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Stéphane D
124 abonnés
2 137 critiques
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3,5
Publiée le 29 avril 2024
Je constate que le film se fait lourdement démonter par la critique (voire "exploser"...). Alors certes je n'ai plus l'original en tête depuis 30 ans pour "comparer" mais en soi le film est solide. Je me suis bien demandé les 20 premières minutes s'il s'agissait du même film mais on a bien un convoi de nitro sous tension avec des acteurs pas si mauvais et une belle image et musique. Franchement il y a nettement pire, et en tant que tel il n'y a pas à rougir du résultat global.
Quelle merde. Je parlais du scénario. Encore un remake qui n'honore pas le cinéma. Si vous avez du temps à perdre. On n'y croit pas une minute. Tous ces clichés à la c... Tu m'étonnes que ça ne passe que sur des plate-formes. Qui verrait ça au ciné... Pas moi.
Comment dire... tout est mauvais, un massacre, c'est mal joué, zéro crédibilité (dès les premières minutes... un 4x4 qui reste coincé à cause de trois cailloux ???), les dialogues sont risibles tellement tout est prévisible. Franchement, passer 1h30 à regarder par la fenêtre des trains passer serait plus utile que de regarder ce navet. Encore une production Netflix qui renforce mon idée de mettre un terme à mon abonnement.
Navrant. je me demande si Netflix n'est pas une officine du gouvernement français, une telle maitrise pour jeter l'argent par les fenêtre est si rare......
A quoi fallait-il s’attendre dans ce remake/reboot du classique de Clouzot? A un divertissement pop corn sympa à suivre. On en est très loin. Film sans rythme, aux très faibles enjeux, aux dialogues insipides. Qu’est ce qu’Ana Girardot actrice très bonne actrice habituellement vient faire dans cette galère. Passez votre chemin.
Le début du film est très erratique, on ne comprend rien au scénario (s'il y en a un). Les 20 premières minutes sont un concentré de scènes clichés, on a l'impression que c'est un exercice qui a été donné à des étudiants en école de cinéma.
Remake d'un film qui semble se suffire à lui-même voici une modernisation sans saveur du film de Clouzot. Cependant à titre personnel je n'ai pas accroché à l'original par contre j'ai adoré le Convoi de la peur de Friedkin, adaptation épatante du roman (à la base cette histoire est un livre que je n'ai pas lu). Le Salaire de la peur nous surprend rapidement par son manque considérable d'intensité, le suspense est peu présent dans ce film. On aurait aimé ressentir la transpiration de la nitroglycérine transportée par 2 camions pour éteindre un feu de puits de pétrole. Dans cette nouvelle monture les 2 hommes sont 2 frères joués par Alban Lenoir et Franck Gastambide qui ont du muscle mais qui ne possèdent pas le talent de comédiens de leurs aînés. On ne s'ennuie jamais, quelques passages sont pas mal mais le tout pêche par une absence de dynamisme durant les scènes d'action. La musique est signée Éric Serra, efficace sans que les mélodies nous captivent pour autant. C'est un film d'action qui n'offre pas le spectacle attendu.
On ne fera pas l'affront de comparer les films de Clouzot et Friedkin à cette ignoble purge qui représente tout ce que Netflix est capable d'afficher fièrement en Une sans une once de respect pour son spectateur. Clouzot doit faire des triple saltos dans sa tombe, et Friedkin doit fumer dans son urne, face à ce désolant spectacle d'effets spéciaux bâclés (les explosions sont vraiment moches), d'introduction qui est un interminable concours de calcifs entre les mecs à gros bras (n'espérez rien de l'unique rôle féminin péniblement tenu par Ana Girardot, c'est un faire-valoir), de jeux d'acteurs affligeants (Frank Gastambide, Alban Lenoir et Sofiane Zermani font un second concours : celui du regard ténébreux qui dure 10 secondes, sans aucune raison, et dit "même mon regard a des abdos"), de la musique imperceptible (Eric Serra mixé par une intelligence artificielle, et au volume sonore niveau 1, non ?), des méchants qui sont très très méchants (et stupides), et une chute de camion intégralement faite en numérique, qui rince les yeux et fait regretter amèrement le final de Duel (qui a dû coûter dix fois moins que cette superproduction Netflix, on vous le parie). Ne perdez pas votre temps avec ce remake qui usurpe la notoriété de deux très bons films, case son casting frenchy au forceps (une histoire de contrats à rentabiliser) sans s'inquiéter de la crédibilité de ses personnages, qui fait tellement de bruit (film gueulard) qu'on n'arrive même pas à cerner la musique de Serra derrière, qui met trois plombes à démarrer (l'intro est infernale), qui crame les yeux avec ses effets numériques infects, et nous abandonne à moitié ahuris devant sa fin bâclée. Plus qu'un massacre d'un titre culte, plus qu'un mauvais produit Netflix, on a l'impression que le convoi entier nous a roulé dessus.
Passé après Clouzot et Friedkin était une mission suicide encore plus lorsque l'on s'appelle Julien Leclercq au vue de sa filmographie. D'emblée ce qui frappe, c'est la faiblesse de l'acting, Frank Gatambide en ersatz de John Wick mi gangster- mi héros désabusé, on n'y croit pas une seconde, et ce n'es pas le reste du casting qui remonte le niveau. Ensuite la mise en scène est feneante, a aucun moment le réalisateur ne sait donné de l'importance à ces scènes, que ce soit celles d'actions ou celles se voulant plus dramatique. Malgré une histoire de base simple mais pourtant efficace, du moins l'original de Georges Arnaud, Leclercq n'arrive jamais a rendre intéressant son sujet tant il enchaîne les maladresses, incohérences et dialogues insipides et pas un seul instant de son film ne dépasse l'adaptation de 1953, et peut-être encore moins la version de 77 de Friedkin. Au final épargnez vous ce remake inutile.
On est très loin de l'esprit d'Henri -georges Clouzot et Frank Gastambide n'est pas Yves Montand. C'est un peu honteux de croire que qu'on est capable de reprendre le chef d'œuvre de Clouzot à la sauce Gastambide. Au moins la version de William Friedkin avait du charme.
Un Pseudo Mad Max a la Française, un peu trop léger, sans réelles surprises, avec des acteurs vraiment très moyens ... on y croit à peine, ça reste un simple divertissement.
Le ton n'est pas assuré, les scènes d'action mal calibrées et le découpage des plus pénibles. On ne transpire pas... en faite on n'y est pas, on n'embarque pas. En format long, le réalisateur ne surprend plus.
"Le Salaire de la peur", film d'aventure français réalisé par Julien Leclercq, sorti en 2024 sur Netflix. Adaptation réactualisée du roman de Georges Arnaud (1949) et remake du célèbre film réalisé par Henri-Georges Clouzot, sorti en 1953. Ce remake du chef-d'œuvre de Clouzot avec Yves Montand et Charles Vanel ne peut, bien entendu, pas rivaliser. La version américaine " The Sorcerer de William Friedkin, sortie en 1977, demeure aussi un bien plus grand film. Cependant, cette version de 2024, qui n'égale pas l'original est bien faite. La réalisation est de qualité, les paysages (sud-algériens) sont magnifiques, l'action et l'aventure sont là, la photo est belle. Avec Alban Lenoir et Franck Gastambide, Ana Girardot et Sofiane Zermani. Bien que le film focalise plus sur l'aspect "film de guerre" que sur le suspens intenable que suscite le transport délicat de l'explosive cargaison, le film n'est pas mal fait.
Encore une mauvaise idée de la part de Netflix en nous faisant un remake du Salaire de la peur. Le premier était resté dans les mémoires par sa qualité, ce remake en est bien loin. Ce film est beaucoup trop bourrin. C'est fatigant. Il faut dire qu'en réunissant Franck Gastambide et Alban Lenoir, on ne pouvait pas s'attendre à grand chose. La tentative de faire du dramatique est tout simplement ridicule. Les acteurs sont à la rue. Pour ne rien arranger, l'histoire est totalement décousue. De plus, la réalisation ne met pas du tout la pression face à l'ultimatum de la livraison. Même vis à vis des explosifs censés être très sensible, mais qui sont toujours au centre des fusillades sans exploser. Pour résumer, on s'ennuie du début à la fin, quand on n'est pas gêné par la narration.