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Derrière ce titre ouvertement balzacien se cache un recueil de trois contes cruels advenant au sein d’un même cercle de personnages, spécimens de jeunes adultes tokyoïtes en voie d’insertion.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Dès sa première œuvre, tournée en 2008 avec sa troupe de théâtre d’alors, Kôji Fukada avait posé les bases d’un style qu’il affinerait par la suite. Ce trio de sketches subtilement liés est habilement construit, et permet aux acteurs d’exprimer tout leur talent.
Vies banales qu’un détail fait basculer, violence délétère des non-dits, solitude ontologique et angoisse de la mort : les obsessions du réalisateur de « Love Life », son tropisme rohmérien et sa cruauté délicate sont déjà là sous une forme encore grossière – que l’image vidéo est terne ! – et dans un drame dilué sur 2 heures 20 qui révèle sa profondeur dramatique sur le tard.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Si Fukada n’a pas encore acquis ce sens très précis du découpage de "Love Life", par exemple, il témoigne déjà d’un talent certain pour les récits surprenants et sophistiqués, pour filmer sans violence, avec une douceur certaine, la violence des sentiments cachés derrière le sourire des personnages.
Dans La Comédie humaine, la qualité des volets va crescendo jusqu’à sa dernière ligne droite qui aborde une vie ordinaire au destin extraordinairement perturbé où, brutalement privé de son bras droit, un jeune marié doit aussi composer avec l’heureux évènement à venir dans son couple alors que son infertilité a été prouvée.
La critique complète est disponible sur le site Première
On retrouve cette prédilection de Fukada à jouer le trouble-fête, à introduire le grain de sable pour enrayer la mécanique routinière du théâtre social. C’est parfois caustique — lorsque la jeune artiste se ridiculise en disant n’importe quoi sur Henri-Cartier Bresson dont elle ignore tout. Mais cela peut aussi être renversant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Alors que Koji Fukada est aujourd'hui l'un des grands cinéastes japonais, son premier film sort enfin chez nous. Sans sa maîtrise actuelle, il y explore déjà la condition humaine avec acuité.
Cahiers du Cinéma
Le cinéaste gratte avec humour l’hypocrisie amoncelée dans le couple comme dans le travail.
L'Humanité
Ce précis de banalité urbaine s’avère une analyse édifiante de la comédie que joue la société.
Le Monde
Derrière ce titre ouvertement balzacien se cache un recueil de trois contes cruels advenant au sein d’un même cercle de personnages, spécimens de jeunes adultes tokyoïtes en voie d’insertion.
Les Fiches du Cinéma
Dès sa première œuvre, tournée en 2008 avec sa troupe de théâtre d’alors, Kôji Fukada avait posé les bases d’un style qu’il affinerait par la suite. Ce trio de sketches subtilement liés est habilement construit, et permet aux acteurs d’exprimer tout leur talent.
L'Obs
Vies banales qu’un détail fait basculer, violence délétère des non-dits, solitude ontologique et angoisse de la mort : les obsessions du réalisateur de « Love Life », son tropisme rohmérien et sa cruauté délicate sont déjà là sous une forme encore grossière – que l’image vidéo est terne ! – et dans un drame dilué sur 2 heures 20 qui révèle sa profondeur dramatique sur le tard.
Les Inrockuptibles
Si Fukada n’a pas encore acquis ce sens très précis du découpage de "Love Life", par exemple, il témoigne déjà d’un talent certain pour les récits surprenants et sophistiqués, pour filmer sans violence, avec une douceur certaine, la violence des sentiments cachés derrière le sourire des personnages.
Première
Dans La Comédie humaine, la qualité des volets va crescendo jusqu’à sa dernière ligne droite qui aborde une vie ordinaire au destin extraordinairement perturbé où, brutalement privé de son bras droit, un jeune marié doit aussi composer avec l’heureux évènement à venir dans son couple alors que son infertilité a été prouvée.
Télérama
On retrouve cette prédilection de Fukada à jouer le trouble-fête, à introduire le grain de sable pour enrayer la mécanique routinière du théâtre social. C’est parfois caustique — lorsque la jeune artiste se ridiculise en disant n’importe quoi sur Henri-Cartier Bresson dont elle ignore tout. Mais cela peut aussi être renversant.
Voici
Alors que Koji Fukada est aujourd'hui l'un des grands cinéastes japonais, son premier film sort enfin chez nous. Sans sa maîtrise actuelle, il y explore déjà la condition humaine avec acuité.