Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par N.C
Quand la routine devient loufoque : au Japon, Ryo Takebayashi enferme des jeunes pubards créatifs dans un bureau où la vie se répète indéfiniment, avec un sentiment de déjà-vu, déjà vécu.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Ecran Fantastique
par La rédaction
Vous détestez les lundis, elle aussi ! Cette comédie, servie avec humour par son actrice principale, tire son épingle du jeu.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une comédie loufoque, sociale et fielleuse sur le monde du travail made in Japan. Outre la résolution sans cesse repoussée avec malice de cette fiction déjantée, le cinéaste brocarde le système hiérarchique qui prévaut dans les bureaux nippons.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par N.C
Quand la routine devient loufoque : au Japon, Ryo Takebayashi enferme des jeunes pubards créatifs dans un bureau où la vie se répète indéfiniment, avec un sentiment de déjà-vu, déjà vécu.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Parisien
par Catherine Balle
Au-delà des gags (...), cette comédie propose une réflexion sur le sens du travail, la nécessité de vivre ses rêves et de se montrer solidaires.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Un film étonnant, capable de se montrer à la fois ingénieux et sans prétention. Parfois très drôle, bourré d’idées (...), le film de Ryo Takebayashi dépasse largement l’exercice de style et impose, malgré quelques traits un peu grossiers, une voix et un ton déjà très affirmés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La rédaction
Après une mise en situation un peu longue, une fine et drôle réflexion sur le sens de la vie, du travail, l'ambition, les rêves inachevés.
Positif
par La rédaction
Une satire filmée comme une sitcom, avec un scénario assez astucieux pour tenir en haleine, un montage qui génère une curiosité ludique, et, surtout, une distribution enjouée qui emprunte avec force clins d’œil les codes de la "comédie de bureau". Un moment agréable.
Voici
par La rédaction
Avec un tel pitch, le risque était que Comme un lundi soit... redondant. Et ce n'est pas le cas : ses enjeux sont sans cesse renouvelés avec drôlerie et même une certaine émotion. Une jolie surprise !
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
D’un montage saccadé fait de scènes et de plans infiniment remixés, le film tire une mécanique harassante où la satire de la vie de bureau substitue à ses effets de virtuosité cet effet préjudiciable : la déshumanisation totale de la petite bande d’employés robotisés qui tente de sortir de cette faille spatio-temporelle.
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Comme un lundi est bien plus amusant quand il raconte l'émergence d'un collectif de travailleurs que quand il récite bêtement les codes de ce qui est désormais un genre à part entière.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Céline Rouden
Mené tambour battant avec un art consommé du montage, ce premier film d’un réalisateur et vidéaste japonais a un peu des allures de sitcom. Il se consomme néanmoins avec plaisir, voire une certaine jubilation, comme la satire qu’il véhicule des mœurs et des frustrations de ses contemporains.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par S.B
Un dispositif de huis clos au service d’un film aussi amusant que touchant sur les rêves et les regrets de la vie, éternel recommencement, avec la solidarité comme solution.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par M. Dl.
La précision avec laquelle le jeune réalisateur japonais, Ryo Takebayashi, joue sur le tempo de la rengaine qui n’en reste pas moins percée de variations, produit un rapport déroutant au suspense et laisse entrer le polar.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par S.R
Le vrai intérêt de Comme un lundi se situe dans sa façon d'aborder l'élaboration d'un manga, ou plutôt de sa mise au propre (...), angle original pour dépeindre la vie de bureau japonaise.
Paris Match
par Yannick Vely
Imaginez « Un jour sans fin » dans votre Open Space. C’est le point de départ de cette fantaisie nippone délurée qui, sans renouveler le genre de la boucle temporelle, en donne une version bureautique plutôt réjouissante.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Frédéric Foubert
Un film léger, charmant, sur des sujets plutôt sérieux, comme l’articulation entre l’individu et le collectif, ou les réunions clients qui rendent marteau.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par S.D.
Le Japonais Ryo Takebayashi recycle en les citant les références à Un jour sans fin ou Happy Birthdead tout en essayant de renouveler l'exercice de style.
Télé Loisirs
par La rédaction
Le récit prend finalement des chemins qui l’éloignent des travers et des limites du film-concept pour le mener vers de jolies émotions.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Rythmé, foutraque et follement drôle, Comme un lundi offre une voix nouvelle au cinéma japonais, sous couvert d’une sévère critique d’une société aliénée par le travail, au détriment de l’épanouissement des personnes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Thomas Grignon
Si le film parvient à convaincre lorsqu’il s’abandonne à une forme de nonsense presque outrancier, il ne réussit guère, dans la seconde moitié, à surmonter le manque d’originalité de son conte moral.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par S.H.
L’équipe d’une agence publicitaire se retrouve prise au piège d’une boucle temporelle. Loin de se résumer à son concept fun et léger, le premier film de R. Takebayashi révèle peu à peu une matière “politique”, vouée à écorcher la culture d’entreprise au Japon.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Jacques Morice
Hors de quelques éléments éclairant la culture de l’entreprise nippone, cette satire convenue de l’aliénation au travail, qui vante une forme d’épanouissement individuel pour mieux servir le collectif, s’avère pauvre en gags et monotone. Comme si le film était piégé par son dispositif même.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dernières Nouvelles d'Alsace
Quand la routine devient loufoque : au Japon, Ryo Takebayashi enferme des jeunes pubards créatifs dans un bureau où la vie se répète indéfiniment, avec un sentiment de déjà-vu, déjà vécu.
L'Ecran Fantastique
Vous détestez les lundis, elle aussi ! Cette comédie, servie avec humour par son actrice principale, tire son épingle du jeu.
L'Obs
Une comédie loufoque, sociale et fielleuse sur le monde du travail made in Japan. Outre la résolution sans cesse repoussée avec malice de cette fiction déjantée, le cinéaste brocarde le système hiérarchique qui prévaut dans les bureaux nippons.
Le Dauphiné Libéré
Quand la routine devient loufoque : au Japon, Ryo Takebayashi enferme des jeunes pubards créatifs dans un bureau où la vie se répète indéfiniment, avec un sentiment de déjà-vu, déjà vécu.
Le Parisien
Au-delà des gags (...), cette comédie propose une réflexion sur le sens du travail, la nécessité de vivre ses rêves et de se montrer solidaires.
Libération
Un film étonnant, capable de se montrer à la fois ingénieux et sans prétention. Parfois très drôle, bourré d’idées (...), le film de Ryo Takebayashi dépasse largement l’exercice de style et impose, malgré quelques traits un peu grossiers, une voix et un ton déjà très affirmés.
Ouest France
Après une mise en situation un peu longue, une fine et drôle réflexion sur le sens de la vie, du travail, l'ambition, les rêves inachevés.
Positif
Une satire filmée comme une sitcom, avec un scénario assez astucieux pour tenir en haleine, un montage qui génère une curiosité ludique, et, surtout, une distribution enjouée qui emprunte avec force clins d’œil les codes de la "comédie de bureau". Un moment agréable.
Voici
Avec un tel pitch, le risque était que Comme un lundi soit... redondant. Et ce n'est pas le cas : ses enjeux sont sans cesse renouvelés avec drôlerie et même une certaine émotion. Une jolie surprise !
Cahiers du Cinéma
D’un montage saccadé fait de scènes et de plans infiniment remixés, le film tire une mécanique harassante où la satire de la vie de bureau substitue à ses effets de virtuosité cet effet préjudiciable : la déshumanisation totale de la petite bande d’employés robotisés qui tente de sortir de cette faille spatio-temporelle.
Ecran Large
Comme un lundi est bien plus amusant quand il raconte l'émergence d'un collectif de travailleurs que quand il récite bêtement les codes de ce qui est désormais un genre à part entière.
La Croix
Mené tambour battant avec un art consommé du montage, ce premier film d’un réalisateur et vidéaste japonais a un peu des allures de sitcom. Il se consomme néanmoins avec plaisir, voire une certaine jubilation, comme la satire qu’il véhicule des mœurs et des frustrations de ses contemporains.
Le Journal du Dimanche
Un dispositif de huis clos au service d’un film aussi amusant que touchant sur les rêves et les regrets de la vie, éternel recommencement, avec la solidarité comme solution.
Le Monde
La précision avec laquelle le jeune réalisateur japonais, Ryo Takebayashi, joue sur le tempo de la rengaine qui n’en reste pas moins percée de variations, produit un rapport déroutant au suspense et laisse entrer le polar.
Mad Movies
Le vrai intérêt de Comme un lundi se situe dans sa façon d'aborder l'élaboration d'un manga, ou plutôt de sa mise au propre (...), angle original pour dépeindre la vie de bureau japonaise.
Paris Match
Imaginez « Un jour sans fin » dans votre Open Space. C’est le point de départ de cette fantaisie nippone délurée qui, sans renouveler le genre de la boucle temporelle, en donne une version bureautique plutôt réjouissante.
Première
Un film léger, charmant, sur des sujets plutôt sérieux, comme l’articulation entre l’individu et le collectif, ou les réunions clients qui rendent marteau.
Transfuge
Le Japonais Ryo Takebayashi recycle en les citant les références à Un jour sans fin ou Happy Birthdead tout en essayant de renouveler l'exercice de style.
Télé Loisirs
Le récit prend finalement des chemins qui l’éloignent des travers et des limites du film-concept pour le mener vers de jolies émotions.
aVoir-aLire.com
Rythmé, foutraque et follement drôle, Comme un lundi offre une voix nouvelle au cinéma japonais, sous couvert d’une sévère critique d’une société aliénée par le travail, au détriment de l’épanouissement des personnes.
Critikat.com
Si le film parvient à convaincre lorsqu’il s’abandonne à une forme de nonsense presque outrancier, il ne réussit guère, dans la seconde moitié, à surmonter le manque d’originalité de son conte moral.
Les Fiches du Cinéma
L’équipe d’une agence publicitaire se retrouve prise au piège d’une boucle temporelle. Loin de se résumer à son concept fun et léger, le premier film de R. Takebayashi révèle peu à peu une matière “politique”, vouée à écorcher la culture d’entreprise au Japon.
Télérama
Hors de quelques éléments éclairant la culture de l’entreprise nippone, cette satire convenue de l’aliénation au travail, qui vante une forme d’épanouissement individuel pour mieux servir le collectif, s’avère pauvre en gags et monotone. Comme si le film était piégé par son dispositif même.