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Mais, c’est là la force de cette cinéaste qui, à travers le parcours de cette femme, en dit long sur le poids de la société patriarcale japonaise, les renoncements des femmes mais aussi leur désir de libération, avec en point d’orgue final, une ouverture sur le monde et une danse libératrice.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La vitalité du cinéma japonais se distingue désormais à travers des personnages féminins rebelles et complexes associés à des thématiques sociales jusqu’alors peu évoquées. Film tout à la fois drôle, touchant, et mordant, le jardin zen contribue à cette émergence et vaut, à coup sûr, le détour.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Doté d’un petit humour de fond, "Le Jardin Zen" s’applique avec méthode à moquer la crédulité et le caractère influençable de son héroïne, alors que ses pulsions de vengeance se font jour.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
En situant son récit dans la région de Fukushima et en se concentrant sur ce personnage de femme isolée, Naoko Ogigami sonde l’avenir réservé aux Japonaises d’aujourd’hui, tentées de conjurer leur peur par des croyances irrationnelles.
Un drôle d’humour à froid, assez bunuélien dans l’esprit, fait tout l’intérêt de ce film. Il désigne, en sous-main, le rôle impossible de la femme japonaise, auxiliaire de la vie de tous, instance régulatrice du foyer – un rôle que Yoriko se voit contrainte de réendosser malgré ses névroses hygiénistes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Avec son rythme lent et ses couleurs pastel, « Le jardin zen » est une comédie qui se déguste en douceur. Peu à peu, on apprécie son humour noir et cruel et cette héroïne sans scrupule et gentiment barrée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Derrière cette histoire de couple qui se déchire sans éclat de voix se dissimule une allégorie profonde : une description du Japon bouleversé par le drame de Fukushima. Un pays où ont prospéré de nombreuses sectes et où affleure souvent une grande violence, sous la plus délicate des politesses.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Si le film manque un peu d'ampleur dans la mise en scène, Mariko Tsutsui (« L'Infirmière » de Koji Fukada, auteur auquel on pense beaucoup) impressionne dans le rôle principal.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sous des airs faussement calmes, la japonaise Naoko Ogigami réussit une furieuse satire sociale où l’héroïne, incarnée par la détonante Mariko Tsutsui, se libère avec jubilation des traditions machistes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Mariko Tsutsui, l’interprète de Yoriko, est épatante d’étrangeté et d’émotion mêlées, et le récit ménage suffisamment de rebondissements inattendus, voire un rien cruels, pour que l’on se laisse tenter. Même si la mise en scène, un peu trop tirée au cordeau, aurait gagné, elle aussi, à se laisser davantage guider par l’imprévu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
"Le Jardin zen" est un film succulent à l’humour ravageur, interprété par de grand·es acteur·ices japonais·es.
CinemaTeaser
Un ton sur le fil, comme un rire nerveux au bord des lèvres, qui sonne juste pour l'époque.
L'Humanité
Mais, c’est là la force de cette cinéaste qui, à travers le parcours de cette femme, en dit long sur le poids de la société patriarcale japonaise, les renoncements des femmes mais aussi leur désir de libération, avec en point d’orgue final, une ouverture sur le monde et une danse libératrice.
Les Echos
Souvent drôle, le film s'avère aussi particulièrement angoissant dans sa description d'une spirale qui précipite l'héroïne aux frontières du crime.
Les Fiches du Cinéma
Naoko Ogigami porte un regard critique sur le formalisme et l’hypocrisie sociale de son pays. Une analyse fouillée pour les nipponophiles.
Positif
Le récit nous mène de surprise en surprise, avec un art de l’ambiguïté qui lui évite le manichéisme aussi bien que le sentimentalisme.
aVoir-aLire.com
La vitalité du cinéma japonais se distingue désormais à travers des personnages féminins rebelles et complexes associés à des thématiques sociales jusqu’alors peu évoquées. Film tout à la fois drôle, touchant, et mordant, le jardin zen contribue à cette émergence et vaut, à coup sûr, le détour.
Abus de Ciné
Doté d’un petit humour de fond, "Le Jardin Zen" s’applique avec méthode à moquer la crédulité et le caractère influençable de son héroïne, alors que ses pulsions de vengeance se font jour.
Cahiers du Cinéma
En situant son récit dans la région de Fukushima et en se concentrant sur ce personnage de femme isolée, Naoko Ogigami sonde l’avenir réservé aux Japonaises d’aujourd’hui, tentées de conjurer leur peur par des croyances irrationnelles.
L'Obs
Naoko Ogigami brosse ici le savoureux portrait acide et complice d’une femme au bord de la crise de nerfs.
Le Monde
Un drôle d’humour à froid, assez bunuélien dans l’esprit, fait tout l’intérêt de ce film. Il désigne, en sous-main, le rôle impossible de la femme japonaise, auxiliaire de la vie de tous, instance régulatrice du foyer – un rôle que Yoriko se voit contrainte de réendosser malgré ses névroses hygiénistes.
Le Parisien
Avec son rythme lent et ses couleurs pastel, « Le jardin zen » est une comédie qui se déguste en douceur. Peu à peu, on apprécie son humour noir et cruel et cette héroïne sans scrupule et gentiment barrée.
Le Point
Derrière cette histoire de couple qui se déchire sans éclat de voix se dissimule une allégorie profonde : une description du Japon bouleversé par le drame de Fukushima. Un pays où ont prospéré de nombreuses sectes et où affleure souvent une grande violence, sous la plus délicate des politesses.
Paris Match
Si le film manque un peu d'ampleur dans la mise en scène, Mariko Tsutsui (« L'Infirmière » de Koji Fukada, auteur auquel on pense beaucoup) impressionne dans le rôle principal.
Première
Sous des airs faussement calmes, la japonaise Naoko Ogigami réussit une furieuse satire sociale où l’héroïne, incarnée par la détonante Mariko Tsutsui, se libère avec jubilation des traditions machistes.
Télérama
Mariko Tsutsui, l’interprète de Yoriko, est épatante d’étrangeté et d’émotion mêlées, et le récit ménage suffisamment de rebondissements inattendus, voire un rien cruels, pour que l’on se laisse tenter. Même si la mise en scène, un peu trop tirée au cordeau, aurait gagné, elle aussi, à se laisser davantage guider par l’imprévu.