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chrischambers86
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3,0
Publiée le 27 avril 2013
"Comme nos voix ba da ba da da da da da da chantent tout bas ba da ba da da da da da da, nos coeurs y voient ba da ba da da da da da da comme une chance, comme un espoir"...Vingt ans dèjà depuis le succès en 1966 d'"Un homme et une femme" qui fit de Claude Lelouch le plus conformiste des cinèastes! Paris, Deauville, ce fut une belle histoire d'amour! Et pour nous aussi! Nous sommes en 1986 et de l'eau a coulè sous les ponts depuis! Mais une suite sans Jean-Louis Trintignant et Anouk Aimèe n'est pas possible, c'est pourquoi Lelouch fait une nouvelle fois appel à ce couple mythique du cinèma français! En les laissant vivre leurs dèsirs jusqu'au bout, filmant sans chabadada leurs doutes et leurs dèsarrois, le rèalisateur rend ce couple finalement èmouvant! Dans le reste du casting, Marie Sophie L, Evelyne Bouix, Charles Gèrard, Salomè et Sarah Lelouch...montrent que nous sommes bien en famille! Au milieu de cette histoire très lelouchèenne, on notera une course poursuite spectaculaire entre les diffèrentes grandes routières europèennes des annèes 80, supervisèe et exècutèe par le grand Rèmy Julienne! Et puis le plaisir aussi de revoir dans cette suite, Thierry Sabine, dans son propre rôle, qui allait mourir dans un accident d'hèlicoptère (avec entre autres Daniel Balavoine) à ce maudit Paris-Dakar 86! Un homme...une femme...50 ans après ? Soit en 2016! C'est envisageable monsieur Lelouch ?
Croyant (peut-être ?...) capitaliser sur son plus grand succès (tant côté entrées en salles que palmarès), Claude Lelouch réalisa à date anniversaire "Un Homme et une Femme : 20 ans déjà", en 1986. Lelouch se fait chroniqueur de Lelouch, ce faisant - "Anne Gauthier", veuve (encore...) d'un producteur de cinéma et ayant repris le business, pour sortir d'un flop retentissant, veut faire porter à l'écran l'histoire (à festivals - dans la "vraie vie") de 1966, et contacte "Jean-Louis Duroc", maintenant directeur de rallyes (qui collabore avec Sabine - mort tragiquement quelques mois plus tôt, quand sortira le film de CL...) à ce sujet. On croisera dans le film (sur le film) tout un tas de « people », dans leurs propres rôles (de PPDA en journaliste-vedette, amant d'AA, son aînée de 16 ans, à Richard Berry, acteur renommé, pressenti en « JLD » de « fiction », voire Gérard Oury et Michèle Morgan, en spectateurs...). La trame scénaristique (hier, aujourd'hui, les vrais, les faux...) est rythmée par les « chabadaderies » de rigueur. Le cinéaste place ses compagnes successives, dont Marie-Sophie (encore) Pochat, sa cadette de 26 années... Il y a même l'indispensable pote, Charles Gérard. On est bien chez Lelouch.... La sauce du "revenez-y" mémoriel et sentimental ne prenant cependant pas, cinématographiquement parlant (le film dans le film), le "come back" (vers un box office favorable) de la productrice pourrait bien s'alimenter à un fait-divers retentissant (réel et concomitant du tournage avorté) : une évasion de centrale, suivie de rebondissements dramatiques. Et, pendant ce temps-là, bien loin des nostalgiques "Planches", en plein Ténéré...On est toujours bien chez Lelouch... Qui s'ensable.... Avant de sombrer (dans la Seine), en "conclusion". On n'aura, 1 h 47 durant, même pas voyagé - juste fait du sur-place. Consternant !
Sur une superbe BO de Francis Lai, cette comédie de Claude Lelouch nous offre bon nombre de séquences émouvantes : Deauville 20 ans après, le couple mythique Anouk Aimée / Jean-Louis Trintignant est toujours aussi beau. Sa mise en scène sans faille, nous distille de jolies scènes sans dialogues. En plus d'une séquence polar, son scénario nous offre une "inrigue" inattendue en Afrique.
Terrible erreur de voir ce „documentaire“. J’ai l’impression d’assister a un décryptage du film original. Une analyse à froid qui est tout le contraire de la magie et de la beauté de cette histoire d’amour. Fuyez, fuyez tous ces personnages qui gravitent ici……… vous gâchez le spectacle!!! Le couple mythique remplissait à lui-seul le calice de l’amour.
Vingt ans plus tard, Lelouch réunit à nouveau son couple vedette d'un homme et une femme, sans en retrouver le charme ni son côté intimiste, excepté la scène des retrouvailles, troublante et tournée en grande partie en impro.
C'est plutôt une bonne idée de la part de Claude Lelouch de réunir, vingt ans plus tard, ses deux personnages les plus célèbres. Anne Gauthier, productrice de cinéma en quête d'un succès propose à Jean-Louis Duroc, devenu directeur d'une écurie automobile, de tourner leur éphémère histoire d'amour passée avec deux jeunes acteurs. Conformément à son style, Lelouch propose un récit éclaté et une profusion de personnages dont on ne sait trop que faire et dont on n'a plus qu'à attendre que le cinéaste les relie entre eux ou les identifie plus clairement. Un tournage de film de guerre, un fait divers sordide: en l'état, son sujet est intrigant sans être passionnant. C'est lorsqu'il met en présence Anouk Aimée et Jean-Louis Trintignant que le cinéaste produit de jolis moments d'émotion romantique et nostagique. L'interprétation juste des retrouvailles permet aux deux comédiens une conversation sensible qui nous attache d'emblée au couple. La suite relève de la façon romanesque de Lelouch, inventive, inattendue sans être nécessairement convaincante. Il y superpose une réflexion sur le cinéma, notamment à travers les déboires de la productrice Anne, bien obligée de reconnaitre que les amours romantiques sur grand écran marchent désormais moins bien que la violence sentimentale sous forme de thriller. Le film est estimable mais sans doute Anne et Jean-Louis méritaient mieux, c'est-à-dire d'être réellement au coeur du sujet.
Suite inutile qui abîme le premier. Le Lelouch que j'aime pas celui qui se regarde le nombril avec une mise en scène pompeuse et des mise en abyme à tout va. A oublier
typique de lelouch... la musique est toujours aussi envoûtante bien qu'elle ait été remise au gout du jour ( de l’époque). l'histoire tient la route meme si on se perd un peu malgré tout ce n'est pas le pire film qu'il ait pu faire ... cela à du sens ... ce qui n'est pas toujours le cas avec lui ...
Il faut peut-être avoir vu le premier film pour comprendre celui-ci. Pour ma part, je l'ai visionné avant tout pour les images du Paris Dakar et de Thierry Sabine. Il faut savoir que le film a été tourné juste avant la mort de Sabine sur le Dakar 1986... Nous avons de belles images du désert. En revanche, le reste de l'histoire ne m'a pas emballé plus que ça. C'est un film français sans grande ambition, mais qui se laisse regarder. Nous voyons le quotidien d'une productrice de cinéma qui assiste au tournage de ses films. J'ai toutefois bien aimé voir Patrick Poivre D'Arvor jouer son propre rôle.
Bien évidemment il ne remplace pas le premier mais je trouve que pour une suite il fait du bien à voir et c'est toujours un plaisir de retrouver l'un des couples les plus mythiques du cinéma français
Venant de revoir "un homme et une femme" de 1966, j'ai trouvé intéressant de visionner cette suite logique 20 ans après mais la magie romanesque du premier opus n'y est plus, restent les scènes automobilistiques et le plaisir (pour les fans) de retrouver Thierry Sabine quelques mois avant sa mort.
Trintignant et Anouk Aimée restent très beaux et émouvants.
Je n´ai pas vu le premiere film. Sans comparer, c´est quoi? Une histoire d´amour? Une reportage de tournage du film? Un polar? Un aventure dans le desert? Un film psychologique? Un peu de tout et en effet rien. Le film manque de un sujet clair, de emotion, de tension, de gradation. Beaucoup de acteurs tres célebres dans un film mauvais.