Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Le film, délicieux moment suspendu, introduit un rapport au temps en prise avec la nature, et remet en question, dans un classique affrontement entre la ville et la campagne, la capitale et la province, voire entre les élites et les masses, l’imposition de valeurs venues d’en haut.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
La question ouverte par le moine trouve une conclusion savoureuse et pleine d’enseignement dans ce conte moral porté par l’immensité des paysages sublimes et une mise en scène tout en causticité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par O.D.
Le Moine et le Fusil fonctionne comme une parabole sur la lente accession à la démocratie d'un pays féodal isolé durant des siècles, perdu dans l'immensité de chaînes de l'Himalaya.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Cinéaste bhoutanais, Pawo Choyning Dorji retrace le chemin particulier de son pays vers la démocratie et l'ouverture à la modernité. À travers un petit coin d'Himalaya, avec tendresse et drôlerie, il nous parle surtout de nous.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ouest France
par Thierry Chèze
Il raconte un pays s'ouvrant tout à la fois à la démocratie et à la mondialisation, par le prisme d'une fable à l'humour irrésistible, mêlant personnage hauts en couleur et situations burlesques. En évitant les clichés.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Grâce à un scénario follement ingénieux, Pawo Choyning Dorji fait du Bhoutan un fleuron drôle et sensible des démocraties en cours de renouvellement. Mais Le Moine et le fusil est surtout un conte philosophique à l’usage des adolescents, des parents et même des plus jeunes enfants.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Déployé comme une fable moderne, ce film un brin trop long, et inutilement surchargé en musique, ouvre néanmoins une fenêtre sur une culture aux antipodes de la culture occidentale, et sur un pays qui adopte par nécessité des fonctionnements qui lui sont étrangers, sans révolte, mais en y intégrant ses propres codes, ses propres rituels, sa propre culture.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifllet
Avec un humour fin et décalé, Pawo Choyning Dorji dézingue notre complexe de supériorité et notre manie d’imposer notre vision du monde aux autres.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Moins réussi, car plus lent, que l’École du bout du monde, précédent film de Pawo Choyning Dorji, ce long-métrage est toutefois entrecoupé de moments hilarants, comme lorsque les Bhoutanais découvrent James Bond incarné par Daniel Craig à la télé…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
La mise en scène du film ne témoigne d’aucune singularité, et s’inscrit dans le tout-venant du découpage et du filmage international audiovisuel mondialisé. Rien de révolutionnaire et d’original dans la facture. Mais le film ne manque pas d’humour et d’humanisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Nicolas Moreno
Une comédie savoureuse qui, en déjouant toutes les attentes, sort des sentiers battus. Une curiosité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Cette chronique frontale et ensoleillée est émaillée de flash-back évoquant le bonheur absolu irrémédiablement perdu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Cl. F.
Démonstratif, le film se traîne un peu en longueur, mais le réalisateur, également auteur de L’École du bout du monde (2019), va plus loin que le sarcasme, gardant le cap de l’utopie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Pawo Chyning Dorji signe ici un plaidoyer pour sa religion, son peuple et son roi déguisé en une comédie moqueuse ambigüe.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Marius Chapuis
Amusant de voir que malgré tous ces efforts pour souligner l’unicité de la culture du pays du "Bonheur national brut", le Moine et le Fusil est aussi abrasif qu’un film Disney : à la fin, tout le monde est content, la démocratie a du bon et les torts sont oubliés pour peu que l’on ait bon cœur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Humanité
Le film, délicieux moment suspendu, introduit un rapport au temps en prise avec la nature, et remet en question, dans un classique affrontement entre la ville et la campagne, la capitale et la province, voire entre les élites et les masses, l’imposition de valeurs venues d’en haut.
L'Obs
La question ouverte par le moine trouve une conclusion savoureuse et pleine d’enseignement dans ce conte moral porté par l’immensité des paysages sublimes et une mise en scène tout en causticité.
Le Figaro
Le Moine et le Fusil fonctionne comme une parabole sur la lente accession à la démocratie d'un pays féodal isolé durant des siècles, perdu dans l'immensité de chaînes de l'Himalaya.
Les Echos
Cinéaste bhoutanais, Pawo Choyning Dorji retrace le chemin particulier de son pays vers la démocratie et l'ouverture à la modernité. À travers un petit coin d'Himalaya, avec tendresse et drôlerie, il nous parle surtout de nous.
Ouest France
Il raconte un pays s'ouvrant tout à la fois à la démocratie et à la mondialisation, par le prisme d'une fable à l'humour irrésistible, mêlant personnage hauts en couleur et situations burlesques. En évitant les clichés.
aVoir-aLire.com
Grâce à un scénario follement ingénieux, Pawo Choyning Dorji fait du Bhoutan un fleuron drôle et sensible des démocraties en cours de renouvellement. Mais Le Moine et le fusil est surtout un conte philosophique à l’usage des adolescents, des parents et même des plus jeunes enfants.
Franceinfo Culture
Déployé comme une fable moderne, ce film un brin trop long, et inutilement surchargé en musique, ouvre néanmoins une fenêtre sur une culture aux antipodes de la culture occidentale, et sur un pays qui adopte par nécessité des fonctionnements qui lui sont étrangers, sans révolte, mais en y intégrant ses propres codes, ses propres rituels, sa propre culture.
Le Dauphiné Libéré
Avec un humour fin et décalé, Pawo Choyning Dorji dézingue notre complexe de supériorité et notre manie d’imposer notre vision du monde aux autres.
Le Parisien
Moins réussi, car plus lent, que l’École du bout du monde, précédent film de Pawo Choyning Dorji, ce long-métrage est toutefois entrecoupé de moments hilarants, comme lorsque les Bhoutanais découvrent James Bond incarné par Daniel Craig à la télé…
Les Inrockuptibles
La mise en scène du film ne témoigne d’aucune singularité, et s’inscrit dans le tout-venant du découpage et du filmage international audiovisuel mondialisé. Rien de révolutionnaire et d’original dans la facture. Mais le film ne manque pas d’humour et d’humanisme.
Première
Une comédie savoureuse qui, en déjouant toutes les attentes, sort des sentiers battus. Une curiosité.
Télérama
Cette chronique frontale et ensoleillée est émaillée de flash-back évoquant le bonheur absolu irrémédiablement perdu.
Le Monde
Démonstratif, le film se traîne un peu en longueur, mais le réalisateur, également auteur de L’École du bout du monde (2019), va plus loin que le sarcasme, gardant le cap de l’utopie.
Les Fiches du Cinéma
Pawo Chyning Dorji signe ici un plaidoyer pour sa religion, son peuple et son roi déguisé en une comédie moqueuse ambigüe.
Libération
Amusant de voir que malgré tous ces efforts pour souligner l’unicité de la culture du pays du "Bonheur national brut", le Moine et le Fusil est aussi abrasif qu’un film Disney : à la fin, tout le monde est content, la démocratie a du bon et les torts sont oubliés pour peu que l’on ait bon cœur.