Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
Le genre même du documentaire est réinventé. C’est un chef-d’œuvre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Culturopoing.com
par François Armand
A l’aide d’une 3D exceptionnelle, le spectateur découvre une œuvre pour laquelle les qualificatifs – monumentale, fascinante, majestueuse, dérangeante voir gênante – s’accumulent et ne suffisent pas à traduire le spectre des sensations ressenties.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Antoine Desrues
Wim Wenders redonne ses lettres de noblesse à la 3D dans un documentaire qui creuse la matière artistique d’Anselm Kiefer. Foisonnant et passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Figaro
par Valérie Duponchelle
Du premier plan, qui renvoie à Allemagne année zéro de Rossellini (1947), au rêve qui transforme Kiefer en drôle de funambule, tout Wenders est là.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Magnifique.
Le Point
par Florence Colombani
Un documentaire d'une éblouissante beauté.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Le cinéaste allemand consacre un remarquable documentaire à son compatriote Anselm Kiefer, un artiste dont l'oeuvre ne cesse d'évoquer l'histoire et les traumatismes de son pays.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un portrait atypique, tout en déambulation(s) poétique(s), alternant silences éloquents et contemplations redondantes. Dans l’ensemble, la magie opère.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Marie Klock
Wim Wenders fait le portrait de l’artiste et ce portrait n’en finit pas d’être délicat et caressant quand son sujet, lui, manie à pleines mains une matière trop lourde pour un seul homme, qu’il s’agisse de l’histoire allemande ou du plomb dans lequel il la coule [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Le cinéaste allemand signe un film passionnant et envoûtant sur son compatriote Anselm Kiefer, un artiste qui, durant toute sa carrière, a observé avec un œil critique son pays et son rapport à l’histoire. Cette œuvre remarquable confirme que Wim Wenders est désormais bien plus inspiré par le documentaire que par la fiction.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Pascale Vergereau
Un beau film.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Un doc pour initiés ? Peut-être. Mais magnifié par une mise en images envoûtante, une plongée visuelle, sensorielle dans l’art qui se crée, que Wenders a une nouvelle fois tourné en 3D [...].
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Loup Bourget
Un des grands intérêts du film est [...] de nous montrer Kiefer à l'œuvre [...] : il s'agit d'un film de genèse et de virtuosité, à la manière du "Mystère Picasso" de Clouzot. Mais c'est aussi un documentaire historique, qui fait appel à des archives et des entretiens anciens avec Kiefer [...].
Sud Ouest
par Julien Rousset
Lumière pâle, sobre, caméra enveloppante, ce moment partagé avec le peintre est non seulement passionnant, mais aussi élégant. Anselm Kiefer et Wim Wenders sont nés en 1945 : le lien paraît quasi fraternel entre ces deux enfants de la guerre et de la ruine.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Dans ce portrait de l’immense créateur Anselm Kiefer, Wim Wenders offre une magnifique alchimie visuelle, sonore, littéraire et poétique. Un grand Wim Wenders.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
« Wenders invoque une monumentalité de l’instant, qui, en actualisant l’œuvre, la déshistoricise en croyant la rendre universelle. (…) Chaque plan de Wenders cherche la trace d’une naissance, que ce soit celle d’une perception, d’une œuvre d’art, d’une vocation. Le passé que Kiefer critique et dépose dans ses toiles, Wenders lui tourne le dos, ne commémorant que l’éternel retour du présent.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
La fictionnalisation de l’enfance et de ses débuts, jouées respectivement par le fils de Wenders et le fils de Kiefer, intéresse moins que l’exploration artistique, superbement rehaussée par la 3D.
La Croix
par Sabine Gignoux
Voilées de feuilles d’or, piquées d’instruments chirurgicaux ou placardées sur d’immenses feuilles de plomb, oxydées et bleuies par électrolyse, les images mémorielles de Kiefer jouent ainsi sous nos yeux de multiples métamorphoses. Où la matière noire de l’histoire cherche à se transmuter en art
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Plein écran, Wenders expose dans toutes leurs dimensions les œuvres monumentales, les installations à ciel ouvert, les tableaux géants. De manière inédite, le réalisateur tourne autour de la création de Kiefer, embrassant ses thèmes et ses motifs.
Première
par Frédéric Foubert
Wenders, lui, utilise la 3D (dont il est l'un des grands chantres) pour nous faire accéder à la profondeur historique et philosophique de l'œuvre de Kiefer, de façon sensorielle autant qu'intellectuelle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Serge Kaganski
Après Pina Bausch, Wim Wenders se penche sur un autre "monstre sacré" de la culture allemande, le peintre et sculpteur Anselm Kiefer. Il fait à nouveau usage de la 3D, un procédé très convaincant quand il filme les sculptures, un peu moins quand il filme les tableaux, fussent-ils de taille monumentale.
Critikat.com
par Corentin Lê
Paradoxalement, c’est lorsque Wenders cherche à sonder en profondeur l'intériorité de l'artiste qu'il reste à la surface de son art.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Cl. F
Mais l’ennui nous gagne devant ces images un peu lisses qui, bien qu’en 3D, restent à l’état de la prouesse technique et convoquent le spectateur en visiteur ébahi.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Samuel Douhaire
Mais Wenders gâche son documentaire par le recours à de risibles séquences de fiction, où l’artiste se retrouve confronté à ses doubles jeune (incarné par son propre fils) et enfant. Dommage…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
Le genre même du documentaire est réinventé. C’est un chef-d’œuvre.
Culturopoing.com
A l’aide d’une 3D exceptionnelle, le spectateur découvre une œuvre pour laquelle les qualificatifs – monumentale, fascinante, majestueuse, dérangeante voir gênante – s’accumulent et ne suffisent pas à traduire le spectre des sensations ressenties.
Ecran Large
Wim Wenders redonne ses lettres de noblesse à la 3D dans un documentaire qui creuse la matière artistique d’Anselm Kiefer. Foisonnant et passionnant.
Le Figaro
Du premier plan, qui renvoie à Allemagne année zéro de Rossellini (1947), au rêve qui transforme Kiefer en drôle de funambule, tout Wenders est là.
Le Journal du Dimanche
Magnifique.
Le Point
Un documentaire d'une éblouissante beauté.
Les Echos
Le cinéaste allemand consacre un remarquable documentaire à son compatriote Anselm Kiefer, un artiste dont l'oeuvre ne cesse d'évoquer l'histoire et les traumatismes de son pays.
Les Fiches du Cinéma
Un portrait atypique, tout en déambulation(s) poétique(s), alternant silences éloquents et contemplations redondantes. Dans l’ensemble, la magie opère.
Libération
Wim Wenders fait le portrait de l’artiste et ce portrait n’en finit pas d’être délicat et caressant quand son sujet, lui, manie à pleines mains une matière trop lourde pour un seul homme, qu’il s’agisse de l’histoire allemande ou du plomb dans lequel il la coule [...].
Marianne
Le cinéaste allemand signe un film passionnant et envoûtant sur son compatriote Anselm Kiefer, un artiste qui, durant toute sa carrière, a observé avec un œil critique son pays et son rapport à l’histoire. Cette œuvre remarquable confirme que Wim Wenders est désormais bien plus inspiré par le documentaire que par la fiction.
Ouest France
Un beau film.
Paris Match
Un doc pour initiés ? Peut-être. Mais magnifié par une mise en images envoûtante, une plongée visuelle, sensorielle dans l’art qui se crée, que Wenders a une nouvelle fois tourné en 3D [...].
Positif
Un des grands intérêts du film est [...] de nous montrer Kiefer à l'œuvre [...] : il s'agit d'un film de genèse et de virtuosité, à la manière du "Mystère Picasso" de Clouzot. Mais c'est aussi un documentaire historique, qui fait appel à des archives et des entretiens anciens avec Kiefer [...].
Sud Ouest
Lumière pâle, sobre, caméra enveloppante, ce moment partagé avec le peintre est non seulement passionnant, mais aussi élégant. Anselm Kiefer et Wim Wenders sont nés en 1945 : le lien paraît quasi fraternel entre ces deux enfants de la guerre et de la ruine.
aVoir-aLire.com
Dans ce portrait de l’immense créateur Anselm Kiefer, Wim Wenders offre une magnifique alchimie visuelle, sonore, littéraire et poétique. Un grand Wim Wenders.
Cahiers du Cinéma
« Wenders invoque une monumentalité de l’instant, qui, en actualisant l’œuvre, la déshistoricise en croyant la rendre universelle. (…) Chaque plan de Wenders cherche la trace d’une naissance, que ce soit celle d’une perception, d’une œuvre d’art, d’une vocation. Le passé que Kiefer critique et dépose dans ses toiles, Wenders lui tourne le dos, ne commémorant que l’éternel retour du présent.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La fictionnalisation de l’enfance et de ses débuts, jouées respectivement par le fils de Wenders et le fils de Kiefer, intéresse moins que l’exploration artistique, superbement rehaussée par la 3D.
La Croix
Voilées de feuilles d’or, piquées d’instruments chirurgicaux ou placardées sur d’immenses feuilles de plomb, oxydées et bleuies par électrolyse, les images mémorielles de Kiefer jouent ainsi sous nos yeux de multiples métamorphoses. Où la matière noire de l’histoire cherche à se transmuter en art
La Voix du Nord
Tantôt époustouflant, tantôt passionnant, tantôt assommant.
Le Dauphiné Libéré
Plein écran, Wenders expose dans toutes leurs dimensions les œuvres monumentales, les installations à ciel ouvert, les tableaux géants. De manière inédite, le réalisateur tourne autour de la création de Kiefer, embrassant ses thèmes et ses motifs.
Première
Wenders, lui, utilise la 3D (dont il est l'un des grands chantres) pour nous faire accéder à la profondeur historique et philosophique de l'œuvre de Kiefer, de façon sensorielle autant qu'intellectuelle.
Transfuge
Après Pina Bausch, Wim Wenders se penche sur un autre "monstre sacré" de la culture allemande, le peintre et sculpteur Anselm Kiefer. Il fait à nouveau usage de la 3D, un procédé très convaincant quand il filme les sculptures, un peu moins quand il filme les tableaux, fussent-ils de taille monumentale.
Critikat.com
Paradoxalement, c’est lorsque Wenders cherche à sonder en profondeur l'intériorité de l'artiste qu'il reste à la surface de son art.
Le Monde
Mais l’ennui nous gagne devant ces images un peu lisses qui, bien qu’en 3D, restent à l’état de la prouesse technique et convoquent le spectateur en visiteur ébahi.
Télérama
Mais Wenders gâche son documentaire par le recours à de risibles séquences de fiction, où l’artiste se retrouve confronté à ses doubles jeune (incarné par son propre fils) et enfant. Dommage…