) déçoit à plus d’un titre, invraisemblable, scénario flemmard, montage calamiteux (il faut voir la tronche des cascades et des gunfight), même les acteurs peinent à donner le change.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Compliqué depuis des années d'avoir un film action/thriller français réussi, très compliqué ! Ici, rien n'est bon. Tout simplement grotesque. Navet +1.
Ti Nou
Julien Leclercq fait à nouveau preuve de son incapacité à créer une séquence d’action impactante dans ce remake du classique d’Henri-Georges Clouzot. Il transpose le récit dans un décors plat et vide neutralisant ainsi toute la menace que représente la nitroglycérine.
bsalvert
Un film d'action, donc oui ils transportent de la nitroglycérine mais les secousses sont mises très en retrait donc on ne retrouve aucunement la tension du film original donc un autre titre aurait été bienvenu.
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