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Votre avis sur Le Salaire de la Peur ?
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Nicothrash
Quelle drôle d’idée de se lancer dans un remake/reboot de monstres du ciné que sont Le Salaire de la Peur de Clouzot et surtout Sorcerer, premier remake au tournage dantesque de Friedkin. C’est d’autant plus surprenant lorsque l’on délocalise l’action et que l’on ne propose pas le fameux casting multi-éthnique des personnages mystérieux et inquiétants.
C’est donc sur de toutes nouvelles bases que Julien Leclercq s’appuie pour créer l’événement. Il y parvient en partie puisque sa réalisation n’est pas mauvaise du tout malgré les nombreuses invraisemblances et que ses têtes d’affiche Alban Lenoir (bien affûté) et Franck Gastambide assurent pas mal. En revanche lorsque l’on se remémore la tension palpable des précédents volets, on est très loin du compte. Déjà parce que les seconds rôles sont très limites et trop nombreux, on a du mal à entrer à corps perdu dans la danse, mais aussi parce que les cascades ne concernent presque plus les camions (le pont de singes de Sorcerer …). En bref, on y croit pas vraiment tout simplement.
Ce remake n’est pas foncièrement mauvais mais il ne tient clairement pas la comparaison face aux folies de Clouzot et Friedkin, on peut donc se demander s’il était bien nécessaire de le faire tout en n’y mettant pas beaucoup plus de moyens. Ça reste regardable une fois mais ça ne rentrera sûrement pas au panthéon du cinéma, aucun doute là dessus.
C’est donc sur de toutes nouvelles bases que Julien Leclercq s’appuie pour créer l’événement. Il y parvient en partie puisque sa réalisation n’est pas mauvaise du tout malgré les nombreuses invraisemblances et que ses têtes d’affiche Alban Lenoir (bien affûté) et Franck Gastambide assurent pas mal. En revanche lorsque l’on se remémore la tension palpable des précédents volets, on est très loin du compte. Déjà parce que les seconds rôles sont très limites et trop nombreux, on a du mal à entrer à corps perdu dans la danse, mais aussi parce que les cascades ne concernent presque plus les camions (le pont de singes de Sorcerer …). En bref, on y croit pas vraiment tout simplement.
Ce remake n’est pas foncièrement mauvais mais il ne tient clairement pas la comparaison face aux folies de Clouzot et Friedkin, on peut donc se demander s’il était bien nécessaire de le faire tout en n’y mettant pas beaucoup plus de moyens. Ça reste regardable une fois mais ça ne rentrera sûrement pas au panthéon du cinéma, aucun doute là dessus.
ConFucAmuS
La promotion avait été discrète, au point de susciter l'interrogation. Il n'est d'ailleurs pas impossible que de nombreux abonnés Netflix découvrent l'existence de ce film le jour de sa sortie. Comme beaucoup d'autres, oui. À la différence près que ces autres ne portent pas le nom d'un classique absolu du cinéma français. Partant de là, ceux qui l'ont vu haussent les sourcils (Un remake ? Sérieux ?) et même ceux qui ne l'ont pas vu savent qu'ils ont déjà entendu ou lu au sujet d'un vieux long-métrage à la trame similaire. Le long-métrage de Henri-Georges Clouzot (1953) ou la géniale réinterprétation Sorcerer (1977) de William Friedkin, au choix. En 2024, la troisième version se pare de l'attelage Julien Leclercq/Franck Gastambide/Alban Lenoir. Objectifs : Action et testostérone. Ça vous change un film. Oh que oui.
Leclercq a trop de respect pour ses illustres prédécesseurs, par conséquent il n'essaiera pas de jouer les copistes. C'est tout à son honneur. À vrai dire, son projet est à l'avenant de cette collaboration Netflix/TF1 (la classe hein?) : 100 minutes qui s'oublieront en une poignée. Le réalisateur réussit haut la main ce challenge bas de gamme. Le concept de base (la traversée de quelques personnages dans des camions chargés de nitroglycérine) est là, mais tout cela serait un peu triste sans les stéréotypes et poncifs de l'actioner qui pète et qui tâche, n'est-ce pas ? Pas de panique, on les retrouve d'entrée de jeu avec une introduction qui se mélange les pinceaux entre les temporalités et les enjeux. Et pour couronner le tout, les personnages et leur caractérisation sont tout aussi ridicules. L'écriture des dialogues est une orfèvrerie dans le genre, quasiment aucun ne tombe juste. Les comédiens sont donc orientés vers le surjeu pour les transcender. Et ils y arrivent ! La performance de bovin au regard mort livrée par Franck Gastambide va carrément filer des sueurs froides à Vin Diesel. En tête-à-claques humaniste qui en a, Ana Girardot se gamelle sévèrement sur l'autel de la platitude. Sofiane Zermani essaie un peu d'exister au milieu de ce concours de mâchoires serrées et d'yeux qui plissent, mais rien à signaler à part son talent qui ploie. Seule victime à épargner, Alban Lenoir dont les tentatives d'humaniser son cliché sur pattes ne sont pas toutes vaines. L'action ? Triste à dire mais rien à retenir. Par contre, on peut beaucoup rigoler devant l'étalage d'idées sabotées et de séquences émotion aux effets surannés. Sinon, aucune n'offre la tension qu'on est en droit d'espérer vu le titre de la production. La mise en scène échoue à créer une tension palpable, à rendre les fusillades vives, parfois même à saisir l'espace (cf. la scène du sniper). Qui sait, sur beaucoup de malentendus et de mauvaises manipulations de télécommande, les spectateurs décideront d'ériger cette fausse bonne idée en vrai mauvais film et donc à réévaluer son potentiel nanardesque.
Leclercq a trop de respect pour ses illustres prédécesseurs, par conséquent il n'essaiera pas de jouer les copistes. C'est tout à son honneur. À vrai dire, son projet est à l'avenant de cette collaboration Netflix/TF1 (la classe hein?) : 100 minutes qui s'oublieront en une poignée. Le réalisateur réussit haut la main ce challenge bas de gamme. Le concept de base (la traversée de quelques personnages dans des camions chargés de nitroglycérine) est là, mais tout cela serait un peu triste sans les stéréotypes et poncifs de l'actioner qui pète et qui tâche, n'est-ce pas ? Pas de panique, on les retrouve d'entrée de jeu avec une introduction qui se mélange les pinceaux entre les temporalités et les enjeux. Et pour couronner le tout, les personnages et leur caractérisation sont tout aussi ridicules. L'écriture des dialogues est une orfèvrerie dans le genre, quasiment aucun ne tombe juste. Les comédiens sont donc orientés vers le surjeu pour les transcender. Et ils y arrivent ! La performance de bovin au regard mort livrée par Franck Gastambide va carrément filer des sueurs froides à Vin Diesel. En tête-à-claques humaniste qui en a, Ana Girardot se gamelle sévèrement sur l'autel de la platitude. Sofiane Zermani essaie un peu d'exister au milieu de ce concours de mâchoires serrées et d'yeux qui plissent, mais rien à signaler à part son talent qui ploie. Seule victime à épargner, Alban Lenoir dont les tentatives d'humaniser son cliché sur pattes ne sont pas toutes vaines. L'action ? Triste à dire mais rien à retenir. Par contre, on peut beaucoup rigoler devant l'étalage d'idées sabotées et de séquences émotion aux effets surannés. Sinon, aucune n'offre la tension qu'on est en droit d'espérer vu le titre de la production. La mise en scène échoue à créer une tension palpable, à rendre les fusillades vives, parfois même à saisir l'espace (cf. la scène du sniper). Qui sait, sur beaucoup de malentendus et de mauvaises manipulations de télécommande, les spectateurs décideront d'ériger cette fausse bonne idée en vrai mauvais film et donc à réévaluer son potentiel nanardesque.
J’avais beaucoup aimé la version originale de Clouzot, datant de 1954, avec Yves Montand et Bruno Cremer, mais j’ai été quelque peu déçu et dérangé par ce remake. Je n’ai rien contre l’idée d’ajouter la modernité de notre époque à des films des années 50, mais ici l’exercice n’est pas vraiment réussi, tant sur le plan émotionnel que sur la crédibilité de l’ensemble, même si quelques scènes d’action viennent rythmer le récit.
De plus, une compagnie pétrolière ou gazière n’utiliserait sûrement pas en 2024 de la nitroglycérine dans une telle situation. Peut-être que les producteurs et Netflix auraient du choisir un autre sujet d’action afin d’éviter cette incohérence qui est tout même l'élément central du film. En 1954, l'utilisation de la nitroglycérine était plus courante, mais aujourd’hui, c’est aussi idiot que de jeter de l’eau sur une poêle remplit d’huile en feu.
De plus, une compagnie pétrolière ou gazière n’utiliserait sûrement pas en 2024 de la nitroglycérine dans une telle situation. Peut-être que les producteurs et Netflix auraient du choisir un autre sujet d’action afin d’éviter cette incohérence qui est tout même l'élément central du film. En 1954, l'utilisation de la nitroglycérine était plus courante, mais aujourd’hui, c’est aussi idiot que de jeter de l’eau sur une poêle remplit d’huile en feu.
Un ratage total! Fallait pas toucher à ce classique , Netflix! C'est trop difficile pour vos scribouillards!!
Netflix, le robinet à images, apprenez qu'on ne reprend, ni n' aseptise les classiques ,qu'il faut les laisser en l'état, avec leurs qualités et leurs défauts.Notez le bien: "ne pas toucher aux films cultes , voir culturels"!!
On use ici de codes narratifs éculés (une histoire de rédemption fraternelle, une amourette à la c***, la vilaine compagnie pétrolière, les gentils ONG)avant de rentrer dans le vif du sujet rapidos et sans chichis. Pas question de concurrencer la profondeur de ses illustres prédécesseurs cinématographiques On est là pour les muscles et les explosions.Alors, Ajoutons donc une lichette de sauce Expandables !!!
Et Gastambide qui se ridiculise une fois de plus en Vin Diesel de chez Lidl ...Comme d'ailleurs les retournements que tout le monde connait car on a vu l'original !!
Ana Girardot et surtout Alban Lenoir remontent un peu le niveau de ce navet mais pas de grand chose .
Vite vu et oublié dans la seconde.
.Hé,Netflix?? Faites donc Un petit remake des "Tontons flingueurs " avec Dany Boon, Christian Clavier, Kev Adams et Didier Bourdon?? non?
Netflix, le robinet à images, apprenez qu'on ne reprend, ni n' aseptise les classiques ,qu'il faut les laisser en l'état, avec leurs qualités et leurs défauts.Notez le bien: "ne pas toucher aux films cultes , voir culturels"!!
On use ici de codes narratifs éculés (une histoire de rédemption fraternelle, une amourette à la c***, la vilaine compagnie pétrolière, les gentils ONG)avant de rentrer dans le vif du sujet rapidos et sans chichis. Pas question de concurrencer la profondeur de ses illustres prédécesseurs cinématographiques On est là pour les muscles et les explosions.Alors, Ajoutons donc une lichette de sauce Expandables !!!
Et Gastambide qui se ridiculise une fois de plus en Vin Diesel de chez Lidl ...Comme d'ailleurs les retournements que tout le monde connait car on a vu l'original !!
Ana Girardot et surtout Alban Lenoir remontent un peu le niveau de ce navet mais pas de grand chose .
Vite vu et oublié dans la seconde.
.Hé,Netflix?? Faites donc Un petit remake des "Tontons flingueurs " avec Dany Boon, Christian Clavier, Kev Adams et Didier Bourdon?? non?
je n'ai pas les mots..
une fois de plus on recycle de l'ancien pour faire du nouveau ! pourquoi pas.. mais quel intérêt ici ? j'aime beaucoup les acteurs pourtant mais ça ne fonctionne pas, pas du tout ! un film fait pour du fric.. sans grand intérêt..
une fois de plus on recycle de l'ancien pour faire du nouveau ! pourquoi pas.. mais quel intérêt ici ? j'aime beaucoup les acteurs pourtant mais ça ne fonctionne pas, pas du tout ! un film fait pour du fric.. sans grand intérêt..
J'ai arrêté le film au bout de 10 min : très mal joué (j'ai l'impression d’entendre "action" avant chaque dialogue :)),
spoiler:
les occupants d'une voiture leur tirent dessus et cette voiture disparaît et réapparaît d'un coup en plein desert, des amis étaient là à coté à travailler comme par hasard, la voiture des gentils se bloque une roue dans un virage et les autres arrivent et les débloquent etc etc etc et après une dernière péripétie, ils reviennent au camp de base....et hop une petite scène érotique qui ne sert à rien genre on vient de se faire tirer dessus mais pourquoi pas une petite coucherie...Bref, nul et pas envie d'aller plus loin
Du grand n importe quoi.... au bout de deux minutes, l on se rend compte que la nitro aurait du etre transportée par hélicoptere.
L ambiance est celle d un telefilm à deux sous; le scénario, aussi. quant aux rebels et au camp de réfugiés,, rien n est credible dans ce telefilm.
Ne vaut pas d etre vu
L ambiance est celle d un telefilm à deux sous; le scénario, aussi. quant aux rebels et au camp de réfugiés,, rien n est credible dans ce telefilm.
Ne vaut pas d etre vu
Lorsqu'on réalise un remake d'un film culte de qualité, et que ce dernier a subi déjà un remake : "Sorcerer" - "Le convoi de la peur" par William Friedkin qui était de très bonne facture; on ne peut s'attendre qu'à un lourd échec si on n'a pas assez de compétence cinématographique. Ce film pue la qualité série B, et encore, à peu près celle du niveau du dernier Astérix.
Rendez les sous !
Rendez les sous !
Voilà ce qui arrive quand on pense qu’il n’y a pas besoin de travailler la psychologie des personnages et que le bourrin fait l’histoire. Je vais pas parler de ceux qui pense être acteur parce qu’ils ont des followers faudrait remettre en question l’industrie du cinéma français
Clairement une bouze à la Netflix pour le public de TPMP... Des incohérences, des acteurs qui jouent très mal, j'ai tenu 60mn puis j'ai éteint. Spoiler:
spoiler:
des courses poursuites ou les poursuivants disparaissent puis reviennent, un sniper qui ne sait pas viser, Un champs de mines avec des mines magiques qui tout d'un coup disparaissent
Zéro pointé ! Une catastrophe ! Un bide ! Arnaud et Clouzot doivent se retourner dans leurs tombes. Jamais vu un tel navet. Tant d'incohérences dans un même film je ne pensais pas que c'était possible mais Leclercq l'a fait. Ne parlons pas du jeu d'acteur.
Bien qu'on soit prévenu dès le début que le film est très librement adapté du roman on ne peut qu'être déçu et le mot est faible. Pourquoi ? Pourquoi le réadapter à ce point ? Pour en faire un gros film d'action à la Hollywood ? J'ai lutté pour regarder jusqu'à la fin. Par moment je me suis même surpris à rire tant c'était ridicule.
Un conseil, regardez la version de 1953.
Bien qu'on soit prévenu dès le début que le film est très librement adapté du roman on ne peut qu'être déçu et le mot est faible. Pourquoi ? Pourquoi le réadapter à ce point ? Pour en faire un gros film d'action à la Hollywood ? J'ai lutté pour regarder jusqu'à la fin. Par moment je me suis même surpris à rire tant c'était ridicule.
Un conseil, regardez la version de 1953.
Une nouvelle adaptation inutile.
D’après le film de Henri-Georges Clouzot avec à l’affiche en 1952 : des sacrés montres sacrés du cinéma. Malheureusement, ce remake fait pâle figure car il accumule les erreurs et fautes de goût. Déjà sur le fond, la nitroglycérine de nos jours comme seule solution à un problème évoqué dans le film : j’ai de très gros doutes. Pourquoi ne pas avoir adapté ce point technique ?
Mais tout le reste ne va pas non plus. Ce style de film d’action très facile avec des sans peurs, des durs à cuire et des faciles de la gâchette : pfff, cela ne va pas ici. L’histoire est bancale, minée par les raccourcis, les facilités et invraisemblances scénaristiques et des erreurs de montage. Je n’ai pas perçu de tension et de passion dans cette histoire. J’ai eu l’impression de regarder un mauvais film d’action américain. Le cinéma français a une identité, un style que je n’ai pas retrouvé dans ce film. La conséquence est que le spectateur que je suis ne parvient pas à ressentir de l’émotion. C’est plat et sans saveur. Mais le pire finalement est au niveau de l’acting.
Que l’on est loin des prestations du film original. Malgré la présence de plusieurs bons acteurs, les prestations générales sont sans expressions ou presque. On dirait que l’ambiance sur les plateaux était exécrable. Franchement, à part réciter leur texte, je n’ai rien perçu comme émotion de leur part.
C’est clair que je n’ai pas été conquis. Présenté tel quel, c’est un film sans ambition que j’ai trouvé long et ennuyant. Un comble pour un film d’action et même d’aventure.
D’après le film de Henri-Georges Clouzot avec à l’affiche en 1952 : des sacrés montres sacrés du cinéma. Malheureusement, ce remake fait pâle figure car il accumule les erreurs et fautes de goût. Déjà sur le fond, la nitroglycérine de nos jours comme seule solution à un problème évoqué dans le film : j’ai de très gros doutes. Pourquoi ne pas avoir adapté ce point technique ?
Mais tout le reste ne va pas non plus. Ce style de film d’action très facile avec des sans peurs, des durs à cuire et des faciles de la gâchette : pfff, cela ne va pas ici. L’histoire est bancale, minée par les raccourcis, les facilités et invraisemblances scénaristiques et des erreurs de montage. Je n’ai pas perçu de tension et de passion dans cette histoire. J’ai eu l’impression de regarder un mauvais film d’action américain. Le cinéma français a une identité, un style que je n’ai pas retrouvé dans ce film. La conséquence est que le spectateur que je suis ne parvient pas à ressentir de l’émotion. C’est plat et sans saveur. Mais le pire finalement est au niveau de l’acting.
Que l’on est loin des prestations du film original. Malgré la présence de plusieurs bons acteurs, les prestations générales sont sans expressions ou presque. On dirait que l’ambiance sur les plateaux était exécrable. Franchement, à part réciter leur texte, je n’ai rien perçu comme émotion de leur part.
C’est clair que je n’ai pas été conquis. Présenté tel quel, c’est un film sans ambition que j’ai trouvé long et ennuyant. Un comble pour un film d’action et même d’aventure.
Quelle catastrophe ce film !!! l'écriture du film et ratée c'est plus une comédie tellement les acteurs jouent mal leur rôle pourtant j'aime bien Franck et Alban mais la non une honte de l'avoir nommé le film le salaire de la peur
Tout ça pour ça ! Il y avait un casting certains moyens manifestement et une référence ; résultat Un remake qui est loin de valoir l original question suspense, il supporte difficilement la comparaison pour l interprétation également. En dehors de quelques scènes d actions c est totalement vide d intérêt. Ratage impressionnant.
Long, chiant, ennuyant, pas crédible.
Pour se protéger d'une explosion ils se protègent derrière un camion rempli d'explosif. Un mec avec un flingue tire mieux que deux avec des armes semi automatiques...
Bidonesque à tous les niveaux, les "héros" en plein désert ne transpirent pas.
La photographie sauve un peu tout le truc sinon le film se plante comme le camion qui tombe dans le ravin, mais avec moins d'éclat.
Pour se protéger d'une explosion ils se protègent derrière un camion rempli d'explosif. Un mec avec un flingue tire mieux que deux avec des armes semi automatiques...
Bidonesque à tous les niveaux, les "héros" en plein désert ne transpirent pas.
La photographie sauve un peu tout le truc sinon le film se plante comme le camion qui tombe dans le ravin, mais avec moins d'éclat.
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